Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 04:14
auparavant

C'était au printemps 1988. Une annonce dans une revue du style Minuit Plaisirs avait attiré mon attention. A la Roche-sur-Foron (en France voisine), une Maîtresse proposait 2 heures de domination pour un prix très raisonnable. Cette Domina portait aussi (sur la photo) des talons très hauts et semblait sévère. Cela se confirmera.


J'ai donc pris rendez-vous un samedi pour 15:00. Un peu avant le lieu du rendez-vous, je me suis arrêté près d'une forêt pour trouver les baguettes et verges nécessaires à une bonne séance fessée. Il y avait surtout du noisetier. Une baguette, une verge avec des brins allant de tous les cotés et une verge avec une demi-douzaine de tiges souples et flexibles vont faire l'affaire. Des instruments de rêve.
Si la Maîtresse connait bien son boulot ça va chauffer.
Après avoir enlevé les branchettes inutiles et les petits nœuds, j'ai attaché les tiges bien ensemble et ai mis ces belles verges dans un sac de voyage.
Il ne me restait plus qu'à aller à mon rendez-vous, donner ces beaux fouets à ma Maîtresse et me fier à son savoir faire.

C'était une villa un peu isolée avec un jardin et une barrière autour. Un chien était devant la maison. Il y avait une place de parc un peu plus loin.


Je commençais à avoir la trouille mais rassemblant mon courage, j'ai pris mon sac de voyage et me suis dirigé vers la maison.

La Maîtresse de maison, en peignoir, m'a gentiment accueilli, elle avait cependant un air sévère et montrait que c'était elle la patronne. Nous sommes montés à l'étage dans un salon. Elle m'a posé quelques questions sur mon phantasme, si j'étais bi ou hétéro. Puis m'a ordonné d'aller dans sa chambre de nuit et de faire le lit et passer l'aspirateur.
Je lui ai demandé de me montrer comment elle fessait fort. Elle m'a demandé de baisser mon pantalon et mon slip et de me mettre à quatre pattes en lui présentant mes fesses. Elle a pris la baguette de noisetier et m'a donné trois coups très sévères sur chaque fesse. Que c'était douloureux! Ma Maîtresse n'était pas une petite fesseuse de théâtre. Elle m'a alors ordonné de me déshabiller et ne garder qu'un slip.

Puis j'ai fait le ménage dans sa chambre. Il y avait des revues SM que j'étais en train de consulter quand elle est venue pour contrôler le travail. Ce n'était pas assez bien et elle m'a grondé. Durant mon travail, j'ai encore trouvé une de ses petites culottes que j'ai prise et planquée dans mon sac comme souvenir. Dans le couloir, j'ai aussi vu passer un homme esclave qui ne disait rien et semblait un légume. Je ne sais pas s'il y en avait plusieurs dans la maison.

Après une dernière inspection de mon travail, elle m'a amené dans la buanderie au rez. Le sac avec les verges était resté dans le couloir à l'étage.

Elle m'a ensuite demandé de lui lécher les chaussures. Puis voulait que je lui donne du plaisir en m'occupant de son sexe. Elle a écarté son peignoir et en m'empoignant par les cheveux m'a dirigé vers sa fente. J'ai commencé à tortiller ma langue. Elle m'a dit que je ne le faisais pas bien, que je devais m'appliquer, que je ne savais pas bien faire. Je me suis permis de lui tirer la langue. Elle a changé d'expression, son visage s'est durci, elle semblait très fâchée, m'a fortement giflé et m'a dit que je verrai comment elle traite ce genre d'impertinence. Puis elle est sortie en fermant la porte. A quoi devais-je m'attendre?

Assez vite elle est revenue avec la verge faite de tiges à multiples petits brins. Elle avait aussi une ficelle. J'ai du baisser mon slip et elle a attaché une extrémité de la ficelle à mon sexe et l'autre à un tuyau. Je n'avais pas beaucoup de possibilités de mouvement.

Rapidement elle a empoigné les verges et a commencé à fesser fortement. Je revois encore la verge flexible se courber quand elle l'appliquait rapidement sur mon derrière. L'instrument faisait aussi son bruit caractéristique. Mais le plus impressionnant était quand même la douleur provoquée par la vingtaine de coups appliqués rapidement et sans arrêt. C'était une quantité de petites piqures dues à la multitude de fines tiges qui s'abattaient sur les fesses nues. Cette sensation est spéciale à ce type de moyen de correction. La douleur n'est pas trop aigüe mais répartie sur une bonne partie des fesses à la fois. C'était moins sévère que les quelques coups de noisetier du début.

Une fois la fessée terminée, la Maîtresse est sortie et revenue avec l'homme "légume" pour lui montrer ce qui arrive en cas d'impertinence. J'ai dû me retourner et montrer mes fesses bien marquées. Le légume n'a rien dit et la Maîtresse l'a ramené à sa place. Puis elle est revenue et m'a dit d'attendre car elle avait prévu de me punir encore très sévèrement.
Je n'étais pas fier et trouvais que c'était une vraie Domina.

Après une heure d'attente toujours rien. J'avais de nouveau envie de sentir des baguettes fustiger mon derrière. Je suis sorti de la buanderie et, ayant entendu des voix vers l'entrée de la villa, j'ai été dans cette direction. C'était ma Maîtresse qui discutait avec une autre femme. Quand la Domina m'a vu elle m'a ordonné d'un ton sec de retourner tout de suite à la buanderie et de l'attendre. Je lui ai donc obéi mais trouvais toujours le temps long.

Quelques minutes plus tard, elle est venue me rejoindre en tenant à la main la verge avec les 6 baguettes souples et flexibles. Elle s'est approchée de moi et tout en me pinçant, tournant et tirant fortement vers le haut mes tétons (ce qu'elle faisait mal), elle m'a engueulé. Elle n'avait pas aimé que je vienne la déranger à l'entrée et elle devait de nouveau me punir.

J'ai dû lui présenter comme il faut mes fesses pour une nouvelle fouettée aux verges. Après 20 coups bien appliqués elle est ressortie. Je trouvais que cette fessée était moins douloureuse que l'autre. Peut-être que je commençais à m'habituer. Mais je trouvais le temps très long et avais vraiment peur de ce que cette Maîtresse me préparait encore.

Après une demi-heure, j'ai décidé de partir. J'avais repéré une porte donnant sur le jardin et au fond de celui-ci un petit portail. La première porte était verrouillée mais avec la clé à l'intérieur. Doucement j'ai été vers le premier étage et ai retrouvé mon sac avec mes habits à l'intérieur. L'esclave m'avait vu et je craignais qu'il n'avertisse sa Maîtresse. De retour à la buanderie je me suis habillé en vitesse et me suis enfui. Arrivé vers la voiture, j'ai encore vu le chien autour de la maison. Il était passé 19h.


C'était vraiment une histoire de fou! Je ne pensais pas vouloir à nouveau des séances fessées. Mais cette envie est tenace.
Bien que cette Maîtresse était une vraie, qu'elle fessait fort, j'avais de nouveau envie de la voir. Le lendemain, je lui ai téléphoné et demandé un nouveau rendez-vous car je devais être puni fortement à cause du vol de sa petite culotte. Elle m'a dit que voler était grave et qu'elle allait s'occuper fermement de moi.
Je ne me suis pas présenté au rendez-vous car je craignais qu'elle ne m'enferme comme il faut ou qu'elle ne me mette des menottes. J'avais vraiment peur de ça.

Les traces laissées sur mes fesses par cette sévère Maîtresse ont mis un bon mois pour disparaitre.

Quelques années plus tard, dans la presse, il y a eu un article sur la fermeture de cet établissement spécial. Il me semble même qu'il y avait eu arrestation.

Je l'avais échappé belle!
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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