Les fessées

Mardi 26 décembre 2 26 /12 /Déc 23:34
auparavant

… elle m'annonce que ce n'est pas fini, qu'elle a encore prévu une punition pour moi. Je ne veux plus qu'elle me fesse ni qu'elle touche à mon derrière sévèrement châtié.

La vue d'un chevalet me ramène à de cuisants souvenirs

Avec la baguette elle m'amène vers le chevalet et me force à me pencher dessus, toujours avec les fesses nues. C'est presque la panique! Je veux partir, fuir cet endroit de supplice. J'en ai marre, ai assez de ces baguettes et verges. Je la supplie, je ne veux plus jouer à la fessée. Rien n'y fait. Elle est décidée à me corriger encore. C'est vraiment un moment spécial. J'ai les fesses très douloureuses, j'étais même soulagé en croyant la fin de mes tourments et voilà qu'elle veut remettre cela.

Penché sur le chevalet, mon derrière et mes cuisses dirigés vers le haut, elle me dit qu'elle va me donner 20 coups de verges, de celles dont j'ai le plus peur, et ceci sur le haut des cuisses. Elle m'explique que dans la lettre, j'avais dit qu'elle pouvait aussi me punir à cet endroit. Je n'y avais plus pensé. Jusqu'alors elle ne m'avait pas appliqué de baguettes sur le haut des cuisses (un endroit aussi très sensible).

Malgré ce résultat elle allait encore me corriger

Je dois décompter les coups et elle recommencera en cas d'erreur. Elle recule la verge et me l'applique durement, comme elle sait si bien le faire, juste sous mes fesses. Je compte à l'envers et après quelques coups je me relève et la supplie d'arrêter. Je ne veux vraiment plus continuer, ce n'est plus un jeu pour moi. Elle ne m'engueule pas mais m'oblige avec la baguette à reprendre la bonne position.
Le décompte recommence, la Domina me fustige de manière appliquée, sans méchanceté, sans colère. Elle cherche uniquement à bien faire son travail. Et son job c'est d'appliquer fortement les verges, de la manière qu'elle a décidé, avec le nombre de coups prévus.

Ce que j'en pense, la douleur que je ressens ne lui importe pas. Je dois être sévèrement puni et elle s'y applique. Elle est sans pitié et semble avoir le temps pour mener à bien sa tâche.

C'est vraiment le trio magique: une Maîtresse sévère, décidée, mes fesses dénudées, déjà très sensibles, une verge réelle, méchante. Je ne compte pas dans cet ensemble. Mes erreurs de comptage sont fréquentes. Il m'est difficile de me concentrer. La Maîtresse le sait mais ne fait pas de cas car elle applique le règlement strictement, sans pitié. Comment peut-on être si sévère? Elle sait que j'ai mal et continue tout de même. C'est du sado-maso appliqué.

J'ai bien dû recevoir une cinquantaine de coups jusqu'à satisfaction de la Maîtresse.
Elle me laisse me rhabiller. Je la remercie et repars avec les fesses en feu.

C'était une vraie et sérieuse Maîtresse. Elle était très sévère!
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Dimanche 24 décembre 7 24 /12 /Déc 06:00
auparavant

Dans l'article précédent, j'étais arrivé au moment où la Maîtresse est venue me rejoindre dans la salle de correction. Je l'attendais tout nu.

Je lui lis à haute voix la lettre que j'ai essayé de pondre en allemand.
Après cette lecture elle prend assez vite le commandement des opérations et commence à me fesser durement avec les moyens apportés. Elle m'interroge sur mes bêtises, me gifle. Je dois rester à quatre pattes et lever un pied après l'autre et bien lui présenter la plante des pieds. Elle applique durement la baguette, ce que ça fait mal et n'est même pas si excitant à y repenser. Mais cela fait aussi partie d'une véritable punition. Elle joue aussi avec les baguettes sur mes fesses, cela fait mal. C'est encore supportable mais déjà au-delà de l'excitant.


J'essaye d'échapper à ses baguettes. Elle est gênée dans son travail et m'ordonne de me mettre debout devant la barre horizontale où elle m'attache les mains assez haut. Les talons touchent encore tout juste le sol. Je suis à sa merci, impuissant, les fesses déjà un peu marquées, rougissantes. Je peux bouger un peu mon derrière à gauche et à droite mais c'est tout. C'est une drôle d'impression. Je suis nu, le derrière bien dégagé, bien accessible. Je sais que la Maîtresse est sévère, elle l'a montré.
Si elle décide de me faire souffrir, elle peut le faire sans mon avis, sans que je puisse l'éviter. J'espère, à ce moment, qu'elle ne tape pas plus fort, que la punition se termine au plus vite, qu'elle me ménage un peu. Ce n'est pas de la panique, mais un certain stress. La peur, la trouille qu'elle fouette aussi fort ou plus fort qu'avant.

Mes craintes sont fondées. Après quelques coups de baguettes bien appuyés, elle prend les verges et revient vers moi. S'aperçoit-elle que j'ai peur? En tous cas elle ne me le montre pas et me fesse rapidement et fortement comme si je lui avais fait du mal, avais été malhonnête ou impertinent. Je ne lui ai rien fait juste apporté des baguettes et demandé de me fesser sur mon cul nu. Après une douzaine de coups elle s'arrête, me gronde un peu et sort.

Je reste ainsi sans savoir ce qui va arriver ensuite. Je ne peux me détacher, ai les fesses brûlantes. Je ne veux plus du tout qu'elle me touche. Le temps me semble long, 5 minutes ou 10. J'écoute tous les bruits, j'entends des voix de femmes, parfois des pas. Et moi alors, que pense faire de moi la Maîtresse? Tout à coup la porte s'ouvre. J'ai peur de recevoir à nouveau les verges. Je les vois derrière moi posées par terre. Elles me narguent, ces méchantes verges, semblent encore en très bon état et prêtes à de nouveau mordre mes fesses.

La Maîtresse se dirige vers les verges craintes, les prend dans sa main gantée de cuir noir et se rapproche de moi. J'essaye de tourner mes fesses, de les éloigner. J'ai très peur. Ce qui n'impressionne pas la Domina qui me refait la morale et m'annonce qu'elle doit encore me fesser, qu'avant ce n'était rien du tout. La verge recommence son va et vient. Ce qu'elle fait mal. Après quelques coups, je demande de stopper. Elle ne m'écoute pas et continue.
Elle cesse enfin la punition après une vingtaine de coups. Mes fesses sont en feu.

Elle me libère. Je suis soulagé, je peux frotter mes fesses, elles ont des traces rouges en relief. Ce qu'elle était sévère cette Maîtresse. Je prends mon slip et veux l'enfiler quand ...



Le dernier article de cette séance fessée est pour la prochaine fois. Mais en attendant ...

... que chacun reçoive le cadeau attendu ou mérité.
Les présents qui font fureur cette année sont toujours les baguettes, badines, canes, verges, cravaches, martinets, baillons, pincettes, gods, fessées, séances de soumission / domination et j'en oublie certainement.
Il y a l'embarras du choix pour les Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, curieuses, curieux les plus exigeants.

Enfin, en un mot, amusez-vous bien!

A toutes et tous, je souhaite un




PS:  faites-moi part des cadeaux reçus ou offerts correspondant à l'esprit de ce blog.
Merci d'avance

JeanBer
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Lundi 27 novembre 1 27 /11 /Nov 05:59
Il y a quelques années j'avais repéré, dans la revue Satz, un salon dans une petite ville de Suisse allemande. La présentation de cet endroit, aussi spécialisé SM, donnait envie de voir de plus près. Il n'y avait pas de rendez-vous à prendre. Comme je devais passer vers Zürich pour mon travail, il me restait un moment l'après midi pour refaire à nouveau chauffer mes fesses.

Le matin, avant d'arriver au boulot, j'ai préparé quelques magnifiques baguettes et verges et les ai fourrées dans un sac de voyage. C'était en hiver, il faisait assez froid.

Vers la fin de mon rendez-vous professionnel, je commençais à avoir les idées ailleurs, à avoir un peu la trouille comme avant chaque séance fessée. La Maîtresse sera-t-elle à la hauteur, très sévère, aime-t-elle fouetter? Les baguettes étaient elles bien choisies comme pour les appliquer sur d'autres fesses que les miennes. Une Domina qui les utilise à leur capacité infligera une très sévère punition.

Arrivé à la petite ville pas très loin de l'autoroute, je me suis garé et ai été boire un café. En sortant, j'ai demandé à la serveuse où se trouvait la rue du salon de massage. Je n'étais pas très sûr de moi et avais une petite voix. Elle m'a regardé un peu drôlement (à mon avis) et m'a très gentiment renseigné. Cette rue devait être connue des gens du coin.

Comme le salon était à deux pas, j'ai laissé la voiture sur place, pris mon sac de supplice et me suis dirigé d'un pas mal assuré vers la maison indiquée. J'ai chaque fois peur quand j'arrive vers l'endroit de ma future fessée. Si la Domina est compétente, la fessée fait vraiment mal car les baguettes sont toujours prévues pour. Je rentre dans le bâtiment et prends l'ascenseur. Et me voilà devant la porte du salon. J'ai la trouille (cela fait aussi partie de l'ensemble). Vais-je sonner à la porte?

Avec du courage, j'appuie sur la sonnette et franchis le point de non retour. Quelqu'un regarde par le judas et j'entends la clé tourner, une femme ouvre la porte.
Et je lui dis Bonjour Maîtresse!


Puis lui explique que j'aimerai être fessé avec ces instruments tout en ouvrant mon sac.
Je dois vous expliquer que la Domina ne parle pas du tout le français et moi l'allemand d'une manière approximative. C'est donc moi qui suis en position de faiblesse.
Après les règlements d'usage, une petite discussion de mes préférences, sur la raison de ma présence (fautes commises), elle m'indique une porte et m'ordonne de l'attendre dans ce local. Je devrai me déshabiller entièrement et mettre les mains sur la tête. Je lui obéis et arrive dans une salle bien équipée. Je referme la porte derrière moi.

La salle comporte différents instruments de corrections dont un chevalet et une barre horizontale placée à environ 2m de hauteur, les deux équipés de lanières pour immobiliser les personnes à fustiger. C'est vraiment impressionnant! Je ne dois pas oublier de me dévêtir et me retrouve bientôt sans défenses, les fesses encore blanches et calmes. C'est toujours un peu pénible d'attendre l'arrivée de la Maîtresse, à ce moment là et nu comme un ver. J'ai peur! Il fait aussi un peu sombre, c'est très souvent le cas dans les salles de corrections corporelles.

Après un moment qui me semble une éternité, j'entends le bruit de hauts talons qui se dirigent vers la porte du local des réjouissances. C'est peut-être la Domina qui vient s'occuper de moi comme je le mérite.

Effectivement la porte s'ouvre et la Maîtresse, habillée sexy avec hauts talons et gants en cuir noir, se dirige vers moi en tenant à la main les différentes baguettes et verges apportées.
A y penser par après, c'est aussi un grand moment. Si la fesseuse est de qualité, elle aura un air sévère, saura diriger, fustiger douloureusement. Elle est habillée sexy avec hauts talons et gants en cuir noir. Elle a de terribles instruments à portée de main. Elle a l'intention de punir véritablement, de manière réaliste et va le faire.
Bref! Tout ce que l'on peut ressentir en voyant une belle photo de Maîtresse. Et voilà qu'elle est devant soi, que les fesses sont encore en paix. Mais à quelques brefs instants des premiers coups.

Dans la réalité, j'ai plus la crainte qu'elle aille me faire trop mal que de penser à la beauté de cette vraie Maîtresse devant moi.

Pour la suite, c'est au prochain épisode…



PS1: Vos visites sont nombreuses mais pour les commentaires on repassera ;-) Comme pour les autres articles, les commentateurs en puissance sont les bienvenus. Quelques idées par ici.

PS2: Un petit clin d'œil gentil à une réalisatrice de blog sympa rencontrée récemment par mes commentaires.

Un grain de sel bien en forme


 
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 04:14
auparavant

C'était au printemps 1988. Une annonce dans une revue du style Minuit Plaisirs avait attiré mon attention. A la Roche-sur-Foron (en France voisine), une Maîtresse proposait 2 heures de domination pour un prix très raisonnable. Cette Domina portait aussi (sur la photo) des talons très hauts et semblait sévère. Cela se confirmera.


J'ai donc pris rendez-vous un samedi pour 15:00. Un peu avant le lieu du rendez-vous, je me suis arrêté près d'une forêt pour trouver les baguettes et verges nécessaires à une bonne séance fessée. Il y avait surtout du noisetier. Une baguette, une verge avec des brins allant de tous les cotés et une verge avec une demi-douzaine de tiges souples et flexibles vont faire l'affaire. Des instruments de rêve.
Si la Maîtresse connait bien son boulot ça va chauffer.
Après avoir enlevé les branchettes inutiles et les petits nœuds, j'ai attaché les tiges bien ensemble et ai mis ces belles verges dans un sac de voyage.
Il ne me restait plus qu'à aller à mon rendez-vous, donner ces beaux fouets à ma Maîtresse et me fier à son savoir faire.

C'était une villa un peu isolée avec un jardin et une barrière autour. Un chien était devant la maison. Il y avait une place de parc un peu plus loin.


Je commençais à avoir la trouille mais rassemblant mon courage, j'ai pris mon sac de voyage et me suis dirigé vers la maison.

La Maîtresse de maison, en peignoir, m'a gentiment accueilli, elle avait cependant un air sévère et montrait que c'était elle la patronne. Nous sommes montés à l'étage dans un salon. Elle m'a posé quelques questions sur mon phantasme, si j'étais bi ou hétéro. Puis m'a ordonné d'aller dans sa chambre de nuit et de faire le lit et passer l'aspirateur.
Je lui ai demandé de me montrer comment elle fessait fort. Elle m'a demandé de baisser mon pantalon et mon slip et de me mettre à quatre pattes en lui présentant mes fesses. Elle a pris la baguette de noisetier et m'a donné trois coups très sévères sur chaque fesse. Que c'était douloureux! Ma Maîtresse n'était pas une petite fesseuse de théâtre. Elle m'a alors ordonné de me déshabiller et ne garder qu'un slip.

Puis j'ai fait le ménage dans sa chambre. Il y avait des revues SM que j'étais en train de consulter quand elle est venue pour contrôler le travail. Ce n'était pas assez bien et elle m'a grondé. Durant mon travail, j'ai encore trouvé une de ses petites culottes que j'ai prise et planquée dans mon sac comme souvenir. Dans le couloir, j'ai aussi vu passer un homme esclave qui ne disait rien et semblait un légume. Je ne sais pas s'il y en avait plusieurs dans la maison.

Après une dernière inspection de mon travail, elle m'a amené dans la buanderie au rez. Le sac avec les verges était resté dans le couloir à l'étage.

Elle m'a ensuite demandé de lui lécher les chaussures. Puis voulait que je lui donne du plaisir en m'occupant de son sexe. Elle a écarté son peignoir et en m'empoignant par les cheveux m'a dirigé vers sa fente. J'ai commencé à tortiller ma langue. Elle m'a dit que je ne le faisais pas bien, que je devais m'appliquer, que je ne savais pas bien faire. Je me suis permis de lui tirer la langue. Elle a changé d'expression, son visage s'est durci, elle semblait très fâchée, m'a fortement giflé et m'a dit que je verrai comment elle traite ce genre d'impertinence. Puis elle est sortie en fermant la porte. A quoi devais-je m'attendre?

Assez vite elle est revenue avec la verge faite de tiges à multiples petits brins. Elle avait aussi une ficelle. J'ai du baisser mon slip et elle a attaché une extrémité de la ficelle à mon sexe et l'autre à un tuyau. Je n'avais pas beaucoup de possibilités de mouvement.

Rapidement elle a empoigné les verges et a commencé à fesser fortement. Je revois encore la verge flexible se courber quand elle l'appliquait rapidement sur mon derrière. L'instrument faisait aussi son bruit caractéristique. Mais le plus impressionnant était quand même la douleur provoquée par la vingtaine de coups appliqués rapidement et sans arrêt. C'était une quantité de petites piqures dues à la multitude de fines tiges qui s'abattaient sur les fesses nues. Cette sensation est spéciale à ce type de moyen de correction. La douleur n'est pas trop aigüe mais répartie sur une bonne partie des fesses à la fois. C'était moins sévère que les quelques coups de noisetier du début.

Une fois la fessée terminée, la Maîtresse est sortie et revenue avec l'homme "légume" pour lui montrer ce qui arrive en cas d'impertinence. J'ai dû me retourner et montrer mes fesses bien marquées. Le légume n'a rien dit et la Maîtresse l'a ramené à sa place. Puis elle est revenue et m'a dit d'attendre car elle avait prévu de me punir encore très sévèrement.
Je n'étais pas fier et trouvais que c'était une vraie Domina.

Après une heure d'attente toujours rien. J'avais de nouveau envie de sentir des baguettes fustiger mon derrière. Je suis sorti de la buanderie et, ayant entendu des voix vers l'entrée de la villa, j'ai été dans cette direction. C'était ma Maîtresse qui discutait avec une autre femme. Quand la Domina m'a vu elle m'a ordonné d'un ton sec de retourner tout de suite à la buanderie et de l'attendre. Je lui ai donc obéi mais trouvais toujours le temps long.

Quelques minutes plus tard, elle est venue me rejoindre en tenant à la main la verge avec les 6 baguettes souples et flexibles. Elle s'est approchée de moi et tout en me pinçant, tournant et tirant fortement vers le haut mes tétons (ce qu'elle faisait mal), elle m'a engueulé. Elle n'avait pas aimé que je vienne la déranger à l'entrée et elle devait de nouveau me punir.

J'ai dû lui présenter comme il faut mes fesses pour une nouvelle fouettée aux verges. Après 20 coups bien appliqués elle est ressortie. Je trouvais que cette fessée était moins douloureuse que l'autre. Peut-être que je commençais à m'habituer. Mais je trouvais le temps très long et avais vraiment peur de ce que cette Maîtresse me préparait encore.

Après une demi-heure, j'ai décidé de partir. J'avais repéré une porte donnant sur le jardin et au fond de celui-ci un petit portail. La première porte était verrouillée mais avec la clé à l'intérieur. Doucement j'ai été vers le premier étage et ai retrouvé mon sac avec mes habits à l'intérieur. L'esclave m'avait vu et je craignais qu'il n'avertisse sa Maîtresse. De retour à la buanderie je me suis habillé en vitesse et me suis enfui. Arrivé vers la voiture, j'ai encore vu le chien autour de la maison. Il était passé 19h.


C'était vraiment une histoire de fou! Je ne pensais pas vouloir à nouveau des séances fessées. Mais cette envie est tenace.
Bien que cette Maîtresse était une vraie, qu'elle fessait fort, j'avais de nouveau envie de la voir. Le lendemain, je lui ai téléphoné et demandé un nouveau rendez-vous car je devais être puni fortement à cause du vol de sa petite culotte. Elle m'a dit que voler était grave et qu'elle allait s'occuper fermement de moi.
Je ne me suis pas présenté au rendez-vous car je craignais qu'elle ne m'enferme comme il faut ou qu'elle ne me mette des menottes. J'avais vraiment peur de ça.

Les traces laissées sur mes fesses par cette sévère Maîtresse ont mis un bon mois pour disparaitre.

Quelques années plus tard, dans la presse, il y a eu un article sur la fermeture de cet établissement spécial. Il me semble même qu'il y avait eu arrestation.

Je l'avais échappé belle!
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Samedi 4 novembre 6 04 /11 /Nov 04:41
auparavant

Depuis la première expérience à Paris il y en a eu beaucoup d'autres.
Toujours avec de la fessée, parfois avec de la pénétration (normale ou avec god).
La pipe a aussi terminé quelques fois une séance de fesses rouges.

Cela se passait toujours chez une Maîtresse, une fois il y avait une deuxième qui a participé. Mais jamais je ne voulais d'hommes dans le coup.

Je trouvais ces Maîtresse dans les annonces de journaux ou revues et maintenant plutôt par Internet. Ce moyen permet aussi, parfois de correspondre par email.

Sur plusieurs dizaines de visites, la plupart ne me donnaient pas satisfaction. Certaines dominas étaient des fesseuses de théâtre, d'autres étaient très rapides. Une autre demandait un supplément pour baiser (ce qui ne m'intéresse pas souvent chez ces professionnelles). Beaucoup pensaient à encaisser, faire un semblant de punition et oust dehors, au suivant.

Même avec les plus sévères, je pensais souvent que j'aurais supporté une fouettée plus forte et plus longuement. Et surtout qu'elle me parle plus durement, fermement, d'une manière autoritaire.

J'ai eu des visites à Paris, Roche-sur-Forons, Lausanne, Genève, Bâle, Berne, vers Zürich, Aigle, Bex, Martigny, Montreux.
Chaque fois que c'était possible j'apportais des baguettes et verges, parfois même des orties dans mon slip.


Je vous fais partager quelques rencontres:

Une dois il y avait un autre homme dans une pièce à coté qui était venu pour de la domination soft. Une autre était surtout intéressée à me sodomiser avec un god ceinture. Chez une, il fallait parler pendant une demi-heure avant qu'elle m'ordonne de me déshabiller et de lui présenter mes fesses à sa cravache (la baguette à chevaux comme elle la nommait).  Une autre, qui ressemblait à Peggy la cochonne, voulait que je la prenne par derrière. Une femme n'aimait pas la violence et n'a pas osé utiliser la verge mais a fessé doucement avec une baguette jusque j'éjacule.

Elle était trop sexy

Une très belle domina était si sexy et excitante que je me suis lâché pendant qu'elle se préparait et je n'ai plus voulu de suite la fessée ce jour là. Une autre fois elle est arrivée à me punir pour de bon.

Une autre fois lors de la recherche du studio d'une professionnelle, j'étais déjà dans le quartier et ai aperçu une très belle femme sexy avec une mini-jupe à qui j'ai demandé mon chemin. J'avais sur le siège passager un sac plastique avec différentes verges et baguettes à l'intérieur, la fenêtre était ouverte. Elle m'a très gentiment et agréablement indiqué le bâtiment où devait m'attendre la Maîtresse tout en regardant aussi le drôle de sac. Dès qu'elle a continué le chemin, je me suis aperçu qu'une tige avait percé le plastique. En avait-elle deviné le contenu et savait-elle que j'allais être corrigé sévèrement?
En tout cas la Maîtresse m'avait bien fessé avec les baguettes apportées et aussi avec des câbles électriques bien flexibles et très douloureux.

J'avais vu dans une revue d'annonce une photo en couleur d'une belle Domina noire avec une croupe et des fesses rebondies du tonnerre. Sur la photo elle portait un pantalon simili cuir rouge qui lui modelait très bien son joli cul. Je n'ai pas résisté, ai pris rendez-vous et suis parti la trouver à Bâle. Elle était française.
Elle ne portait pas ses pantalons rouges mais son derrière était magnifique.
Tout de suite, elle m'a enfermé dans une cage en m'expliquant que ses ancêtres étaient des esclaves et qu'elle voulait un peu se venger. Elle me parlait comment les esclaves étaient fouettés et traités. Je commençais à avoir la trouille.
Après un moment elle m'a libéré et fessé gentiment, pas trop sévèrement, puis m'a dit que je l'excitais et que je pouvais la pénétrer. C'était très très agréable.

Un jour en sortant de mon travail, j'ai croisé une Maîtresse chez qui j'apportais de temps en temps des baguettes pour une fessée. Je ne sais pas si elle m'a vu, remarqué, mais ai appris par la suite que c'était la mère d'un de mes collègues.
Je n'ai plus été chez elle et ce collègue n'a pas changé son comportement avec moi.

Il y avait 2 ans que je n'avais plus ressenti la sensation de baguettes et verges sur mes fesses en manque. J'avais préparé de superbes baguettes et les ai apportées à une Maîtresse à Martigny (Suisse). Malheureusement elle n'était pas une véritable et préférait la douceur. Elle n'a pas utilisé la verge et uniquement un peu les baguettes car elle trouvait trop sévère de fesser comme il faut sur mes fesses. Ce qui m'en ai resté c'était quelques jours de mal au bout des doigts car elle trouvait marrant de me faire mettre les doigts en pointe et de les punir à la baguette. Comme j'avais certainement les ongles un peu trop longs pour ce jeu, cela faisait assez mal et n'était pas très excitant. A y repenser maintenant c'est une punition que je pourrais proposer lors d'une de mes prochaines visites à une sévère Maîtresse.

En me préparant pour visiter une autre Domina, j'avais installé entre mes fesses un bouchon (de bouteille de vin) retenant une laisse anale (ficelle terminée avec une boucle). La description plus complète se trouve dans l'article: Une fessée ça se prépare!
Chez la Maîtresse, j'avais proposé de cacher de sévères verges dans une autre pièce et de me les faire chercher les yeux bandés. J'étais nu à quatre pattes sans rien voir. La Domina me dirigeait avec la baguette à gauche, à droite et en avant et, pour me faire stopper, marchait sur la laisse anale. C'était très excitant. Malheureusement elle était bonne comme fesseuse de théâtre car pas du tout sévère et autoritaire.
 

Il y a encore eu d'autres expériences plus marquantes que je vous raconterai dans des articles séparés.

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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