Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 05:33
auparavant

Vous désirez certainement quelques exemples de punitions et bien voilà la suite de cette fiction.


Il y a eu le cas d'un animateur TV qui avait du retard en revenant par avion d'Afrique. Après avoir été attiré par un Call, il était très fâché car c'était une femme qui l'avait fouetté et non un homme.

Un célèbre couturier avait promis de revenir en France mais n'avait pas respecté sa promesse. Une Call lui avait parlé d'une séance de god-ceinture et après la fessée il réclamait de se faire enculer. Ce qui n'est évidemment pas prévu par la BAF.

Une tenniswoman devait encore jouer un match et ne pouvait être en Suisse assez longtemps. Elle était ravie de la punition par une Maîtresse et demandait un supplément. La BAF n'octroie pas de rallonge. La sportive n'a pu jouer les premiers matches de l'année car elle avait des marques de martinet encore visibles sur le haut des cuisses.

Une écrivain à succès avait passé sa scolarité en Angleterre et connaissait l'éducation anglaise mais l'avait en horreur. Dès les premiers coups elle tremblait et des larmes coulaient sur ses joues. Elle avait un cul magnifique, bien musclé qu'elle remontait bien haut en arrière après chaque coup comme elle en avait l'habitude pendant sa scolarité. La Maîtresse avait pitié et hésitait à être moins sévère. Mais la menace d'un Châtiment lui redonnait des forces pour les 6 coups de cane restant.

L'expert fiscal a une fois averti, par un coup de fil, un copain de promotion qu'une enquête était en cours sur lui. L'expert ne sut jamais comment il fut découvert (l'informaticien, le seul auquel Yaka faisait entièrement confiance, surveillait toutes les conversations téléphoniques). L'expert fut envoyé chez DsK dans le cadre de discussions pour son travail. Une Princesse l'attendait, lui expliqua la faute et lui annonça qu'il sera puni selon les règles du royaume.
Les esclaves de ce lieu de villégiature l'appelèrent "le seul pleureur".

Le carcan de la Valise ressemble beaucoup à celui-ci. Impossible donc d'y échapper à la Punition.

Une BAFfeuse, la grosse Berta, était efficace et obtenait de très bons résultats. Elle aimait fesser encore et encore. Dans le petit salon de "massage" où elle travaillait auparavant elle s'était spécialisée dans les punitions OTK. Quelques fois elle utilisait une raquette de ping-pong ou un petit martinet mais ce qu'elle préférait c'était les bonnes vieilles fessées à la main.
Elle basculait son client sur ses genoux, le coinçait entre ses jambes, lui baissait la culotte et débutait tout de suite par de grandes claques.  Elle était infatigable, une demi-heure de fessée à la main était courant. Les fesses qui se tortillaient, rougissaient, chauffaient, cherchaient à échapper, lui procurait un très grand plaisir. Jamais elle ne mettait de gants, toujours de main nue à fesses nues. Le contact de cette peau qui prenait des couleurs, le puni qui voulait se frotter le derrière et qu'elle empêchait. Beaucoup repartaient en pleurs et cela l'excitait.

A la BAF, Maîtresse Berta avait eu de la peine à s'habituer aux instruments sophistiqués de la Valise, les bonnes vielles claques à la main lui manquaient. Mais le job était bien payé et elle obéit aux instructions. Les Gaffeurs se souvenaient longtemps avec quelle vigueur elle utilisait le claquoir, le martinet et surtout la cane. Même quelques habitués des fessées étaient soulagés quand elle reposait la cane.

Elle eut quand même, une fois, un problème: comme Maîtresse Berta était assez myope, elle s'était trompée et avait lu, sur le SMS punitif, 69 au lieu de 96 comme numéro de rue. Heureusement le client de la villa au numéro 69 était un suisse allemand qui aimait tellement les fessées qu'il en avait demandé un supplément. Ce n'était pas lui qui allait créer des ennuis à Maîtresse Berta. Mais le règlement de la BAF l'envoya quand même à Londres. Le Maître qui  lui appliqua le Châtiment usa deux verges pour obtenir un résultat satisfaisant.

Berta qui pourtant aimait claquer, démissionna pour reprendre son travail de camionneuse. Son petit copain lui suffira.

Le client du 96 eut une certaine chance: Maîtresse Berta avait un petit défaut esthétique, elle appliquait la Punition habillée en jeans larges et baskets. Même les amateurs de domination étaient refroidis. C'est donc une BAFfeuse très sexy qui sonna un jour au numéro 96. Elle "représentait" des sous-vêtements pour hommes. Une odeur agréable de parfum et il se retrouva sans volonté. Il accepta la Punition car il avait triché et la Maîtresse ressemblait tellement aux jeunes femmes qu'il dévorait dans les magazines féminins.


La suite de cette fiction pour la prochaine fois.
A bientôt


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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