L’autre jour en me baladant dans une forêt, voilà-t-il pas que je vois un parterre d’orties. Ayant encore un peu de temps devant moi et l’endroit semblant très calme, je n’ai pas longtemps hésité.

A l’aide d’un mouchoir de poche en tissu, je cueille 3 tiges piquantes et me dirige vers un endroit encore un peu plus discret. En bas le froc, le slip et ma cueillette, avec une self-fessée, distille sa dose urticante. C’était piquant mais moins que ce que je m’attendais. Même en frottant sur les endroits sensibles entre mes cuisses la douleur était tout à fait supportable.

Un peu déçu,  je m’en vais cueillir un plus important bouquet, une dizaine de branchettes vertes. Au moment d’empoigner cette bonne touffe, je réussi même à me piquer la main. Les petites pointes avaient réussi à traverser le tissu de mon mouchoir. C’est curieux comme l’application d’orties sur les partie intimes est excitante et le contact avec la main désagréable.

Je réorganise mon mouchoir autour des tiges urticantes et me dirige à nouveau vers le discret endroit, à l’abri de quelques buissons. Et là, la quantité améliore les sensations. Les fourmillements se font plus denses. Je m’applique à appliquer consciencieusement les orties sur les cuisses, les fesses, entre les deux, mon sexe, mon gland (particulièrement réceptif). Cette fois le résultat est plus satisfaisant mais je n’ai pas retrouvé la douleur assez vive que j’avais déjà connue certaines fois en jouant avec des orties.


L’envie de recommencer ne me lâchait pas mais n’ayant plus de temps, j’ai dû abandonner mes expériences en me promettant d’y goûter à nouveau.

Malheureusement déjà 6 heures après, le fourmillement caractéristique avait déjà disparu.
Certainement que des orties plus fraiches du printemps devraient laisser un souvenir plus intense.

J’essaierais bien avec une sévère Maîtresse mais la proximité d’orties fraiches et efficaces avec une Domina ce n’est pas évident. J’avais bien connu une Dominatrice qui en avait exprès dans son jardin mais cela fait longtemps qu’elle a disparu. Dommage, elle m’avait promis de me les faire goûter la fois suivante et quelques temps après elle n’était plus là.


C'est tout pour aujourd'hui. N’hésitez pas à partager vos expériences urticaires en laissant un petit commentaire.

A bientôt !


PS: j'allais oublier, j'ai quand même gardé un petit souvenir désagréable de cette ballade en forêt. Pendant que les orties faisaient leur job sous ma ceinture, 3 moustiques m'ont attaqué les mollets. 3 jours après, j'ai encore envie de me gratter.
Moralité: pour goûter aux orties en forêt, ne baisser le froc qu'à mi-cuisses.