Dimanche 13 juillet 7 13 /07 /Juil 16:52
auparavant


La fois précédente, dans cette fiction, vous m'aviez laissé dans la baignoire, pas tout à fait essuyé, et Maîtresse X qui commençait à me punir pour un peu de flotte par terre.

Et, comme après le premier coup de baguette noire, je ne me relevais pas assez vite, elle attrapa mes tétons, les pinça et les tira vers le haut. Ceux qui connaissent se seraient aussi retrouvés debout. Mes fesses tremblantes étaient à nouveau à portée de sa terrible cane synthétique noire. Un coup sur chaque fesse, un peu moins fort que le premier, et je suis autorisé à terminer l'essuyage.

"Maintenant, sors de la baignoire et essuie l'eau par terre". Vous pensez bien que penché vers la tache de flotte, Maîtresse X n'a pas manqué de rejouer de la baguette. Concentrez-vous dans ces conditions, facile à dire. Comment une personne a-t-elle pu fabriquer une chose si douloureuse, car cette tige synthétique ne peut servir qu'à fouetter. Elle ne présente aucun inconvénient, ne s'use pas, ne demande pas de force à l'utilisation et sa matière, sa souplesse, sa flexibilité assure au soumis (ou à la soumise) des douleurs fessières extrêmes. Pourquoi ai-je succombé à Mlle Rosa?

La Maîtresse est enfin satisfaite et peut débuter le programme correctif. En premier elle m'installe un bracelet de cuir, muni d'une boucle métallique, à chaque poignet et cheville. Ma condition de soumis se poursuit par un collier et une laisse. Ainsi habillé, elle me dirige à la laisse dans la salle des châtiments corporels. Celle-ci est sombre rouge.

elle peut tenir un siège avec sa réserve de canes

C'est un peu comme une salle de fitness, sauf que ce n'est pas les muscles que Maîtresse X va renforcer mais bien mon obéissance à Mme Martinet. La Dominatrice n'oubliera pas non plus ce que j'ai osé faire subir à Mlle Rosa. C'est fou où un petit moment d'égarement peut m'amener, dans une salle remplie d'engins de punition. Des supports divers en cuir noir recouvert de serviettes éponges. En plus de ces immobilisateurs, j'aperçois aussi des baguettes, verges, fouets, martinets, cravaches, verges, bref le kit de la parfaite Maîtresse.
J'allais oublier le trépied avec un appareil photo numérique faisant office de caméra. La carte mémoire SD confiée par ma directrice était prête à témoigner des désagréments demandés.

La Dominatrice installa un petit masque sur ses yeux car elle ne voulait pas être reconnue sur les images. Elle enclencha ensuite la caméra improvisée et dirigée vers une table. C'est vers cet endroit que je fus tiré. Je reçois l'ordre de me pencher dessus et assez vite Maîtresse X essaye différents moyens. Je ne suis pas autorisé à les voir me fustiger. Les 2 coups (un sur chaque fesse) de chaque instrument font plus mal les uns que les autres. La Maîtresse arrête enfin la caméra et vise un autre endroit de la "salle de fitness".

Elle me dirige ensuite vers un support de cuir très confortable. Genre de fauteuil d'immobilisation où je ne dois pas m'assoir mais me mettre à genoux et ensuite à plat ventre. Commence alors, de la part de la Maîtresse, l'immobilisation par des lanières aux chevilles, sous les genoux, aux cuisses, sur le dos et aux poignets. Et pour assurer la tranquillité, Maîtresse X m'installe un bâillon-boule. Vous vous doutez bien, je n'en mène pas large. Les fesses déjà douloureuses, les tétons qui démangent. Et ce support qui ne me laissera pas me reposer. Le temps qu'elle enclenche la prise de vues et le bruit de ses hauts talons aiguille se rapproche. Je sens le premier coup pas trop fort de ce qui me semble à nouveau la baguette synthétique.

un bâillon-boule pour ne pas ameuter les voisins

Aucun mystère la dessous. Maîtresse X m'explique qu'elle doit terminer le travail bâclé dans la baignoire et ceci par ma faute. Mais cette fois elle n'a aucun souci pour m'appliquer les 6 coups avec la grande sévérité prévue. Vous dire que cela fait extrêmement mal ne sert à rien car je l'avais déjà dit dans la baignoire. Je préfère garder mes forces pour supporter l'insupportable.

Les 6 coups reçus sans pouvoir bouger et crier me semblent suffire pour la faute commise avec Mlle Rosa mais Maîtresse X ne semble pas satisfaite. Un cocktail de différents instruments, toujours insupportables, me charcute les fesses. Mais que faire d'autre que de rester en place et laisser fesser. Des fessées comme celles qu'on voit dans les vidéos spécialisées mais sur mes fesses à moi et sans anesthésie. Comment une femme peut-elle être si sévère, faire si mal, sans lui avoir fait quelque chose? Maîtresse X me traite comme si elle avait un compte à régler directement avec moi. Elle n'est pas fâchée mais son traitement n'en est pas moins hyper douloureux.

Je ne me fais pas trop d'illusions quand elle me détache du support. En me menant à la laisse, je dois marcher à quatre pattes vers une espèce de potence. La laisse me tire debout. La suite se passera les bras écartés et attachés à une barre. Idem pour les jambes. Mes fesses sont en feu ce qui ne semble pas impressionner la Correctrice. Maîtresse X (elle ne m'a toujours pas dit son nom) ordonne de ne pas bouger pendant qu'elle parfait mon dressage.

le fouet ressemblait à ceux utilisé chez OWK

Cette fois je peux voir les moyens utilisés. Un fouet, une cane anglaise et une verge en rotin. Un morceau de percussions. Chaque instrument fait un son différent divisé en 3 parties: le rapide passage dans l'air en direction de mes fesses, l'alunissage brutal et mon ahhh sous le bâillon-boule. Après un moment cette musique s'arrête.

La Maîtresse si crainte se met devant moi et me regarde fermement de ses yeux sévères. Je suis entièrement à sa merci. "Tu commences à comprendre de respecter les femmes! Mlle Rosa ne t'avait rien fait et tu l'as humiliée, sévèrement fessée." Sans le bâillon j'aurais pu répondre "oui Maîtresse mais elle m'avait provoqué".

le deuxième membre du trio de châtiement

Je ne pense pas que ma tourmenteuse désirait entendre des excuses. En me regardant de son regard très sévère: "Tu fais moins le malin, sans défenses, devant moi ta Maîtresse sans pitié". Joignant le geste à la parole elle m'empoigne les tétons et les tire vers le haut. Je suis sur la pointe des pieds mais elle continue à tirer. Je n'ai d'autres choix que de faire ahhh à en perdre le souffle. Si elle poursuit son supplice elle va me les arracher les tétons.

Mais la Dominatrice en vraie professionnelle sait ne pas aller trop loin et me relâche d'un coup. Ce que j'aimerais pouvoir frotter les tétons si douloureux! Mais pas le temps de penser à moi. Une paire de gifles sonnantes me ramène à la réalité. Le temps à la Maîtresse de repasser derrière moi et l'entracte est terminé. Le concert de percussions recommence, semblant sans fin. La verge, la cane et le fouet sont infatigables.

la forte douleur de la verge n'est pas à négliger

Le cocktail de ces trois ingrédients subi avec courage et résignation et je suis libéré de ma position en X.
Ouf, enfin!

Ne pensez pas que je suis soulagé. La Maîtresse ne m'a pas dit qu'elle me libérait mais de rester à 4 pattes à ses pieds. Tout en jouant sévèrement d'une cane flexible, sur mon derrière déjà saturé, elle explique sa manière pour mâter, dresser, punir les clients qui s'adressent (ou sont forcés à s'adresser) à elle.
- Elle ne laisse rien passer, je l'ai constaté quand j'avais giclé en me douchant.
- Elle est très sévère, au-delà du supportable de chacun.
- Elle teste ensuite, sans immobiliser, des instruments de fessées qu'elle estime nécessaires.
- Elle immobilise fermement le patient et le punit très sévèrement.
Quand elle estime le soumis en partie dressé et mâté elle le soumet, dans la position du X debout, au renforcement des bonnes dispositions acquises.
Elle explique sa méthode de "fessé(e)-mâté(e)" tout en vérifiant qu'elle a atteint son but de manière durable (très rares sont les clients non-volontaires qui sonnent à nouveau chez elle).

Après s'être assurée que le traitement fessier à été efficace chez moi aussi, elle me libère enfin de ses contraintes et me permet de reprendre une douche pour éteindre mes fesses. Maîtresse X me remet l'enveloppe rouge cachetée en "X" à la cire avec ses appréciations sur mon comportement et la mémoire SD de mes exploits.

Ouf, j'ai enfin mérité mes 3 jours de congé. Ils ne seront pas de trop pour que mon derrière puisse se refaire une santé.


Suite à cette séance de châtiments corporels subie virtuellement, je pense avoir une idée plus précise de la signification de l'abréviation SM.
SADO, Maîtresse X n'a rien à envier à ses collègues d'OWK par exemple. Elle avait assez vite repéré mon côté douillet, mes faiblesse, les endroits de mon corps où elle pouvait me faire souffrir. Et elle en profitait. Elle voyait la peur dans mes yeux quand elle empoignait le fouet, les verges ou la cane. Elle était consciente de sa supériorité. Elle aimait dominer, commander, humilier. Et comme cela ne suffisait pas elle m'immobilisait pour les fessées les plus sévères. Pour jouer au chat et à la souris, elle connaissait.
Il faut être vraiment sadique pour continuer à fouetter pour le seul plaisir de voir souffrir. Ou bien Maîtresse X le faisait uniquement par conscience professionnelle suite aux demandes des commanditaires. En tous cas Madame Martinet avait choisi une excellente adresse pour assoir son pouvoir.
MASO, il faut l'être pour se présenter chez une telle Maîtresse. Dans cette fiction, je ne le suis pas du tout mais ma directrice avait des arguments que je n'ai pu contrer.
Dans la vraie vie c'est une question que je me pose souvent: suis-je vraiment maso? Choisir un sujet bandant (les fessées), des instruments qui m'excitent (verges, canes, baguettes etc..) et demander à une Maîtresse très sévère de me faire souffrir comme si mérité pour une faute très grave. Cela y ressemble terriblement: être maso.

Chez Maîtresse X, le rôle du chat elle se l'était approprié avec peut-être même sa chatte qui était excitée. Je dis peut-être car je le suppose. Pendant qu'elle me fessait, je n'avais pas osé, au lieu de faire ahhh, ouhhh, lui demander si me fouetter sévèrement lui donnait une moule mouillée. Vous le lui auriez demandé?
Par contre de mon côté, dans le rôle de la souris, je puis vous assurer que mon joystick était pratiquement inexistant.
Cela me rappelle la formule célèbre d'un amateur de fessées: "Les sévères fessées punitives, c'est bandant avant et après mais pendant c'est pendant".
Les connaisseuses et connaisseurs peuvent peut-être me le confirmer. Dès qu'un seuil de sévérité est franchi, l'excitation sexuelle tombe et fait place à de la pure douleur.


Voilà, que voulez-vous encore savoir?
Je vous le dirai la prochaine fois.

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés