Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 04:57
auparavant


Aujourd'hui dans cette fiction, c'est de Heidi que j'aimerais vous parler.

Comme chacun le sait, Heidi était née à la campagne et passait souvent ses vacances avec son grand-père à la montagne où il gardait des chèvres et quelques vaches. Elle a passé toute sa scolarité en ville et habitait alors chez une tante. C'est une très belle fille, appliquée, obéissante.

Le samedi soir, elle avait l'habitude de se retrouver avec des copines. Elles refaisaient le monde et faisaient souvent de petits jeux et concours. Cela allait des cartes aux dominos en passant par des chansons. Des choses normales pour les jeunes filles de son âge.
Un samedi pourtant une camarade, qui avait surpris son père visionnant une vidéo de domination, proposa un concours de gifles. Le but était de désigner une perdante qui resterait, les mains sur la tête, dans un coin pour le reste de la soirée. Ce n'était pas drôle pour la perdante mais mettait un peu de piquant dans les soirées.

Une autre fois, une camarade un peu plus dévergondées suggéra de jouer aux fessées. Heidi qui n'y avait jamais été confrontée ne voyait pas d'inconvénients. Certaines copines fouettées chez elles étaient plus réticentes mais le projet passa à la condition de ne pas devoir baisser sa culotte. Quelques samedis passèrent, elles jouèrent comme des folles. Heidi détestait les fessées, perdait assez souvent mais aimait la compagnie de ses camarades.

Evidemment vint le moment où la plupart des filles, de plus en plus femmes, désirait des fessées à cul nu. Et le concours évolua, toutes les copines baissèrent leur culotte. Les claques faisaient plus mal. Une camarade apporta même le martinet que son père utilisait pour elle. Heidi se retrouvait de plus en plus souvent au coin, ses très belles fesses rougies et striées à la vue de toutes. C'est dans cette position, où elle avait le temps de réfléchir, qu'une idée germa dans sa tête.

Un début de soirée encore soft. Mais le jeans ne va pas tardé à être baissé

Lors d'une visite à son grand père, elle observa comment il menait ses vaches à la baguette et comment il choisissait cet instrument. Le samedi soir suivant elle exhiba sa baguette fraiche, flexible et l'utilisa comme elle avait vu faire le grand-père. Plusieurs samedis elle gagna le concours tant elle était adroite et aimait fouetter. Sa joie de fustiger les fesses nues de ses camarades faisait plaisir à voir. Elle ne se retrouvait plus dans le coin et ne recevait que très peu de coups.

Petit à petit, des garçons étaient intéressés, commençant par un frère, un copain, un petit ami. Les règles changèrent peu à peu et uniquement les garçons seraient fessés par les filles. Puis comme certains hommes bandaient comme des purs sangs, le perdant continuait à aller au coin mais un gagnant était désigné en mesurant la longueur de son sexe en érection. Heidi avait toujours autant de plaisir à fustiger avec ses baguettes et aussi à provoquer les plus grandes sensations et raidissements aux mâles.

La TV locale s'intéressa à ces soirées et la Princesse Christine de la BAF remarqua Heidi. La Maîtresse contacta la jeune femme et lui proposa un job dans ses capacités. Heidi qui ne rêvait que d'être payée pour fustiger des fesses, accepta tout de suite.
Après une formation elle commença à travailler comme BAFfeuse. Elle obtenait beaucoup de succès dans les promesses tenues des Gaffeuses et Gaffeurs. Souvent les clients repartaient en pleurs tant elle était sévère, sans pitié, appliquée. Les Gaffeurs les plus coriaces étaient attendris par elle.

Elle avait juste un petit défaut, elle était lente et prenait l'heure entière. Mais jamais elle ne l'a dépassée grâce à sa montre suisse. Elle ne se lassait pas de voir des derrières fouettés se tortiller de douleur.  Elle aimait faire souffrir en fessant. Elle avait trop souvent été au coin après les fessées de ses camarades. C'était une sorte de revanche et cela la détendait, lui donnait une impression de puissance. Elle croyait vraiment à la supériorité féminine et le montrait quand elle s'occupait d'un homme.
Elle prenait un plaisir identique à punir les femmes. Un cul féminin qui danse sous les coups c'est magnifique et cela l'excitait au plus haut point.

Mais comme Heidi aimait tellement fouetter, elle donnait de nombreux coups de cane sur les cuisses avant les derniers 6 sur les fesses. Malheureusement pour cette Maîtresse appliquée, ce traitement supplémentaire a été signalé par la correction logicielle devant mieux détecter les 6 marques finales sur des fesses rouges. La Princesse ne voulait pas risquer d'infliger des blessures aux "clients" et promit le Châtiment à  Maîtresse Heidi. 
Celle-ci était vraiment sadique quand elle appliquait la Punition, mais l'idée de devoir subir elle-même un Châtiment lui était insupportable et elle démissionna en pensant y échapper.

La Princesse Christine fut très fâchée, le fait de remettre sa démission avant les fouettées de Londres était interdit. Heidi allait regretter ses mauvais comportements. La pauvre Maîtresse fut convoquée chez la Princesse. Elle dut se déshabiller complètement  et attendre sa Maîtresse avec les mains sur la tête. La Princesse était très occupée ces temps, de nouvelles BAFfeuses commençaient leur formation.

Un temps d'attente long et plein d'appréhension

Une heure plus tard, Maîtresse Christine commença à s'occuper d'elle par une solide paire de gifles. Heidi pleurait à chaudes larmes. Mais la Princesse sans pitié la ligota, couchée sur le dos, les jambes en l'air et les cuisses bien ouvertes. Elle avait une fente magnifique, bien épilée. Princesse Christine eut une idée, laissa Heidi dans cette confortable position et quitta la pièce. Heidi avait peur, regrettait de s'être engagée dans cette aventure.

Après un moment qui semblait très long à Heidi, la Princesse revint avec un beau bouquet d'orties fraiches (véridique: une Maîtresse Jacqueline m'a dit une fois qu'elle gardait des orties dans son jardin pour jouer avec ses esclaves). Heidi ne semblait pas effrayée et prit même du plaisir quand la Maîtresse s'appliqua à lui frotter consciencieusement le sexe et les seins. Christine ne savait pas qu'Heidi, à l'alpage chez son grand-père, utilisait des orties pour des jeux solitaires.

Maîtresse Christine n'en pouvait plus de voir Heidi avec le sourire. Elle empoigna un petit mais vicieux martinet et corrigea la chatte qui aimait tant les orties. Heidi avait l'entre-cuisse en feu quand la Princesse abandonna le martinet pour aller chercher une verge de rotin. Ce n'est que les cuisses et les fesses colorées et très striées que Heidi fut libérée. Maintenant que l'impertinence de la jeune femme était corrigée, elle pouvait aller à Londres.

Heidi supporta mal le traitement de Maîtresse Christine et le Châtiment chez BFE, elle avait les verges en horreur et l'humiliation de ces punitions était injuste. Après ces très mauvais moments elle eut le droit de démissionner et acheta la Valise pour l'euro symbolique. Le souvenir des nombreux derrières immobilisés par le carcan et qui se tortillaient sous les coups très sévères, lui redonna le sourire. Elle s'installa chez son grand-père et se mit à écrire.

Sa série de romans sur le thème des fessées punitives entre adultes a beaucoup de succès. Heidi sait vraiment de quoi elle parle.


Une autre fois je vous raconterai comment la BAF s'est occupée d'un Gaffeur surnommé "Le tricheur".


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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