Vendredi 7 septembre 5 07 /09 /Sep 08:10
Voici de nouveau une expérience réelle que je voulais partager avec vous.


Au printemps de la dernière année du siècle passé (faites-vous-même le calcul), j'avais pris rendez-vous avec une Maîtresse à Bex en Suisse romande. J'avais trouvé son adresse dans les annonces coquines du Matin (journal de la région). Comme presque à chaque fois, j'avais choisi de belles baguettes et verges pour les proposer à ma Domina.

Pour faire une surprise, je m'étais arrêté auparavant dans un endroit où se trouvaient des orties. Avec des gants, j'en ai mis une grande touffe dans mon slip. Je suis étonné à chaque fois par la douleur des orties. Marcher, puis s'asseoir dans la voiture avec ce coussinet piquant est assez spécial. La sensation que la correction prévue a déjà commencée.

Avec cet arrêt pour cueillir les feuilles urticantes, l'heure avait avancé. Je me suis donc arrêté à une cabine téléphonique pour avertir la Maîtresse d'un petit retard. Elle avait l'air contrariée et m'a menacé d'une punition supplémentaire. Comme j'aime les punitions chez les Dominas, tout allait bien.
Heureusement que les cabines téléphoniques existent encore car pour la discrétion c'est important. Mais malheureusement elles ont bien diminué depuis quelques années. J'espère qu'il y en aura encore pour mes prochaines séances fessée!


La Maîtresse m'avait assez bien expliqué l'endroit où elle corrigeait. J'ai trouvé facilement et ai été un peu plus loin car je n'aime pas laisser la voiture à la vue de mes correctrices et de ses voisins. Il faut une certaine séparation entre ma vie normale et mes rôles occasionnels de soumis.

Je gare la voiture, prends les instruments de punition et me dirige vers le bâtiment à la sortie de Bex en direction d'Aigle. Les orties sont toujours présentes et actives entre mes cuisses et autour de mon sexe. Je vois la porte d'entrée du locatif, mon appréhension augmente. Je ne connais pas cette fouetteuse. Est-elle très sévère? Arriverai-je à supporter les méchantes baguettes prévues pour me fustiger les fesses nues? Mieux vaut ne pas trop y penser et y aller. Elle doit m’attendre et j’ai déjà dépassé un peu l’heure du rendez-vous. Je ne dois pas traîner même avec une petite boule au ventre.

Dans ces moments, très proches de la rencontre avec une Maîtresse inconnue, j'ai assez peur. Quelque part, j'espère qu'elle ne me fera pas trop mal, qu'elle ne sera pas trop dure et intransigeante avec moi. D'un autre côté, une Domina trop molle, qui ne fesse pas très sévèrement, me décevrait. C'est des drôles de sentiments. Je pense qu'il faut les avoir vécus soi-même pour bien comprendre.

comment sera la vraie fouetteuse par rapport à celle imaginée?

J'arrive enfin devant la porte de ma future fouetteuse et hésite un petit moment. Je peux encore me retourner et repartir rapidement. Il y a deux femmes qui discutent sur le palier de l’appartement à côté de celui où un simple prénom est inscrit près du bouton de la sonnette. Elles me regardent ainsi que mon drôle de sac allongé. Elles parlent un peu moins fort, je n’arrive pas à saisir leur conversation mais ai l’impression qu’elles parlent de moi. Ces deux, probablement curieuses, doivent savoir ce qui se pratique dans l’appartement où je vais entrer. Peut-être même qu’elles peuvent entendre des bruits de corrections (fessées, plaintes, engueulades). Je me sens gêné mais rassemble mon courage et approche du point de non retour.


appuyer sur ce bouton me fait franchir le point de non retour

J’appuie sur le bouton, entends la sonnette et regarde le judas au milieu de la porte. Des pas s’approchent et le judas change légèrement de teinte, quelqu’un m’observe puis la porte s'entrouvre. La Maîtresse, imaginée, est bien réelle. Je lui dis "Bonjour Maîtresse", elle me fait entrer. Le point de non retour est franchi. Avec ce que je lui ai demandé par téléphone, avec la lettre qu’elle va me réclamer, demandant une grande sévérité, avec les baguettes fraiches dans mon sac, je suis pris au piège et ne peux plus y échapper. Je suis à quelques minutes des premiers coups de baguettes et de fesses rougissantes et toujours plus douloureuses.
Je m'excuse du petit retard, lui donne la lettre et les verges pour me battre. Cette Domina est Autrichienne mais parle très bien le français avec un petit accent. Elle semble bien connaître comment discipliner les garçons difficiles.

Après une toute petite discussion, elle m'ordonne d'aller dans la salle des corrections et m'indique la porte. Je devrai me déshabiller complètement, bien plier les habits et l'attendre.

La pièce est sombre, comme d'habitude dans ces lieux, et comporte différents moyens pour punir et mater les garçons pas sages. Une cage, un système de crochets et poulies au plafond pour suspendre, une table assez étroite mais longue. Mais aussi tout un ensemble de moyens pour fesser: des fouets, martinets, cravaches, canes. Il y a aussi des accessoires tels que corde, lanières, bougies. Bref, l'équipement de la parfaite dominatrice. C'est impressionnant! Et une partie sera pour ma pomme.

A propos de mes fesses, il faudrait que je les dénude. Je me déshabille complètement, pose les orties sur la table sans me faire piquer les mains et la longue attente commence.

Je trouve à chaque fois ce moment pénible. J'aimerais que la Maîtresse arrive vite. Qu'elle s'occupe de moi. J’ai envie d’aller lui dire que je suis prêt, qu’elle peut me fesser, que j’ai un peu peur qu’elle soit trop sévère, qu’elle fustige trop fort, que j’aurais peut-être de la peine à supporter.

Mais la suite et son arrivée seront dans le prochain article…..

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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