Mardi 16 octobre 2 16 /10 /Oct 08:06
auparavant


Dans le dernier article, je vous avais annoncé que je revenais d'une sévère séance fessée à la cane et vous avais promis de raconter cette journée particulière.


Si ça vous intéresse petits curieux, mes tétons ne font plus mal au toucher mais la position assise me rappelle encore parfois qu'il s'agissait de la cane que maniait en experte Maîtresse Iris. Et dans un miroir, mes fesses sont encore marquées de tâches foncées et striées, révélatrices, sans erreur possible, d'une sérieuse fessée.
J'attendrai encore un peu pour me rendre à la piscine.

C'est bien cela actuellement ma plus grande préoccupation. Ne pas révéler visuellement cette punition fessière. Car pour les très fortes douleurs qu'a connues mon postérieur ce ne sont plus qu'un souvenir excitant.

Les traces, visibles pendant plusieurs semaines, laissées par une cuisante fessée, sont vraiment un gros problème pour un amateur de ce genre de sensations fortes comme moi.

Autrement il n'y a pratiquement que des avantages : préparation bandante, calme après la tempête, déstresse, douleur très supportable très peu de temps après, souvenirs excitants, envie de recommencer. Et pour un bloggeur, du vrai vécu à raconter.


Donc le matin du 8 octobre, jour prévu pour enfin dire « Bonjour Maîtresse », je me suis dirigé vers Genève. En chemin j'ai fait une petite halte pour sentir l'effet d'une verge sur mes fesses nues.

tiens une tige bien droite qui ferait une bonne baguette à fessée !

En effet dans un endroit pourvu de verges potentielles et à l'abri des regards, je me suis administré un « self-spanking ».

la baguette dont j'ai enlevé les aspérités est prête pour faire connaissance avec mes fesses


je me suis appliqué à fesser fortement car un bout de la baguette s'est cassé

La douleur sur le moment m'a paru tout à fait supportable puis elle a disparu dans les minutes suivantes. L'effet visuel de l'application sérieuse de cet instrument apparait rapidement.

une simple tige peut déjà laisser de jolies lignes

Vers 10 :45 j'arrive enfin à atteindre ma Maîtresse au téléphone pour qu'elle me confirme le RV de 16 :00. Le vendredi 5 octobre, quand j'avais laissé un message sur son répondeur, j'avais confirmé ma volonté de me faire punir par elle avec la cane et lui avais dit que je rappellerai lundi.

Une étape était franchie, la sévère séance aura lieu dans quelques heures.


Arrivé à Genève, j'ai profité d'un moment pour repérer en réel l'endroit où je serai fustigé en milieu d'après-midi. C'est au bout d'une longue rue très animée en plein dans la ville, pas très loin du Pont du Mont-Blanc et du Jet d'eau. Ce n'était pas un exploit de trouver le lieu précis car j'étais passé quelques jours avant par Google Maps.

Le temps était magnifique et le ciel n'annonçait pas l'ouragan qu'allaient connaitre mes fesses dans quelques heures.

Après avoir déjeuné et le ventre un peu serré, je me suis vraiment concentré pour mon rendez-vous « punition corporelle ».


Vers 14 :30, au Bois de la Bâtie, j'ai trouvé de longues orties.

des extrémités anti-re-cul pour mon orifice anal

J'ai enfilé quelques extrémités de tiges dans mon trou du cul et les autres brins ont été tenus par l'élastique associé aux 2 anneaux rouges installés sur mon sexe.

pas facile de se photographier la queue improvisée

Cette dizaine de tiges feuillues et urticantes piquaient beaucoup, surtout les cuisses jusqu'aux genoux et tout ce qui se trouve à l'intérieur-avant de mon slip.

une verdure envahissante

J'ai aussi fait attention de ne pas piquer les fesses car elles, sont promises aux sévères fessées (la cane sur les petites cloques d'une ortiée risque de blesser).
 
Et impossible de manipuler ce matériel sans ressentir aussi quelques piques sur les mains. Je vous assure que ce n'est vraiment pas agréable. Vous vous rappelez certainement avoir dû vivement retirer votre main après avoir touché, sans faire exprès, quelques feuilles vertes découpées en dents de scie.

J'avais la sensation d'une armée de fourmis envahissant mes pantalons pour attaquer mon joystick, les boules et l'intérieur des cuisses. Des picotements continus qui ont duré bien 36 heures (après ce temps il restait quelques points rouges répartis aux endroits où les orties étaient les plus actives).


C'est avec cette couche culotte particulière que j'ai rejoint ma voiture garée au quai E. Ansermet près de la Jonction. Les forts picotements m'ont accompagné jusqu'au parking du Mont-Blanc.
Cet endroit est très pratique pour la visite prévue et à 15:30 j'y parquais ma voiture. J'ai alors vidé mes poches en ne gardant que le strict nécessaire pour mon expédition punitive, ai pris l'enveloppe contenant mes limites et la sévérité prévue il y a plusieurs semaines et ai quitté le véhicule. Puis avec une bonne dose de courage et un zest d'inconscience je me suis retrouvé à l'air libre, marchant lentement vers l'endroit où attendait Maîtresse Iris.

Je me rapprochais de ma Dominatrice, d'un pas un peu mal assuré et me sentant aussi un peu tremblotant. J'espérais ne pas avoir d'imprévus en chemin ou rencontrer une connaissance. Je me disais aussi que les inconnus que je croisais ne pouvaient se douter que j'allais à un rendez-vous « Fessées ». Peut-être que ces personnes m'auraient dissuadé d'y aller ou plus improbablement encouragé.

Suis passé ensuite à hauteur du Jet d'eau puis un peu plus loin LE bâtiment, repéré le matin même, était toujours là.

J'ai ensuite appréhendé pendant presque 10 minutes au bas de l'immeuble. Il faisait toujours beau, quelques vagues nuages étaient visibles. Puis j'ai pénétré dans la maison et suis monté à pieds les marches qui me séparaient encore du lieu de ma très sévère punition. J'étais quand même un peu tendu, n'avais pas trop envie de sourire.

Arrivé 5 minutes trop tôt au bon étage, j'ai encore vu un monsieur qui ouvrait la porte située en face du donjon. Que pensait cette personne? Elle devait bien savoir ce qui se passait en face, devait bien deviner ce que je faisais à cet endroit. Mais cela ne l'intéressait certainement pas. Qui sait ?


Voilà arrivé le moment de la grande décision. Je peux encore stopper tout le processus et repartir en n'ayant plus aucun contact avec la Correctrice. Je peux encore retourner dans le groupe de personnes pas du tout intéressées à recevoir des fessées.

Mais dans mon cas ce serait aussi une forme de lâcheté, une impression de gâchis si je m'arrête. Certainement que je risquerai de regretter de ne pas avoir continué pour connaitre à nouveau les affronts fessiers d'une telle correction. Il y a aussi une certaine fierté à respecter l'intention, décrite dans ce blog depuis plusieurs semaines, de me faire fustiger très correctement (je passerais pour une mauviette à vos yeux).

Le souci de ne pas poser un lapin à la Maîtresse, qui me semble à même de fouetter comme j'en rêve depuis quelques temps, compte aussi.

Tous ces éléments m'ont poussé, un peu comme un condamné, vers la porte de mon futur châtiment corporel.

Je vais enfin franchir le point de non retour. Une bonne respiration et mon cerveau ordonne à mon index d'appliquer une légère pression sur un petit bouton. La ligne de non retour est presque franchie, je ne me rappelle pas le son de la sonnerie mais ai regardé le judas. Après un temps qui m'a paru long, la porte s'ouvre.


La Maîtresse tant imaginée était derrière la porte, non visible de l'extérieur. Je vais traverser le point crucial, la ligne de non retour, la frontière entre les gens « normaux » et les possesseurs de fesses à fustiger. Je pénètre dans l'appartement, vois enfin la fameuse Dominatrice et dit « Bonjour Maîtresse, je suis Jean-Bernard pour être sévèrement fessé ».

La porte se referme et c'est l'instant précis où je ne peux plus repartir sans connaître le feu au cul. Je suis pris à mon propre piège.

Elle m'accueille gentiment, je lui donne le règlement et l'enveloppe puis ..


Vous pensiez, petites voyeuses et grands voyeurs, que j'allais déjà me faire fouetter dans cet article. Et bien non ! Je vous raconterai la prochaine fois les détails de cette solide fustigée.

A bientôt si vous voulez savoir comment se passe une séance fessée entre adultes consentants.


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 09:43
auparavant


Avant de commencer, je voulais vous signaler que les quelques articles concernant mon escapade au bout du Léman comprennent des photos originales, prises en temps réel soit par la Maîtresse soit par moi-même. Aucun des deux n’étant photographe, la qualité ne dépassera pas celle d’un professionnel de l’image ;-)

mes fesses un jour et demi avant la tempête. Que vont-elles déguster ?

Il faut l’avoir vécu pour pouvoir décrire la séance de fessées que j’ai affronté le 8 octobre à 16 heures.

C’était phantasmé, voulu auparavant virtuellement et réellement mais la réalité a dépassé la fiction (mais je suis tout de même maintenant derrière mon clavier pour en témoigner).
Mes tétons pincés, tournés, tirés et surtout le haut de mes cuisses et mes fesses douloureuses sont là pour me rappeler assez souvent la punition subie.


La recherche de sensations fessières toujours plus fortes a en effet abouti en ce jour assez ensoleillé d’octobre à une pénible et interminable séance d’éducation anglaise à la canne animée par Maîtresse Iris de Genève.

Pour simplifier, c'était Douche, Fessées Punitives, Douche (j'avais toujours imaginé me doucher et devoir me présenter tout nu à une sévère Maîtresse).

Elle m’a entrepris d’une manière qu’il m’était impossible d’imaginer auparavant. Chaque sérieux coup de cane faisait mal à très mal. La sensation de cet instrument, nouveau pour moi, était telle que c’est difficile à décrire. C’est quelque chose de passablement douloureux, souvent intenable. Je me plaignais souvent, ahhhhais sans arrêt. Il y avait souvent une envie impérative de tout faire stopper et de quitter ce lieu, même tout nu.

Malheureusement, la Maîtresse habituée aux mauvais garçons avait la délicate attention de me ligoter, m’attacher, m’immobiliser, m’emprisonner dans un carcan. Si je sais compter, Maîtresse Iris possède une demi-douzaine de supports différents prévus pour maltraiter ses visiteurs.  Il m’était vraiment impossible d’échapper à cet enfer. Mes recommandations dans la lettre de sévérité apportée en arrivant et une petite discussion incitaient aussi ma Maîtresse à ne pas me ménager ou s’apitoyer sur mon sort.
Et pourtant maintenant, je peux encore remercier Maîtresse Iris d’avoir fouetté avec beaucoup de rigueur.

C’est une Maîtresse expérimentée, sérieuse qui mérite le plus grand respect !

J’espère, dans quelques mois, pouvoir renouveler l'expérience avec cette grande professionnelle. C’est des moments comme cela que tout passionné de fessées devrait connaître.


Je l’avais vraiment désirée cette sensation douloureuse et très intense de la cane alunissant sur mes fesses toujours plus sensibles et moins volontaires.
Je voulais aussi connaître à nouveau cette appréhension grandissante jusqu’à la rencontre avec la Maîtresse. Puis par la suite la peur, même un début de panique en sachant que ses traitements très douloureux vont se poursuivre et surtout que je n’ai aucune possibilité de faire cesser. Une véritable Maîtresse a une autorité naturelle et l’expérience pour continuer à fustiger un derrière qui se tortille, pour imposer à un « pauvre garçon méritant ayant eu un très mauvais comportant » de subir jusqu’au bout les fessées prévues.
Dans mon cas elle était supposée me corriger pour faire cesser le « mauvais comportement » de passer un temps certain sur des sites de « spanking » et pour mon blog. Il est évident que le passage par de bonnes fessées réelles et piquantes et le surf sur les vagues de sites pour adultes me permet d’entretenir le phantasme et continuer par la même occasion d’alimenter ce blog de nouvelles fraiches et cinglantes.
Ce ne sont pas mes lectrices et lecteurs qui vont s’en plaindre !

Désolé, Maîtresse Iris ! Le but de corriger mon mauvais comportement n’a pas été atteint et je devrai certainement vous redemander un rendez-vous de ce genre.


Pour en revenir à ma cuisante expérience, c’est vraiment un châtiment très pénible que peut infliger une main experte armée d’une cane flexible et souple (impressionnant une vraie cane anglaise vue et ressentie de près ). Un avant goût du début de l’enfer ;-) mais heureusement pendant un temps très limité.

la plus sévère était la cane la plus claire avec le manchon noir

Ca ressemblait un peu à de sévères coups de baguette de noisetier mais en bien plus intense.
Le fait d’être immobilisé augmentait aussi la sévérité des nombreuses fessées reçues.
Les petites gâteries du genre gifle, tétons pincés et tirés, petits coups de baguette sur le torse, le sexe, bâillon-boule dans la bouche, ont aussi participé au stress et à la pénibilité de cette séance. Un collier avec sa laisse, des anneaux avec bagues de fixation aux chevilles et poignets ne faisaient pas non plus bizarre dans ce décor. Je ne vous l’avais peut-être pas encore dit mais Maîtresse Iris est vraiment bien équipée en supports pour punition et instruments de châtiment.

J’avais aussi désiré connaitre à nouveau les picotements et démangeaisons que me transmet encore maintenant mon postérieur, ainsi que les fortes envies de frotter mes tétons. Une telle correction c’est un très mauvais moment de quelques dizaines de minutes suivi de plusieurs jours de douleurs localisées et de plus en plus atténuées.

Ce cocktail explosif, composé d’une Maîtresse professionnelle et sérieuse, d’instruments et meubles parfaitement adaptés à ces « amusements » et de moi en soumis adulte et tout à fait volontaire, a donné une séance d’éducation anglaise de très bonne qualité.

Si la séance avait été filmée, elle n’aurait pas démérité par rapport à celles que l’on trouve sur le Net (faut bien un peu s’en vanter ;-))

Avec cette cannée, je me retrouve dans un groupe plus restreint de personnes connaissant les effets douloureux que peut provoquer une Dominatrice décidée punissant avec la cane. Bien qu’il y ait encore de la marge vers le haut concernant la sévérité !
Cette sévérité était moyenne selon la Maîtresse et déjà bien corsée selon les infos de mes fesses transmises au cerveau. C’est la différence entre le côté confortable de la terrible cane tenu par la main experte de Maîtresse Iris et la méchante extrémité qui alunissait à grande vitesse sur mon postérieur.

Donc pour moi c'était une séance impeccable, du travail de Pro!

pour une sévérité moyenne les marques de mes fesses sont déjà impressionnantes.
Comment serait-ce avec une sévérité haute ?


Et maintenant pour les femmes ou hommes non initiés à cet instrument mais néanmoins intéressés, motivés (et les autres aussi), contactez sans hésiter, si vous en avez l’occasion, Maîtresse Iris à Genève.
Méfiez-vous quand même, elle ne fait pas dans la dentelle. Mais si l’envie est très forte, munissez-vous d’une dose de courage, d’une pincée de fierté pour ne pas reculer au dernier moment et laissez-vous guider par cette très bonne animatrice en éducation anglaise.

C'est tout simple, tu lui confies ton postérieur propre et elle te le rend très sévèrement fessé à la cane anglaise.


La prochaine fois, je vais essayer de vous narrer cette journée particulière et les impressions associées.

A très bientôt !

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Lundi 8 octobre 1 08 /10 /Oct 16:15
auparavant


Par la magie du direct ou plutôt de la possibilité de retarder la diffusion d’un article, c’est maintenant vers 16 :15 que je dois ressentir les premiers désagréments fessiers.

En effet j’avais rendez-vous aujourd’hui à 16 :00 pour mon dressage à l’anglaise. Comme j’ai l’habitude d’honorer mes rendez-vous et d’y arriver à l’heure, les présentations avec la (trop?) sévère Maîtresse sont déjà faites. Elle a aussi reçu ma lettre, finalisée le 18 septembre et dont je n’ai plus lu le contenu par la suite. Je ne suis donc plus sensé me rappeler la grande sévérité et la fermeté demandées dans ce document.

Maintenant, la Maîtresse l’a déjà lue ou doit être en train de terminer sa lecture. Elle doit bien savoir ce que je m’attendais à ressentir chez elle vers la mi septembre. Et dans le domaine de la grande sévérité, elle connait son affaire. C’est d’ailleurs après avoir lu un commentaire dans un forum que j’ai compris que c’était la Dominatrice dont j’avais besoin. Et en en plus elle me l’avais confirmé lors de la fixation du moment de ma correction.
(Pas de chance) je suis tombé sur le bon numéro !

Vous pouvez me croire ! En ce moment, j’ai certainement envie d’être ailleurs. Organiser une séance fessée est très excitant. Mais la vivre de l’intérieur avec les précautions prises pour qu’elle ne soit pas autrement que très sévère et insupportable, c’est vraiment autre chose. Quelques pénibles expériences vécues d’application très forte de baguettes sur les fesses nues m’ont appris qu’une fessée bien menée peut-être extrêmement douloureuse et ne peut être qu’ainsi.

Avez-vous déjà apprécié un de ces instruments choisi ou confectionné exprès pour fouetter, avec une sévère Maîtresse qui l’applique à grande vitesse sur vos fesses nues ? La simple logique nous amène à penser que cela fait très mal. Une vraie Fesseuse qui sait fesser ne peut qu'assurer à son soumis des instants insupportables.

Et présentement je suis au début d’une telle punition qui ne peut que me faire réellement regretter d’avoir joué avec le feu en me présentant, en pleine conscience des conséquences possibles, chez cette professionnelle habituée à corriger comme il faut des mecs comme moi. "Ahhh ! Aieee !"

Ce que j’aimerais déjà être vers 17 heures après ma séance. Mais elle ne fait que commencer et mes fesses me font déjà très mal !

Les ingrédients pour un dressage très sévère sont réunis. Une Maîtresse décidée et qui sait comment faire mal. Des instruments, dont la cane anglaise, connus pour être durs à supporter. Et le dernier élément du trio, des fesses à disposition qui ne peuvent échapper aux coups.
"Ahhhh !  Ca fait mal !"

Un petit inconvénient est vraiment que les terminaisons sensibles et nerveuses de mes fesses transmettent toutes les arrivées de la cane à mon cerveau pour être transformées en grande douleur et envie de fuir cet enfer au plus vite.

Mais tant pis pour moi, je n’avais qu’à mieux réfléchir avant !

Pourtant cela avait ( "Ouiiiie, ouille, ouille, ahhhh !") commencé par un tout petit ordre imaginaire d’une Princesse virtuelle, puis par un comportement à améliorer (surf sur des sites de fessées). Une habitude que je ne désire pas du tout changer.
Et voilà, je me retrouve à la merci de cette Domina qui ne demande qu’à me faire souffrir par la sévérité de son traitement.
"Ahhhhh ! S’il vous plait Maîtresse c’est trop fort, ça fait très mal !!!"

Je vous laisse car la Dominatrice accapare toutes mes ressources.


Mais surveillez bien le blog car je vais assez vite vous raconter cette expérience que je suis en train de connaitre en direct.

A bientôt les veinardes et veinards qui avez les fesses au calme !
JeanBer

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Lundi 8 octobre 1 08 /10 /Oct 10:39
auparavant


Voilà c’est fait, je suis sur la pente de plus en plus glissante qui m’amènera à la séance désirée mais de plus en plus crainte. Après en avoir beaucoup pensé, parlé et écrit, vient la pratique.

Suite aux différents articles et préparatifs pour obéir à l’ordre donné par Princesse  Christine, j’ai téléphoné à ma Maîtresse d’éducation anglaise. Et lui ai confirmé que je viendrai à la séance fessée que j'avais déjà réservée le 18 septembre.


Depuis ce milieu de septembre quand je connaissais exactement le moment de mon dressage à l’anglaise et que la Maîtresse d’éducation m’a confirmé très fermement qu’elle était sévère et que je le constaterai par moi-même, je suis passé par différentes humeurs:

Je me demandais si elle n’allait pas être trop sévère pour mon niveau d’expérience dans les fessées punitives (je pourrai vous le dire dans quelques jours).

J’aurai voulu aussi ne pas devoir attendre 3 semaines et en terminer au plus vite mais les choses sont ainsi.

Est-ce une bonne chose d’aller souffrir juste pour le fun ?

Je pensais aussi tout stopper dans ce processus qui va m’amener à cette très pénible séance non nécessaire dans la vie.

J’ai reconsulté le site Internet de ma future Dominatrice et les commentaires la concernant. Un de ses habitués avait écrit « elle est sévère mais sans vulgarités, c'est une femme de grande classe, très professionnelle et très correcte ».

Je ne serai qu’une personne sur des milliers de femmes et d’hommes qui se font fesser régulièrement de par le monde et qui en sont revenus.

Le visionnement de femmes et d’hommes qui se font punir déjà correctement à la cane anglaise m’a redonné une énorme envie. Cela doit être possible d’être corrigé ainsi sans subir un massacre.

Il y a aussi la forte envie de retrouver l’ambiance, le contexte, la trouille, le stress, la surprise d’éléments encore inconnus dans un domaine qui me passionne.

Toutes ces réflexions m’ont décidé à poursuivre mon chemin jusqu’au donjon de ma Maîtresse temporaire (environ 1 heure). Je vais ainsi aussi lui donner une lettre qui lui rappelle mes déceptions de dominatrices trop gentilles (que j’appelle de théâtre). Dans cette lettre je recommande de fesser plus que le supportable pour moi et de ne pas être influencée par mes plaintes ou même demandes de tout stopper.

Je fais confiance à l’expérience de cette spécialiste d’éducation anglaise pour qu’elle me fasse connaitre les très sévères fessées à la cane sans me massacrer. Elle a certainement aussi à traiter d’autres personnes de mon genre et doit aussi y arriver avec moi.


Comment vais-je le ressentir, supporter l’insupportable ? Je n’en sais rien. Je pense que le fait d’avoir envie de ce genre de mal traitement m’aidera à passer ce très mauvais moment. J’ai confiance en mes ressources et je continuerai jusqu’à me trouver nu devant la Maîtresse qui vient de lire ma lettre et va commencer à me corriger. Pour la suite, il ne faut pas trop que j’y pense. Je me laisserai guider par ses ordres et sa baguette. Aurai-je d’autres choix ? Le piège se sera fermé sur moi.

J’essayerai alors d’apprécier l’instant présent sans penser à autres choses. Mes fesses et leur jonction avec les cuisses vont certainement faire très très mal mais le soulagement de la fin des châtiments viendra bien une fois.


Mais je m’égare. Il me faut retourner dans le blog.
Et bien voilà le temps a passé, surfeuses et surfeurs intéressés par les corrections fessières, et dans moins de 48 heures je connaîtrai à nouveau la sensation très caractéristique d’une séance de sévères fessées aux instruments animée par une Maîtresse réputée ferme et stricte et qui me l’a aussi confirmé. Comme elle me l’avait dit, je constaterai par moi-même.

Je me dis aussi que sur un blog traitant de punitions par les fessées, ne parler que de fouettées des autres, de punitions virtuelles ou de mes expériences passées n’est pas suffisant pour être crédible. Rien ne vaut l’expérience vécue de l’intérieur et en « live ».

une position confortable mais qui ne laisse aucun doute sur la suite

Et cela avait commencé par le prétexte de l’ordre donné par la Princesse virtuelle Christine de la BAF. Comme elle n’avait pas apprécié que je révèle des détails sur sa vie perso et ne pouvant venir me punir elle-même de manière imaginaire, elle m’avait imposé d’organiser et subir une séance fessée très sévère (évidemment cela ne peut être autrement pour elle) mais réelle (ce qui lui est impossible de faire elle-même).

J’ai aussi trouvé un mauvais comportement à soumettre à une Maîtresse réelle pour lui donner une bonne raison de me punir.

Pensez-vous que pour corriger la (mauvaise) habitude de passer un temps certain sur Internet avec des sites de fessées et pour mon blog, il faille sortir la grosse artillerie ?

Cette artillerie, la très grande sévérité de la séance punition que je vais affronter, aurait été plus adaptée au fait que j’ai rendu public des détails sur le comportement sexuel de la Princesse.

Et pourtant la solide éduction à la mode anglaise qui sera animée par une vraie Maîtresse connue pour être sévère, est bien liée au fait que j’aime lire ou voir des images et des vidéos sur les fessées punitives.


Je vais moi aussi connaitre de nouveau ce que je vois sur les sites spécialisés :

Une personne qui doit être punie pour une raison vraiment quelconque. Une personne qui n’a pas envie de rigoler car elle sait ce qui l'attend, qui doit se dévêtir car les fessées sont prévues sur les fesses nues. Une Maîtresse à l’air sévère, souvent sexy, habillée de cuir, qui donne l’ordre de se positionner pour avoir bien accès au pauvre derrière qui n’a rien d’autre à faire que d’attendre le premier coup.

Puis ce premier coup et la plainte (parfois même des pleurs) de la personne fustigée qui bouge son postérieur et a de la peine à le remettre en place pour la suite de la punition.

Parfois la Maîtresse, très sévère, décide que pour une telle correction elle doit immobiliser la personne à punir (c’est ce qui devrait m’arriver). La dominatrice utilise parfois un carcan (pour emprisonner les membres ou même la tête). Elle peut aussi employer un support de punition spécialement étudié pour attacher la personne à fustiger et la présenter dans une position adaptée à la situation (souvent les fesses mises en avant ou en arrière).

Le bruit caractéristique de la cannée, les plaintes, les réactions automatiques de défense, les fesses et les jambes qui se tortillent, les marques fessières qui augmentent montrant le niveau de sévérité du châtiment. Ces éléments n’influencent souvent pas la manière avec laquelle la Maîtresse a décidé de conduire la séance (je pourrai bientôt vous le raconter de l’intérieur). Une Dominatrice avec expérience sait qu’elle fait très mal et va continuer sur ce chemin (elle veut réussir ses fessées et n’a pas les fesses qui souffrent, elle).

Ces fessées punitives en condition réalistes portent bien leur nom. Elles ne sont pas prévues pour activer la circulation ou préparer les partenaires avant une partie de levrette. Cela ressemble plus à des punitions réelles qui se passaient dans les écoles anglaises ou encore dans certains pays actuellement.

Et c’est vers cet inconnu semi-connu que je me dirige d’un pas hésitant mais sûr. Un peu comme dans un long toboggan qui m’amènerait dans les locaux aménagés d’une sévère Maîtresse habituée à s’occuper de garçon comme moi. 


Bien, pour aujourd’hui c’est tout, j’ai d’autres chats à fouetter.

Je me remettrai au clavier du blog avec certainement un cuisant souvenir à vous raconter (et si ce n’est pas assis, je le ferai debout ;-)). Je vous entretiendrai de ce que j’ai ressenti quand mes fesses étaient sévèrement malmenées en ce mois d’octobre. Ce sera du léger différé mais me permettra quand même d’alimenter ce blog avec encore plus de réalisme.

Par où ne passe-t-on pas pour fouetter l’imaginaire d’une passion !

c’est un peu à ça que pourraient ressembler mes fesses quand je reprendrai le clavier du blog

Vos encouragements me feront plaisir. Les parties « Commentaires » et « Contact » du blog sont prévus exprès pour cela !
Et pour les personnes avec une toute petite, mais vraiment toute petite tendance sadique, vous pouvez  aussi « m’encourager » en expliquant l’effet certainement très douloureux et insupportable d’une bonne cannée sur les fesses.
Pendant les moments qui me restent à pouvoir m’asseoir sans penser à mon fessier bientôt douloureux, je continuerai à lire vos messages.

Alors n’hésitez pas à laisser votre grain de sel !
Merci d’avance !!


A bientôt
JeanBer


PS : je vous raconte pas mais j’ai vraiment la trouille. Dans ma recherche de fessées toujours plus corsées, je vais franchir une étape de sévérité qui m’effraie.
Mais la dernière fois je pensais aussi la même chose. J’étais dans le même état d’esprit et pourtant je suis toujours là pour animer  "Bonjour Maîtresse".
Cette fois aussi ce ne sera qu’un simple mais très mauvais moment à passer !


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 08:15
Dans le but de me mettre dans le bain, pour le chauffage de fesses prévu, je surfais un peu du côté d’OWK et suis arrivé chez cette Maîtresse.

Le site est, il me semble, en espagnol (une langue que je n’ai jamais apprise). Mais les images de qualité parlent d’elles même.





La Domina est très belle, sexy, semblant bien dans son rôle de Femme dominatrice. Elle est aussi très bien équipée (en plus de sa plastique) en matériel de domination. Ses locaux et instruments doivent pouvoir satisfaire les plus exigeants des amateurs de châtiments corporels.







Pour moi c’était un bon nettoyage optique (me suis bien rincer l’œil) et l’information est aussi bien passée en dessous de la ceinture ;-)











Vous m’en direz certainement des nouvelles !
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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