Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 05:16
auparavant


La dernière fois, je vous avais laissé sur votre faim.
C’était un peu avant le début de la très sévère éducation anglaise à la cane que j’ai supporté par ma faute au début octobre.

C’était un moment où je n’étais plus tout à fait moi-même et heureusement que la Maîtresse avait pris le commandement des opérations.
La seule chose que je devais penser (au cas où la Correctrice l’oubliait) c’était de donner une lettre.


Cette fameuse lettre recommandait de la fermeté et de la sévérité car j’avais souvent pensé que les Dominatrices étaient trop sympas et pas assez strictes quand elles me fessaient.

Les fessées ne sont pas pour moi des parties de rigolades mais au contraire des moments très douloureux où la Maîtresse doit utiliser son autorité naturelle, sa force de caractère (aidée fortement par une baguette) pour imposer sa volonté.

Je ne suis pas chez une telle personne pour devoir réfléchir ou influencer la séance. Cette personne doit me pousser à bout contre ma volonté immédiate.
Je suis là pour dénuder au moins mes fesses et le haut des cuisses et les présenter à la disposition de la Dominatrice.

Pour la suite, je ne dois pas réfléchir. La Fesseuse sait qu’elle peut utiliser divers instruments pour les appliquer fortement sur mon postérieur.

Vous me direz que cela fait mal !
Eh bien oui, cela fait mal. Je dirais même plus, avec ces moyens et de la sévérité, cela peut être très douloureux.
Je pense la même chose que vous quand je vois un tel instrument dans les mains d’une Maîtresse déterminée.
Je pense aussi la même chose quand je me promène en forêt et vois une tige bien droite. Une de ces baguettes qui pourrait être appliquée sur mes fesses par une femme sexy et autoritaire. 

Que ça fasse mal, que je ne le supporte pas, où est le problème ? A mon sens ce que j’appelle une Fessée punitive doit être de ce niveau, ne doit pas être agréable à ressentir.
C’est même normal que ce n’est pas un simple massage, le fait d’empoigner fermement par une extrémité une cane ou autre moyen similaire et de diriger à bonne vitesse l’autre extrémité vers la peau de fesses bien dégagées. Ce traitement ne peut que faire mal à très mal. C’est physique.
Et quand cette action est répétée plusieurs fois et toujours aussi fortement, cela devient une véritable et sévère fessée punitive.

La coloration du derrière fustigé montre que la correction progresse normalement. Le cul et les jambes qui se tortillent et les plaintes de la personne punie confirment la qualité du travail effectué par la Fouetteuse.

La fin de ce mal traitement ne dépend que de la personne qui applique la fessée et d’elle seule. C’est elle qui décide de prolonger un peu si la personne fustigée ne s’est pas bien tenue, a trop bougé ou s’est plainte un peu trop.
Mais ce serait du sadisme pur s’il n’y avait pas eu entente préalable.

Si la Maîtresse, qui ne me connait pas encore, commence trop gentiment et si le fait de le lui faire comprendre (en lui sortant une ou plusieurs fois la langue par exemple), augmente bien la sévérité, la séance n’est pas gâchée. C’est même un petit jeu excitant du début.

Mais une « dominatrice » qui ne comprend pas, qui n’arrive pas à fouetter fortement car elle préfère la douceur ou est trop sensible ne devrait pas se lancer dans cette activité mais s’occuper de massages ou faire du théâtre.


la Maîtresse fait connaissance avec mon appareil photo


Pour en revenir à l’endroit où je me trouvais le 8 octobre un peu après 16 :00, du moment que j’avais donné la lettre, je n’avais plus à réfléchir. J’avais pris toutes les précautions possibles pour assurer une séance fessée punitive comme je la conçois. Deux précautions valent mieux qu’une : une Maîtresse connue pour être sévère et qui me l’a confirmé et une lettre demandant de la grande sévérité et l’obligation pour moi de subir jusqu’au bout la correction prévue par cette Dominatrice.
Je ne risquais plus rien sauf repartir avec les fesses très douloureuses.

La séance fut bien au-delà de mes espérances mais aussi au-delà de ce que je pensais possible de pouvoir supporter. L’autorité naturelle de cette Maîtresse est telle que je n’avais aucun autre choix.


Donc Maîtresse Iris me demande de me déshabiller, de laisser mes affaires sur une chaise à l’entrée. Puis elle accepte sans hésiter de faire des photos et je lui montre comment utiliser l’appareil. Je lui montre les orties qui ornent mes cuisses et mon sexe et elle ordonne de les mettre dans un sachet.

Je me retrouve tout nu et mets les feuilles fanées dans un sac plastique. Le seul habit qu’elle m’autorise à garder est le harnais du sexe composé de deux anneaux et d’un grand élastique.

Après m’être douché, j’hésite un moment puis me dirige vers Maîtresse Iris qui m’attend dans le donjon. Je lui dis que je n’ai pas été sage mais que je ne recommencerai plus mon mauvais comportement (tu parles !!).

Elle avait lu ma lettre de sévérité, m’a posé encore quelques questions puis a commencé à me gifler et me pincer les tétons. Ce qu’elle faisait mal ! La correction avait commencé.

Elle m’installe alors un anneau large en cuir à l’extrémité de chaque membre et un collier autour du cou avec une laisse. Ces bandes de cuir comportent des anneaux métalliques prévus pour fixer à un support ou autre moyen d’immobilisation. Tout ce matériel est confortable, ne gêne pas du tout mais permettra de m’attacher durant les punitions.

Ensuite elle ordonne de m’assoir sur une espèce de fauteuil où elle commence à me bonder avec une corde puis baisse le dossier du siège, ce qui tend un peu la corde. Je ne peux pas beaucoup bouger et ne peux rien faire pour éviter ses traitements.


rien à faire pour échapper aux traitements de Maîtresse Iris

Elle me met une pincette à chaque téton et joue avec ces accessoires ce qui se répercute sur le bout des seins et me fait dire ahhh. Avec une légère baguette, elle me tapote les seins et le sexe. Je me plains mais elle me dit que c’est elle qui commande et fait ce qu’elle veut. Comme je parle un peu trop à son goût, elle me remet à l’ordre. Après un moment de cette mise en condition, elle me libère.


L’étape suivant se passera sur un support très agréable, confortable. Je dois me mettre à genoux sur la partie basse, les jambes un peu écartées. Je dois alors me pencher en avant en enfilant le sexe dans une ouverture prévue pour cela. Puis à plat ventre sur la partie supérieure horizontale, je dois mettre les bras en bas le long des pieds de ce meuble construit exprès pour punir (je n’ai aucun doute là-dessus). Elle me passe deux lanières croisées sur le dos et les tend. La taille est aussi entourée d’une bande. Maîtresse Iris fait de même sur les cuisses, sous les genoux et aux mollets. Elle termine l’immobilisation en fixant les 4 anneaux des membres aux montants du support.


La position sur ce meuble est tellement confortable que je n’hésite pas à attendre ainsi avant de poursuivre le récit la prochaine fois. Je vous montrerai ce support et plein d'autres vues de la séance Fessées.

A bientôt!


PS:
Maîtresse Iris, si vous me lisez, n'oubliez pas de corriger, pas les fesses, mais les inexactitudes et les oublis de ce récit. Le vécu et le ressenti depuis chaque côté de la cane n'est évidemment pas le même.
Merci, chère Maîtresse, pour vos commentaires!

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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