Vendredi 16 novembre 5 16 /11 /Nov 08:35
auparavant


La première fois la Maîtresse de Bex m'avait plu, quoique pas assez sévère, et la deuxième fois s'est passée à la fin novembre 1999.

Comme souvent, j'avais apporté des baguettes et verges ainsi qu'une lettre comportant mes fautes et bêtises ainsi que le règlement et les limites. Les orties ne s'étaient pas invitées à la séance. J'avais confirmé le rendez-vous par téléphone et demandé, pour la première fois, de m’accueillir en me giflant et me grondant immédiatement.

comment de douces tiges deviennent de ...

Il faut vous dire que juste avant d'appuyer sur le bouton de la sonnette, je n'étais pas trop fier. J'allais être giflé et brusqué directement et ensuite envoyé me déshabiller pour déguster de très sévères fessées (comme demandé au téléphone et dans ma lettre). La porte s'ouvre et je suis reçu comme mérité. Ma tête sonne, ce n'était pas une gifle de théâtre. Je lui donne mon enveloppe, mon sac de baguettes et suis envoyé me déshabiller et l'attendre dans la salle de correction.

Je revois le gros élastique accroché dans la cage, il n'y a pas eu de changement dans ce donjon. Je me déshabille et commence à m'impatienter. L'attente est pénible et je devrais être fessé plus sévèrement que la première fois. J'espère quand même qu'elle ne fera pas trop mal. Ecrire "très sévère" dans une lettre est excitant. Au moment de la rédaction tout est possible: dépasser mes limites, ne pas tenir compte de moi, me corriger pour de vrai, de manière réaliste, ne pas accepter mes plaintes, me punir si je bouge ou essaie d'éviter les coups de baguettes.
Mais sur place, à quelques minutes ou même quelques secondes de la première application des verges sur les fesses nues, c'est vraiment autre chose. Cela fout la trouille, fait peur. Et cela n'est souvent rien en comparaison du moment après ce premier coup quand la Maîtresse a montré qu'elle fouette vraiment fort. Et je le sais, de ma première séance chez elle, qu'elle peut être sévère.

La Maîtresse arrive enfin. Elle est accompagnée par une collègue. Que me réservent-elles?

Elle commence à me brusquer, me gronder, me gifle encore une fois. La lecture de ma lettre lui a donné de bonnes raisons pour me punir. Sa collègue lit les fautes et dit à la Maîtresse combien de coups de baguette elle doit m'appliquer. La Domina fesse fort, heureusement que la collègue n'est pas trop sévère dans le nombre de coups que je mérite. Après avoir passé en revue les différentes bêtises, mes fesses chauffent déjà pas mal. Une baguette bien appliquée fait toujours mal. La collègue sort de la pièce et je reste seul avec ma sévère fouetteuse.

Elle commence à se moquer de moi: pourquoi j'aime être fessé, que je suis maso, qu'elle n'aimerait pas recevoir les verges, que c'est pas normal d'avoir plaisir d'avoir mal aux fesses etc.. Elle me dit aussi qu’elle se souvient de moi la première fois car elle s’était piquée à la main avec les orties quand elle me les frottait dans la fente entre mes fesses. Puis elle m'ordonne de me pencher sur la longue table.


Je la vois prendre un claquoir et revenir vers moi. Elle commence à frapper mes fesses fortement et rapidement. Cela fait très mal, je me plains et bouge mes fesses, essaye d'éviter les coups. Elle me gronde et m'ordonne de ne pas du tout bouger mon derrière. La raquette recommence à fouetter. Cela est très douloureux, j'ai vraiment de la peine à ne pas bouger. C'est très pénible et elle ne semble pas vouloir s'arrêter. Elle continue et encore, et encore.


Enfin elle ne fesse plus et je peux bouger et toucher mes fesses. Elles sont très douloureuses. Je sens la chaleur de la correction. Elle n'y a pas été de main morte. C'est une vraie Maîtresse qui sait et ose fouetter. Il me fallait cela, je l'avais cherché et mérité. J'aimerais bien que la punition se termine mais elle ne semble pas de cet avis.
A y penser maintenant, elle avait raison de continuer les fessées. Mais sur le moment j’en avais vraiment assez et ne savais pas comment je pourrai supporter encore des fessées si sévères appliquées par cette Maîtresse décidée.

Elle annonce que mon derrière est bien préparé et sensible pour recevoir la fessées aux verges. Je dois me mettre à plat ventre sur la table et elle m'attache les poignets et les chevilles avec des cordes synthétiques. Je ne fais pas le malin. Les attaches sont solides, je n'arriverais pas à me défaire de ces liens. Me voilà entièrement à sa merci. La Domina sort de la pièce et me laisse gamberger et l'attendre. Les verges sont à coté de moi, je les vois menaçantes, méchantes, comme dans une bonne photo. Elles sont réelles.

Mes fesses sont déjà douloureuses, sans protection, immobilisées, à portée de baguettes spécialement choisies pour punir sévèrement. Lorsque je confectionne les verges, je ne suis pas très conscient que c'est pour mon derrière à moi. Je les prépare donc avec soin, en pensant qu'elles doivent faire le plus mal possible. Une verge comme j'aimerais avoir à disposition si je devais corriger pour de vrai, de manière réaliste.

...  féroces verges pour sévères fessées

Tous les éléments sont réunis pour une très grande fessée: une Maîtresse décidée qui devrait être très sévère (comme demandé dans la lettre), des fesses dénudées, dégagées, immobilisées, sensibilisées, bien accessibles et une verge véritable confectionnée pour fustiger correctement et sans merci. Le tout avec mon accord écrit dans la lettre.

Voilà, je n'ai plus qu'à attendre le premier coup et les suivants selon le bon vouloir de la fouetteuse. Ce que je ressens ou peux dire ne comptera pas. J'ai vraiment peur, ne suis pas fier de me retrouver dans cette situation, position. C'est irréaliste. Et pourtant c'est bien réel. Et ça devrait faire très mal. Connaissez-vous la sensation d'une fessée à la verge sur des fesses dénudées, déjà douloureuses et rouges? Eh bien cela va m'arriver dans peu de temps.

J’entends des pas (avec des talons hauts fins on entend mieux), la porte s'ouvre et la Maîtresse entre. Elle me parle de me punir comme je le mérite, que j’ai fait de grandes bêtises et qu'elle va me faire comprendre avec les verges. Elle s'approche de moi. Ce qu'elle est sexy avec des bottes à haut talons et des gants en cuir brun (je préfère en noir mais elle n'en avait pas à disposition). Dès qu'elle empoigne la verge, je ne vois plus le coté sexy mais m'attend à avoir très mal aux fesses.

Le premier coup arrive très vite, bien appliqué. Elle fait mal, elle est toujours sévère. Je me tortille mais ne peux pas beaucoup bouger. La verge recommence son va et vient punitif. C'est très douloureux. Elle ne me laisse pas le temps de récupérer. Vingt, trente coups. Quand va-t-elle s'arrêter? Je n'en veux plus de la fessée mais je ne peux rien y faire. Elle continue à me fouetter. Arrivé à 36 elle s'arrête, sort de la pièce avec la verge à la main et me laisse en paix. Ouf! Ce que ça fait du bien quand cela s'arrête.

Quelques minutes après, la Maîtresse revient avec les verges. Elle s'approche de moi et me redonne encore 6 coups bien appuyés. Aie, Aie, Aie! Elle est dure et sans merci cette Domina. Enfin elle me détache et je peux me rhabiller.

C'était vraiment une très sévère séance et de grande qualité. J'ai déjà l'envie d'y retourner. Mais le besoin de fessée est éteint pour le moment. On verra cela plus tard.


Deux ans plus tard, ne pouvant plus l'atteindre par téléphone, j'y suis repassé. C'était un homme, noir, habillé en femme, qui m'a reçu. Je lui ai demandé si la Maîtresse était là. Il m'a répondu qu'elle ne travaillait plus ici, qu'il ne savait pas où et qu'il pouvait aussi me fesser. Etre fessé par un homme, même habillé en femme, ne m'intéresse pas du tout.

C'est tellement meilleur quand c'est une Maîtresse femme et sexy qui me corrige sévèrement!

A bientôt pour d’autres articles.
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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