Samedi 25 août 6 25 /08 /Août 17:19
La dernière fois, Princesse Christine m’avais laissé dans un carcan, sans lumière, tout nu et les fesses déjà fustigées durant l’interview. Elle m’avait promis une surprise et était partie.


J’entends des pas dans le couloir, une clé tourne dans la serrure et la porte du bureau s’ouvre. La lumière est rétablie.
Princesse Christine entre. Elle s’est changée et porte maintenant un ensemble très chic. Gants de cuir noir, jupe juste au dessus du genou, bas fins de couleur brun foncé, chaussures à talons hauts et fins. Elle porte aussi un grand sac.

Mais la vraie surprise c’est de voir une autre Vergère, Maîtresse Jana (sa nièce) la suivre. Celle-ci est habillée plus que sexy, je dirais même plus, de manière indécente. Mini jupe serrée de latex brillant noir au raz des fesses. Chaussures fines noires à très très hauts talons (comment arrive-t-elle à marcher avec?). Et entre les deux, des jambes magnifiques. En haut elle a un chemisier blanc semi-transparent qui laisse un peu plus que deviner ses seins magnifiques en liberté. Comme elle se déplace, ses tétons très fermes et semblant excités se promènent sous la fine chemise. Elle porte aussi des gants mais en latex et montant jusqu’au-dessus des coudes.

pourquoi Maîtresse Jana a-t-elle de si longs gants sexy?

Toc, tac, swift, toc, tac, toc, swift, tac, toc, tac (2 paires de hauts talons se rapprochent de moi dans une démarche très excitante).

Maîtresse Jana tient dans chaque main une longue baguette qu’elle fait siffler en marchant avec un petit sourire sadique. Elle les laisse tomber devant moi puis vient se placer devant mes yeux en s’abaissant. Sa mini jupe tendue en latex montre bien ce que j’avais soupçonné, elle ne porte pas de slip et a le sexe bien rasé.

Sans avertir elle m'empoigne par les cheveux, me tire la tête en arrière et de l'autre main m'administre deux gifles aller-retour et sonnantes. Puis elle se relève et rebaisse bien sa jupe serrée sur ses belles cuisses.

PC : "Voilà jeanber, la surprise. Jana, qui est quelques jours chez moi, a tenu à participer aux réjouissances. Elle aussi n’avait pas apprécié une petite partie de la fiction"

Maîtresse Jana : "Tu te souviens salaud quand tu avais profité que j’avais peur des orties et que ma tante m’avais fait souffrir avec ces feuilles urticantes. Tu vas le regretter"
Maîtresse Christine s’avance vers moi, ouvre son grand sac et je vois une quantité d’orties fraiches gardées avec leurs racines dans la motte de terre humide. Elle pose le sac bien ouvert devant ma vue.
De vraies connaisseuses ces deux Maîtresses. Elles savent que des orties coupées et transportées ne sont presque plus efficaces. Mais celles du sac sont intactes.

JB : "nnnnnhhhhh" (je ne peux que faire un petit bruit avec mon bâillon boule dans la bouche)
Impatientes de profiter au plus vite de ces plantes urticantes, Maîtresse Christine me tient bien les fesses et les cuisses écartées et Jana empoigne, avec ses gants de latex brillant montant jusqu’aux coudes, une bonne touffe d’orties et commence à me masser l’entre jambe. Ahhh ce que ça pique, brûle. Les fourmilles envahissent les chairs sensibles.

Chaque fois qu'elle revient chercher une nouvelle série d'orties fraiches, sa jupe noire s'agrippe à ses cuisses magnifiques mais remonte assez pour laisser voir ses trésors. Debout, elle réajuste son vêtement de latex puis continue son travail de punition.

Jana est très méthodique en passant par les fesses entières, les cuisses tout autour, les mollets.
Elle a pris soin de garder une touffe pour me badigeonner les seins.

Toutes les parties très sensibles picotent terriblement.

PC : "Voilà, les orties ont donné le maximum. J’espère que tu as apprécié. Jana a réussi à vaincre sa peur des orties et avec ses gants elle ne risquait rien. C’est moi par contre qui me suis fait toucher l’avant bras avec les orties en t’écartant les cuisses au maximum. Je sens terriblement piquer encore maintenant"
(Je pensais, bien fait pour sa pomme mais elle continue à me parler)

Je vois à nouveau, comme si je les avais oubliées, les 2 terribles baguettes de noisetier posées devant mes yeux.

PC : "Tu te souviens m’avoir envoyé de manière humiliante chez BFE, fait porter le slip Formicul comme les autres du Conseil et aussi fait participer aux démonstrations de fin de BAF, du côté punie, sous prétexte que cela était indispensable pour mon doctorat de Fesséologie ? Tout se paie mon gaillard"
Pendant qu’elle me parle, Maîtresse Jana ramasse les deux instruments de correction trouvés en forêt et j’entends siffler les verges. Elle teste dans l’air la souplesse et la flexibilité de ces deux longues baguettes de noisetier. Ce son est très excitant à entendre.

Aie, encore des instruments de fouettage qui peuvent être extrêmement douloureux si elles les utilisent au max.
Je n’ai pas le temps de penser à autre chose car les salopes commencent à me fesser à tour de rôle sur chaque fesse (je n'utilise habituellement pas de mot vulgaire mais c'est la pensée qui me vient quand je sens vivement les baguettes de noisetier).
J’entends leurs talons se promener derrière moi.

Toc, toc, toc,  hazel
Toc, toc, tac, tac, tac, hazel …
Dès qu’une Dominatrice a fini d’appliquer la baguette sur une fesse, elle s’écarte un peu et l’autre s’approche pour me montrer l'effet de l’arrivée à grande vitesse de la baguette de coudrier.
Je ne vous explique pas que c’est très douloureux, intenable, insupportable mais que faire, coincé dans le carcan.

Laquelle fouette le plus fort? Comme j’étais déjà un peu habitué à la maitrise de la Princesse, il me semble que Jana est encore plus cruelle et sans pitié. Mais je ne peux l’affirmer car j’entends uniquement leurs talons pointus sur le parquet, j'ai interdiction d'essayer de tourner la tête.

Toc, toc, toc,  hazel
Toc, toc, tac, tac, tac, hazel …
Après ce qui me semble une douzaine de coups sur chaque partie de mon derrière, le fessestival s’arrête et Maîtresse Christine recommence à parler.

l'application d'orties fraiches n'était qu'une partie de la punition infligée

PC : "Je te remercie jeanber pour cette interview. Je vais te laisser en paix maintenant et te libérer"
Elle m’enlève le bâillon et ouvre le carcan.

JB : "Merci Cri-cri, cela me soulage cette gentillesse de ta part"

PC : "Ce n’est pas parce que l’interview est terminée que tu peux avoir de la familiarité avec moi. Je reste tout de même une Princesse à qui l’on doit le plus strict respect. Compris ? "
Crack, crack, crack (elle me donne 3 coups très appuyés avec sa cravache)
Elle manque vraiment d'humour !

Je peux enfin me remettre debout. Je me frotte les fesses car elles me démangent énormément. Il y a aussi une fourmilière entre mes jambes. Les orties et le noisetier ont vraiment  fait un ravage. Elles sont complètement cassées ces bonnes femmes de me fustiger de la sorte. Elles savent précisément ce qui fait mal et où et comment le faire.

Je me rhabille enfin.
Jana dans un élan pour faire plaisir s'est installée sur une chaise les jambes croisées et un peu écartées. Elle arriverait à faire oublier le châtiment reçu.

JB : "En acceptant cette interview, je ne m’attendais pas du tout à être fessé ainsi pendant l’entretien. Et pourtant je vous connais très bien car c’est moi qui ai créé votre personnage. Vous m’avez vraiment montré ce que signifie une véritable correction dirigée par une professionnelle des fouettages"

PC : "Cela montre surtout que tu te trompes parfois comme cela est arrivé dans le résultat de l’élection. Tu n’avais pas prévu cela"

JB : "Car tout cela reste toujours une fiction, Prinnnnnnncess Christine"

PC : "Encore ton humour à la PI, jeanber"

pas facile de détacher son regard des jambes de Maîtresse Jana

Maîtresses Jana est toujours silencieuse mais, quelle allumeuse quand elle décroise et recroise ses jambes assise sur la chaise. J’ai vraiment de la peine à me concentrer pour l’interview.

JB : "Puis-je à mon tour vous poser une question ? Elle est un peu personnelle"

PC : "Je t’en prie"

JB : "A propos de la BAFfeuse Erika, je n’ai pas osé la mettre dans la fiction car je savais que …"

PC : "… que je couchais quelque fois avec elle"

JB : "Oui Princesse Christine je le savais dés le début"

Comme je parle de la liaison de la Princesse avec Erika, j'ai l'impression, mais je peux me tromper, que Jana me lance un regard noir et montre un petit moment un visage très dur. Mais très vite son magnifique sourire revient.

PC : "Je te remercie de cela mais ne vois pas d’inconvénients à le rendre publique et Erika est aussi très ouverte à laisser passer cette info.
Erika n’aime pas du tout être fessée. C’est un point qui me chagrine car comme tout le monde le sait j’aime beaucoup infliger des punitions corporelles particulièrement avec différentes baguettes, canes et autres instruments similaires. Erika a d’ailleurs quitté son copain car il insistait tellement pour lui donner des fessées et la plupart du temps elle cédait. Il était particulièrement vicieux dans le choix des instruments. Il les choisissait extrêmement douloureux. Certaines canes, synthétiques surtout, font déjà crier lors d’une utilisation à force faible. Son copain savait aussi à quels endroits appliquer les canes ou les baguettes. Par exemple à la jonction des cuisses et des fesses ou sur le haut et les côtés des cuisses"

JB : "Une vraie brute, son mec. J’aurais pu, dans la fiction, l’envoyer chez DsK"

PC : "C’est sympa pour ton intention mais comme dans toutes les choses, il y a souvent quelques enseignements à en tirer. Erika a ainsi appris exactement où et comment faire très mal en fessant. Et cela tombait bien car si Erika n’aime pas être fouettée, même pas quelques claques à la main, elle adore corriger les autres. Elle utilisait chaque fois la Valise avec grand plaisir"

JB : "Je le savais et c’est pourquoi elle était dans le groupe des BAFfeuses"

PC : "Moi qui passe une partie de mon temps à fesser et organiser des activités sur ce sujet, j’apprécie beaucoup parfois me faire fustiger par Erika. Nous appelons cette activité la déstresse. Et ainsi je profite à mon tour de l’expérience du vécu quand je fouette un esclave ou une autre femme"

JB : "C’est bien le partage des connaissances !"

PC : "Ca va jeanber, ne te fous pas de moi ! Et après la déstresse j’apprécie aussi le savoir faire classique d’Erika au plumard"
Il parait que cette ancienne institutrice est une vraie étalonne avec les autres femmes. Pour les hommes il faudra l’oublier, l’expérience punitive avec son copain l’a dégoûtée des mâles.

Mais si vous cherchez, visiteuses ou visiteurs, une fouetteuse très sévère, Erika ne refusera pas de vous corriger. C’est une manière pour elle de se venger de son ancien compagnon.

PC : "Il y a cependant une chose que tu ne devras pas rendre publique, jeanber, car mon amante Erika n’apprécierait pas du tout" (elle me le dit tout bas)

Je vous livre l’info, on est entre nous, mais vous ne la dites à personne et ne la rendez pas publique.
A part ses qualités de fouetteuse et d’étalonne, Erika n’est pas du tout féminine avec son genre de garçon manqué et habillée en jeans pour hommes. Et c’est la raison pour laquelle Maîtresse Christine reçoit très souvent une autre femme dans son lit, une très belle et jeune femme infatigable quand il s’agit de sexe.
Elle n’a qu’un petit défaut, elle n’est pas du tout intéressée par les fessées. Cela peut arriver, car pas toutes les personnes n’ont ce phantasme.

Mais je me répète, ne dites à personne que la Princesse Christine a encore une autre amante que Mlle Erika.

JB : "Si j’ose, j’aurais encore une autre question moins personnelle"

PC : "Vas-y"

JB : "Qu'avez-vous comme activité depuis la dissolution de la BAF"

PC : "J’ai un gros projet en route et retourne en Verginie pour être un peu au calme. Mais je peux communiquer avec mes amis par Internet. Malheureusement très lentement car j’ai une petite boîte qui clignote avec plusieurs fils qui vont vers le téléphone" (c’est vraiment le moyen âge la Verginie)

JB : "Cela s’appelle un modem. Et si vous m’offrez un séjour dans le pays des meilleures verges pour fessées, je regarderai s’il est possible d’améliorer les choses"

PC : "J’accepte de bon cœur et te ferai aussi goûter quelques baguettes fraiches de Verginie"

JB : "Affaire conclue"
Je ne peux qu’apprécier cette proposition d’une connaisseuse.

PC : "As-tu d’autres questions à me poser ? "

JB : "Non. Je voulais juste encore vous féliciter pour votre doctorat en Fesséologie"

PC : "Tu es adorable JeanBer. Cela me touche beaucoup"

JB : "Savez-vous quand sortira cette interview dans l’Echo des Fessées ? "

PC : "Si tout va bien la semaine prochaine. Juste avant ton voyage en Verginie"


Voilà, je vous passe les civilités de fin d’interview et vous retrouve bientôt pour d’autres articles.
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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