Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 09:15
auparavant


Vous commencez à le savoir, vers le 10 octobre, je vais être sérieusement et réellement fessé par une Maîtresse d’éducation anglaise. Cette Dominatrice est connue pour être sévère.
Pour ceux qui ne sont pas au courant, vous pouvez toujours, avec la souris, claquer le lien "auparavant" ci dessus et si cela ne suffit pas, recommencez à claquer dans les articles précédents.


Maintenant, visiteuse et visiteur, j’ai besoin de votre aide.

Quelle sévérité pensez-vous adaptée pour corriger mon "mauvais comportement". Je passe environ 25 heures par mois sur des sites de fessées et aussi de nombreuses heures pour mon blog ? Quand je parle de sévérité, je ne pense pas à la Maîtresse car elle est sévère. Mais je pense avec quels instruments fouetter et combien de coups ?
N’hésitez pas non plus à me juger sur mon blog et d’inclure cet élément dans l’appréciation de la sévérité pour ma future fessée.

Pour ma part, je me verrais condamné à un menu composé d’un peu de cravache (12 coups) pour faire connaissance. De 24 coups d’un méchant martinet (d'un modèle qui ne sert pas aux massages) pour sensibiliser les fesses et le sommet des cuisses. Puis sur des fesses déjà bien colorées, 3 douzaines de fois une verge en rotin pour parfaire la sensibilisation et commencer à corriger la mauvaise habitude.
Et pour finir, 20 coups de cane pour bien mémoriser le comportement à ne plus adopter.

Personnellement, je ne crois pas que ces mauvaises habitudes sur le Net vont changer. Ce ne sera en tous cas pas non plus une séance d’éducation anglaise, fusse-t-elle très sévère, qui va m’empêcher d’animer ce blog.


Voilà, je vous laisse me transmettre votre condamnation sous forme de commentaires ou par le contact. Au début de la séance, j’apporterai à mon tour vos remarques à ma Maîtresse pour qu’elle puisse en tenir compte dans ma punition.

Merci beaucoup pour votre aide !
JeanBer

PS : Surtout, je vous en prie, ne mettez que des appréciations négatives car les autres ne sont pas utiles à ma Dominatrice pour me corriger sévèrement ;-)


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 04:36
auparavant


Enfin, j’ai pu déterminer le moment des réjouissances dont l’organisation a débuté ici.

Sauf imprévus, il y aura une bonne séance de fessées punitives qui débutera en milieu d’après-midi vers le 10 octobre dans une ville de Suisse romande.

Le premier et plus impliqué ce sera moi, avec les fesses dénudées, qui aura le pénible rôle de celui qui se trouve du côté douloureux de la cane.
Le rôle de la personne qui animera la baguette sera tenu par une très sévère et expérimentée Maîtresse de dressage et éducation anglaise dont je vous donnerai le nom en cas d’accord de sa part.

c'est une position à laquelle je dois m'attendre

En effet, hier le 18 septembre à 10:50, j'ai pu convenir par téléphone avec la Maîtresse prévue d'un rendez-vous fessées pour le début octobre.
Son adresse exacte m'a été donné et elle a noté la date et l'heure précise dans son agenda.
Je lui ai aussi parlé de plusieurs fessées reçues avec des baguettes et des verges. Mais que très souvent la Maîtresse était trop gentille et aurait pu fouetter bien plus fort. Mon souci est que la Maîtresse n'est pas assez sévère.
Elle m'a répondu d'un ton très ferme:
 "Je suis sévère. Vous le constaterez par vous-même".
Sa confirmation de ce que j'avais déjà lu dans un forum et les recommandations de fermeté et sévérité dans la lettre que je dois donner en arrivant me "rassurent" que je vais subir un fessestival de grande qualité.


Maintenant, vous pouvez me croire, je commence vraiment à avoir les chocottes. De véritables et sévères fessées font toujours assez mal. De douloureux souvenirs de coups de baguette de noisetier appliqués fortement refont surface.

Vous me direz que je l’ai bien désiré, cherché et que je n’ai qu’à l’assumer.
Ne vous inquiétez pas, je ferai tout mon possible pour connaître à nouveau la sensation de grandes fessées dans l’ambiance particulière d’un donjon d’une Maîtresse professionnelle.

Je dois téléphoner à la Fouetteuse prévue, 1 à 2 jours avant pour confirmer le rendez-vous et je vous informerai de nouveau à ce moment.

A bientôt
JeanBer

je peux encore imaginer ma future Maîtresse


PS: Je ne vous donne pas la date précise car vous n'en n'avez pas besoin. La séance Fessées ne sera pas public. Vous n'entendrez pas mes plaintes ni le son caractéristique d'une sévère éducation à l'anglaise. Vous ne verrez pas mes hésitations, mes peurs, mes fesses qui veulent échapper aux baguettes ni les différentes marques, toujours plus nombreuses, que va laisser la cane.
Et pourtant, je vous comprendrais, lectrice et lecteur, de vouloir assister en live et dans le local de punition à ma très sévère séance de fessées.
C'est comme ça! La punition que j'ai méritée se passera à huis clos.


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mardi 18 septembre 2 18 /09 /Sep 08:24
auparavant


Suite au contact téléphonique du jeudi 30 août avec ma future et très sévère Maîtresse d’éducation anglaise, je me suis mis à rédiger une lettre de présentation et de limites que je compte lui donner avant les réjouissances.

J’ai terminé ce document ce matin, l’ai imprimé et mis dans une enveloppe. Je l’ai fermée et y ai inscrit la date d’aujourd’hui sur le collage. Sur cette missive, j’y écrirai « Pour ma sévère Maîtresse Xyxz » et la donnerai en arrivant chez ma Domina.

Le fait d’avoir finalisé la lettre de sévérité plusieurs semaines avant la séance de châtiment corporel et de ne plus lire son contenu, me semble plus correspondre à une situation réaliste.

Après le coup de fil (1 à 2 jours avant) pour fixer le rendez-vous "Punition", ce sera un peu comme si suite à un comportement inacceptable et malgré plusieurs avertissements, je dois être puni très sévèrement. Il m’a alors été dit que cette fois je n’échapperai pas à la fessée et qu’un RV a été pris chez une personne qui sait mater les garçons difficiles comme moi. Après cette (mauvaise) nouvelle, je ne suis pas fier et mon impertinence a disparu. Malgré mes excuses et promesses de mieux me comporter à l’avenir, je devrai quand même dans très peu de temps baisser ma culotte et bien présenter mes fesses nues pour être fouetté.

A l’heure prévue, et sans être supposé connaitre de détails, je devrai donc me présenter à une certaine adresse et donner une enveloppe. Ce n’est qu’à ce moment que je devrais comprendre que je suis chez une très sévère Maîtresse d’éducation anglaise et qu’elle va utiliser la cane avec moi. Il sera bien évidemment trop tard pour regretter mes mauvais comportements et éviter ainsi une séance de châtiments corporels des plus sévères.

Que pensez-vous fidèles lectrices et lecteurs de ce semblant de réalisme ?


Je vous donne donc quelques éléments qui me semblent importants dans la lettre de sévérité:

Je lui avoue que pendant qu’elle lit, j’ai peur d’avoir trop mal. Car je suis tout à fait conscient qu’elle est sévère selon son site et des commentaires dans un forum.
Je suis tout de même venu chez elle pour sentir à nouveau l’effet de solides fessées.

Je lui parle des limites qu’il ne faut pas dépasser (uniquement frapper les fesses, types d’instruments, moyens, marques visibles), de la possibilité de quelques gifles, pincement des tétons, baguette sur la plante des pieds.
Je lui parle aussi de la limite que j’aimerais qu’elle dépasse. Ayant reçu déjà de nombreuses fessées, j’ai souvent été déçu en pensant que la cible des verges pouvait supporter une sévérité bien plus grande. J’aimerais qu’elle commence fort, qu’elle dépasse ma limite du supportable et ainsi je ne saurai comment supporter la suite de la séance.

Certains de mes lecteurs ou lectrices doivent sûrement connaitre des moments aussi intenses. Merci déjà de nous faire partager vos sévères expériences.

Je reviens à la lettre.
Ce genre de traitement n’est plus du genre agréable et je lui dis que si je me plains trop ou même demande de stopper (comme je me connais cela devrait arriver), qu’elle se réfère à mon message demandant une punition exemplaire.

bien que sexy certaines Maîtresses savent très bien punir à la cane

Dans la missive, je lui propose aussi un scénario :

Quelques ajustements (elle m’explique ses règles de bonne conduite, me fesse un peu pour déterminer ce que je supporte et pouvoir ensuite dépasser ce seuil). Je peux encore lui donner mon avis sur sa sévérité et son savoir faire.

Du dressage et de l’interrogation sur mon mauvais comportement (j’utilise trop de temps à consulter des sites de fessée et le fait de voir des femmes se plaindre ou des hommes supplier une sévère Maîtresse, m’excite).

Une partie jugement et condamnation. Pour ce faire, auparavant, elle m’attache sur un support idoine ou m’immobilise dans un carcan.

Quelques explications et directives sur la grande fessée à venir (la sévérité prévue, l’effet douloureux à prévoir, compter ou décompter les coups en remerciant).
Qu’arrive-t-il si je me trompe, etc..

Enfin LA grande fessée (moment le plus attendu mais aussi le plus craint).

Puis, après ce que j’ose à peine imaginer et n’ai certainement jamais connu, vient le soulagement d’avoir surmonté une solide épreuve.

Je lui demande aussi dans la lettre si elle peut porter une tenue stricte, des talons hauts et des gants en cuir noir (une petite chose excitante dans le contexte très pénible d’un châtiment corporel à la cane).

Et pour terminer le message écrit, je la remercie humblement pour la correction qu’elle va m’infliger dans quelques secondes.


Pour la date précise, je ne peux encore me prononcer. Mais comme il ne faut plus d’autre préparation qu’un simple coup de fil quelques jours avant, le moment de la très sévère punition peut arriver très vite.
A vue de nez, mes fesses blanches devraient se colorer, chauffer, se tortiller, se strier, se tordre de douleur dans les quelques semaines. J'ai des moments de libre un peu avant la mi octobre ou au tout début novembre (octobre conviendrait le mieux).
Mais au plus tard à la mi novembre 2007
(je respecte ainsi le délai imposé par Princesse Christine de la BAF;-)), mon derrière sera sévèrement marqué réellement et pas virtuellement cette fois.
Comme cela doit être suite à des fessées punitives en condition réalistes!


Pour rajouter un peu de piment et chercher à me faire peur, j’ai donc déjà mis dans ma lettre la demande de grande sévérité et rigueur et le fait de ne pas tenir compte de mes plaintes mais se référer aux recommandations écrites. Actuellement je n’ai aucune crainte, appréhension. Et ceci malgré la lecture de témoignages de réelles et sévères fouettées ou le visionnement de vidéos où de véritables fessées sont appliquées avec plaintes, ouie, aie, ahhh et parfois des pleurs.

C’est un peu comme si la séance se passera dans le virtuel ou concernera un autre garçon désobéissant.
Ensuite, pendant la dernière discussion téléphonique, je redirai à ma Maîtresse que je n’ai jamais reçu fortement une fessée à la cane mais que je veux quand même qu’elle soit très sévère avec moi car je suis souvent déçu par de trop gentilles séances animées par des Dominas de théâtre (ouf je reprend mon souffle).
Je lui parlerai aussi de la lettre que je ne devrai pas oublier de lui donner en arrivant.

J'espère ainsi avoir pris assez de précautions pour ne plus pouvoir échapper à une réelle et solide séance d'éducation anglaise.

Chez elle, je le sais, je n’oserai plus demander de la sévérité, surtout si je suis tout nu avec mes fesses à portée de la cane que tiendra dans sa main gantée de cuir la dominatrice expérimentée en dressage anglais.


Je me connais assez bien. Dans les jours précédents la Punition, je serai de plus en plus tendu, plein d’appréhension. Je commencerai à ce moment à avoir peur qu’elle me fasse trop mal, que je n’arriverai pas à supporter des coups d’une telle sévérité, que je ne pourrai abréger la rigueur de la séance (et pourtant c'est ce que j'aimerais éprouver).
Chez la Domina je n’aurai qu’envie, et le ferai certainement, de lui demander de ne pas être trop méchante avec moi, que c’est un peu de la folie une telle fessée. Mais cela sera déjà trop tard pour de tels détails.

Dans les quelques heures qu’il me restera avant de rencontrer la Maîtresse, il sera donc bien d’avoir déjà réglé quelques semaines auparavant le « détail » de la sévérité écrit dans une lettre mise dans une enveloppe fermée. Car je me poserai plein de questions sur la grande douleur que mes fesses vont connaitre, si elle me pincera trop fort les tétons, si elle fouettera souvent la plante des pieds. Je serai certainement tenté plusieurs fois de corriger à la baisse la sévérité demandée dans le document que je devrai lui donner.

Et un peu avant l'heure H, le jour J, je chercherai aussi les ressources nécessaires dans ma fierté pour ne plus modifier la lettre, me rendre sagement vers ma Fesseuse à l’adresse donnée, appuyer sur le bouton de l’appartement où je vais sentir ce qu’est une correction à la cane et ainsi honorer le rendez-vous pris avec la Dominatrice.
Bref, de petits soucis qui ne me tourmentent pas encore !


Quand même un peu bizarre cette envie d’avoir très mal aux fesses comme sur les vidéos qui excitent et font bander. Cette envie d’avoir peur, de ressentir la trouille. Cette envie d’être un peu paniqué après les premiers coups, après avoir compris que la Maîtresse est vraiment très sévère et qu’elle ne plaisante pas en utilisant la cane. Cette envie de ne pas savoir comment je supporterai les méchants coups sachant que la Fesseuse ne va pas cesser le traitement avant la fin prévue par elle et rien que par elle.

Il y a aussi l'envie d'entendre à nouveau depuis "l'intérieur" les sons caractéristiques d'une bonne séance fessée. Les baguettes (la canne n'est-elle pas la reine des baguettes?) qui sifflent en fendant rapidement l'air. Le bruit fait par l'instrument quand il alunit brusquement et sévèrement en creusant un sillon temporaire dans les chairs rougissante des fesses avant de laisser, quelques secondes après, la marque colorée de son passage.
Il y a aussi souvent le son de talons aiguille sur le sol du local de châtiment.

Dans une telle séance, ne pas oublier les ordres stricts, fermes, sans discussions possibles. Les remontrances, engueulades, promesses de fessées très pénibles, de derrière qui va se tortiller.
Il y aura aussi la tête qui sonne après une paire de gifles ou la plainte de douleur si elle tape sur la plante des pieds ou si elle me pince, tord, tire les tétons.

C'est toute cette ambiance, ce contexte que j'aimerais à nouveau connaitre. Il faut vraiment avoir déjà passé par ces moments pour bien les imaginer et comprendre cette envie !


Et pourtant, habituellement, je n’aime pas avoir mal. Je suis même assez douillet.
C’est contre le bon sens mais ce doit être cela, être un peu maso, .. , passionnément parfois !
Les personnes qui le ressentent aussi ainsi sont certainement d’accord avec moi ! ;-)


Actuellement je sais que j’ai très envie d’un Fessestival comme j’en vois régulièrement dans les vidéos spécialisées pour adultes.
Je ne devrais pas oublier non plus que c’est Princesse Christine qui me l’avait virtuellement ordonné et que lui résister est risqué;-)

comment vais-je supporter la cane (plaintes, cris, pleurs) ?


Vous commencez à me connaitre.
Dès que j’aurai du nouveau sur le rendez-vous avec Maîtresse Xyxz (si elle me donnera son accord, je vous fournirai son nom), je vous mettrai évidemment au parfum. Et il ne vous restera plus qu’à me souhaiter bon courage pour cette terrible épreuve ou me foutre la trouille en m’expliquant la souffrance ressentie lors d’un fouettée à la canne donnée par une Maîtresse très expérimentée.

Comme toujours vos commentaires ou vos volées verbales de bois vert sont les biens venus !

A bientôt
JeanBer

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 08:25
auparavant


Remarque : j’ai pondu cet article avant le premier contact avec ma future et bien réelle Maîtresse d’éducation anglaise.


Vous vous souvenez certainement de l’ordre imaginaire que m’avait donné la Princesse Christine lors de l’email virtuel à la fin de cet article.;-)
Elle peut maintenant facilement consulter mon blog, suite à l’amélioration de la liaison Internet que je lui avais faite lors de mon week-end chez elle en Verginie. Et ainsi elle n’avait pas apprécié, mais pas du tout, le ton peu respectueux utilisé pour rapporter dans mon blog l’interview – fiction d’août. Ne pouvant venir me corriger elle-même, elle avait exigé que je subisse une très sévère et réelle séance fessée jusqu'à fin novembre 2007.

Je n’ose pas lui désobéir et ai donc commencé à imaginer ma future fessée punitive en condition réaliste (comme devrait être corrigé réellement, et certainement l’est parfois, un élève difficile, impertinent, qui a de très mauvais comportements).

peut-être une telle verge m'échauffera et sensibilisera les fesses

Vous le pensez certainement aussi. Une vraie correction avec des fessées punitives peut être excitante dans sa préparation, peut aussi bien faire bander ou exciter en y pensant par après.
 
Mais pendant une séance punitive, cela ne doit être ni excitant ni bandant.
La correction doit obligatoirement être un très mauvais et sévère moment à passer. Elle doit être plus douloureuse que le supportable. Elle doit, dès les premiers coups, donner fortement envie de demander moins de sévérité, même de tout stopper. Elle doit, dès le début, faire craindre la Maîtresse, donner de l’appréhension et de la trouille pour la suite. Elle doit, dès le commencement, créer un peu de panique chez le fustigé (ou la fustigée) car il ne sait pas comment il va arriver à supporter l’insupportable.
Evidemment la Fesseuse ne doit pas être interrompue dans son travail (sauf cas de force majeure) et doit donc tourmenter les fesses nues qui connaitront différentes phases (rougissement, marques des coups de baguettes ou cane, chaleur, grande douleur).
L’avis de la personne punie ne doit pas compter. Seule la Maîtresse est compétente pour décider de la sévérité et de la fin du fessestival.

Bien sûr, la sévérité ressentie d’une séance fessée dépend de ce que la personne fustigée supporte. Pour ma part, je trouve que mes dernières punitions sur les fesses auraient pu être bien plus cinglantes. J’ai l’impression que je suis prêt pour un feu d’artifice bien plus intense.


Pour en revenir au titre de cet article, j’image cette séance, imposée virtuellement par la Princesse Christine et prévue pour se passer réellement dans les 3 mois, comme une étape supplémentaire dans ma recherche de véritables et sévères fessées.

Comme j’écrirai une lettre (et aussi parlerai avec la Maîtresse prévue) pour demander de la sévérité et en révélant aussi ma déception des fouettées précédentes (reçues chez d’autres Dominas), je peux supposer être obligé de passer cette fois par des fouettées plus insupportables.
Et si la Maîtresse, qui ne me connait pas, ne commence pas de manière stricte (comme je l’aurais imaginé), il me reste à le lui faire comprendre. Une manière qui a souvent fonctionné est de tirer la langue en refusant d’obéir à la Fesseuse. La première fois que je l’avais fait, elle avait l’air très fâchée et m’avais appliqué une bonne correction avec les méchantes verges que je lui avais apporté. Mes fesses avaient bien chauffé et je la vois encore maintenant m’appliquer consciencieusement et fortement la verge flexible (composée de fines tiges et brindilles de noisetier) qui se courbait avant d’alunir à toute vitesse sur mon derrière dénudé.

cette fois, je ne devrai pas échapper à LA cane appliquée très sévèrement


Dans cet article je ne vous parle pas de la préparation mais de comment j’imagine ma future fouettée.

Il y a bien sûr l’excitation d’avant (appel téléphonique, RV, lettre de présentation). L’arrivée chez la Maîtresse (l’appréhension plus grande que d’habitude, la vue du bâtiment, de la porte de l’endroit où je serai mal traité, l’hésitation au moment d’appuyer sur la sonnette, le point de non retour quand la Maîtresse ouvre la porte).
Pouvoir enfin dire « Bonjour Maîtresse » avant d’entrer et me laisser aller aux ordres et aux traitements de faveur de la Domina.
Et à la fin, le soulagement d’en avoir terminé avec les terribles corrections.

La partie des fouettées, je la vois comme un très mauvais moment, comme un incendie au cul qui ne veut pas s’éteindre. Seule la Maîtresse-pompière décidera du moment de l’extinction des feux.

Je l’imagine comme quelque chose de très désagréable, pénible, que je ne peux pas influencer, où je ne dois pas réfléchir, où je dois simplement obéir aux injonctions de la Maîtresse, à commencer par me dénuder complètement et présenter mes fesses sans défenses. Un moment où je dois supporter de terribles coups de baguettes ou cane sans rien dire (sauf peut-être remercier).

Il y aurait une phase de présentation, ajustement de sévérité. Puis une partie où je suis dressé et où je dois avouer un comportement réel que je dois améliorer (je consulte trop de sites érotiques et de fessées mais elle ne devrait pas arriver à me faire changer ce comportement;-)).
Je me vois ensuite immobilisé, engueulé et condamné (à un certain nombre de coups avec tels instruments) pour mes mauvaises habitudes et pour d’autres choses qui ne lui auront peut-être pas plu chez moi.
Elle m’explique alors qu’elle doit punir de manière exemplaire et que ce sera très pénible, me montre les moyens qu’elle va utiliser. Puis elle me laisse méditer et appréhender un moment sur ce qui va m’arriver.

Et enfin l’exécution de la sentence, la sévère cannée. Je ne pense pas arriver à imaginer ce que cela sera car je ne l’ai certainement jamais ressenti. Un moment interminable de douleur insupportable infligé par une Domina décidée et habituée à faire souffrir ses visiteurs. Et le fait de me voir me tortiller, grimacer, chercher à éviter la cane, m’entendre me plaindre, peut-être crier, pleurer, lui confirmera que la correction se déroule comme prévu.


Quand même un peu drôle l’occupation d’une Domina d'éducation anglaise!
Des personnes (un tout petit peu masos, bien sûr) s’adressent à elle pour qu’elle les fasse souffrir en appliquant de sévères coups de cane sur leurs fesses. Souvent elle les attache, les immobilise avec un support idoine et des lanières. Les personnes sont ainsi complètement à sa merci et ne peuvent échapper ou influencer la suite du traitement de faveur. La Maîtresse peut ressentir un sentiment de puissance, de domination (les soumis sont quand même là pour cela).
Et quand elle voit que les fustigés ont très mal, au lieu de les ménager, elle utilise son savoir faire et ses instruments pour continue à les torturer et à leur faire passer un très mauvais et pénible moment.

Habituellement quand on voit une personne qui souffre, on cherche à l’aider, à la réconforter. Si on est la cause des souffrances, on est désolé, on s’excuse parfois, on cherche à réparer l’offense.
 
Eh bien une Maîtresse d’éducation anglaise fait juste le contraire. Elle la gifle, lui pince les tétons, la fesse. Si la personne qu’elle éduque ne supporte pas le traitement, cela signifie que la séance se passe bien. Si la personne en punition se plaint un peu trop, elle mérite un supplément de baguette et de dressage. 
Et pourtant la personne soumise ne lui a rien fait. C'est de la violence, du châtiment corporel gratuit (ehh! Pas tout à fait ;-).

auparavant l'usage des verges était plus courant


Cela me rappelle, il y a plusieurs dizaines d’années, les mères ou maîtresses d’école qui utilisaient des baguettes ou une verge fraiche pour fesser les garçons désobéissants.
Que pouvaient-elles penser, quel était leur état d’esprit quand elles fustigeaient ?

Peut-être un peu la même chose qu’une Domina fesseuse, le sentiment du devoir accompli, de bien faire ce que l’on estime nécessaire. Je pense aussi qu’il peut y avoir parfois un petit plaisir sadique d’infliger des souffrances à un subordonné.

Tiens cela pourrait être la matière d’un article : le point de vue de véritables et sévères Maîtresses (qui ne sont pas des actrices de théâtre). Que pensent-elles au moment de fustiger véritablement et ainsi faire souffrir grandement une personne à leur merci ?

Les vraies Maîtresses, vous pouvez insérer sans hésitation votre grain de sel.


Il faut de tout pour faire un monde !
Qu’en pensez-vous, mes visiteuses et visiteurs ?


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 7 septembre 5 07 /09 /Sep 08:10
Voici de nouveau une expérience réelle que je voulais partager avec vous.


Au printemps de la dernière année du siècle passé (faites-vous-même le calcul), j'avais pris rendez-vous avec une Maîtresse à Bex en Suisse romande. J'avais trouvé son adresse dans les annonces coquines du Matin (journal de la région). Comme presque à chaque fois, j'avais choisi de belles baguettes et verges pour les proposer à ma Domina.

Pour faire une surprise, je m'étais arrêté auparavant dans un endroit où se trouvaient des orties. Avec des gants, j'en ai mis une grande touffe dans mon slip. Je suis étonné à chaque fois par la douleur des orties. Marcher, puis s'asseoir dans la voiture avec ce coussinet piquant est assez spécial. La sensation que la correction prévue a déjà commencée.

Avec cet arrêt pour cueillir les feuilles urticantes, l'heure avait avancé. Je me suis donc arrêté à une cabine téléphonique pour avertir la Maîtresse d'un petit retard. Elle avait l'air contrariée et m'a menacé d'une punition supplémentaire. Comme j'aime les punitions chez les Dominas, tout allait bien.
Heureusement que les cabines téléphoniques existent encore car pour la discrétion c'est important. Mais malheureusement elles ont bien diminué depuis quelques années. J'espère qu'il y en aura encore pour mes prochaines séances fessée!


La Maîtresse m'avait assez bien expliqué l'endroit où elle corrigeait. J'ai trouvé facilement et ai été un peu plus loin car je n'aime pas laisser la voiture à la vue de mes correctrices et de ses voisins. Il faut une certaine séparation entre ma vie normale et mes rôles occasionnels de soumis.

Je gare la voiture, prends les instruments de punition et me dirige vers le bâtiment à la sortie de Bex en direction d'Aigle. Les orties sont toujours présentes et actives entre mes cuisses et autour de mon sexe. Je vois la porte d'entrée du locatif, mon appréhension augmente. Je ne connais pas cette fouetteuse. Est-elle très sévère? Arriverai-je à supporter les méchantes baguettes prévues pour me fustiger les fesses nues? Mieux vaut ne pas trop y penser et y aller. Elle doit m’attendre et j’ai déjà dépassé un peu l’heure du rendez-vous. Je ne dois pas traîner même avec une petite boule au ventre.

Dans ces moments, très proches de la rencontre avec une Maîtresse inconnue, j'ai assez peur. Quelque part, j'espère qu'elle ne me fera pas trop mal, qu'elle ne sera pas trop dure et intransigeante avec moi. D'un autre côté, une Domina trop molle, qui ne fesse pas très sévèrement, me décevrait. C'est des drôles de sentiments. Je pense qu'il faut les avoir vécus soi-même pour bien comprendre.

comment sera la vraie fouetteuse par rapport à celle imaginée?

J'arrive enfin devant la porte de ma future fouetteuse et hésite un petit moment. Je peux encore me retourner et repartir rapidement. Il y a deux femmes qui discutent sur le palier de l’appartement à côté de celui où un simple prénom est inscrit près du bouton de la sonnette. Elles me regardent ainsi que mon drôle de sac allongé. Elles parlent un peu moins fort, je n’arrive pas à saisir leur conversation mais ai l’impression qu’elles parlent de moi. Ces deux, probablement curieuses, doivent savoir ce qui se pratique dans l’appartement où je vais entrer. Peut-être même qu’elles peuvent entendre des bruits de corrections (fessées, plaintes, engueulades). Je me sens gêné mais rassemble mon courage et approche du point de non retour.


appuyer sur ce bouton me fait franchir le point de non retour

J’appuie sur le bouton, entends la sonnette et regarde le judas au milieu de la porte. Des pas s’approchent et le judas change légèrement de teinte, quelqu’un m’observe puis la porte s'entrouvre. La Maîtresse, imaginée, est bien réelle. Je lui dis "Bonjour Maîtresse", elle me fait entrer. Le point de non retour est franchi. Avec ce que je lui ai demandé par téléphone, avec la lettre qu’elle va me réclamer, demandant une grande sévérité, avec les baguettes fraiches dans mon sac, je suis pris au piège et ne peux plus y échapper. Je suis à quelques minutes des premiers coups de baguettes et de fesses rougissantes et toujours plus douloureuses.
Je m'excuse du petit retard, lui donne la lettre et les verges pour me battre. Cette Domina est Autrichienne mais parle très bien le français avec un petit accent. Elle semble bien connaître comment discipliner les garçons difficiles.

Après une toute petite discussion, elle m'ordonne d'aller dans la salle des corrections et m'indique la porte. Je devrai me déshabiller complètement, bien plier les habits et l'attendre.

La pièce est sombre, comme d'habitude dans ces lieux, et comporte différents moyens pour punir et mater les garçons pas sages. Une cage, un système de crochets et poulies au plafond pour suspendre, une table assez étroite mais longue. Mais aussi tout un ensemble de moyens pour fesser: des fouets, martinets, cravaches, canes. Il y a aussi des accessoires tels que corde, lanières, bougies. Bref, l'équipement de la parfaite dominatrice. C'est impressionnant! Et une partie sera pour ma pomme.

A propos de mes fesses, il faudrait que je les dénude. Je me déshabille complètement, pose les orties sur la table sans me faire piquer les mains et la longue attente commence.

Je trouve à chaque fois ce moment pénible. J'aimerais que la Maîtresse arrive vite. Qu'elle s'occupe de moi. J’ai envie d’aller lui dire que je suis prêt, qu’elle peut me fesser, que j’ai un peu peur qu’elle soit trop sévère, qu’elle fustige trop fort, que j’aurais peut-être de la peine à supporter.

Mais la suite et son arrivée seront dans le prochain article…..

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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