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Ces jours, c'est un peu plus stress au niveau professionnel mais cela ne m'empêche pas de continuer cette fiction. Aujourd'hui c'est pour parler de l'Action fessée de fin 2009 chez Jean-Bernard Martinet & Fils.


Chez JBM & Fils, la situation était un peu différente de celle du grand public. C'était des personnes qui se connaissaient toutes, qui savaient qui allait être fessé ou pas, qui consultaient aussi le site de l'Action et étaient au courant des commentaires des fustigés. C'était aussi ce personnel qui préparait les baguettes et les verges. Qui les testait ensuite. Chaque instrument était appliqué très fortement une douzaine de fois sur un coussin. Après ce test, ils étaient examinés attentivement quand à leur forme inchangée, leur souplesse, leur flexibilité. Les baguettes ou verges cassées étaient bien évidemment écartées.
Le personnel entendait ainsi fréquemment le sifflement caractéristique des instruments. Les personnes inscrites pour l'Action ne pouvaient oublier qu'elles seraient sévèrement fessées en fin d'année. L'ambiance était un peu lourde, il y avait de l'appréhension.


Certains hommes, et aussi quelques femmes, imaginaient les fessées de collègues, se demandaient s'ils pourront voir des marques ou stries de baguettes sur certaines cuisses provocantes. Parfois ils se réjouissaient des corrections planifiées.

Pour la confection des verges, quelqu'un eut l'idée de laisser un numéro de série caché dans la partie où les baguettes étaient reliées ensemble par une bande adhésive. Les noms des personnes qui confectionnaient ou testaient étaient associés à ces numéros de série. Après leur fessée, les courageux pouvaient voir quel collègue ou peut-être eux même avait confectionné ou vérifié la verge. Cela rajouterait un peu de piquant à l'Action.



Le matin du 27 décembre arriva très vite et une dizaine de personnes de JBM & Fils se présentèrent pour recevoir leur cadeau d'entreprise. Pour donner aussi un peu de congé aux Pères et Mères fouettards, uniquement un couple (différent chaque jour) travaillait à la fois pour le cadeau du personnel. Les corrections étaient données dans le bureau de la cheffe du personnel, Madame Noémie. Cette femme très élégante, autoritaire, à l'air sévère était encore très belle malgré ses quarante ans. Elle était toujours en jupe, bas foncés et hauts talons. Pour le personnel, pénétrer dans son bureau n'était jamais une chose agréable. Elle était dure dans les négociations et la gestion des personnes. Tous les employés la vouvoyaient, à part le patron qui l'admirait.

En fait c'était elle qui portait la culotte de l'entreprise. Le patron, un peu plus jeune qu'elle, n'avait pas la personnalité pour diriger efficacement une société. Il était plutôt du genre chercheur, inventeur. Il était trop mou et bon avec les employés, la plupart le tutoyait. Pour les discussions avec les fournisseurs ou les clients, c'était aussi elle qui s'en occupait.


Donc les premières punitions commencèrent à 8 heures. Les rendez-vous étaient prévus tous les trois-quarts d'heure, mais c'est comme chez le toubib ou le dentiste, le premier client passe à l'heure et les suivants sont décalés. Les punis ressortaient, souvent en pleurs ou semblant avoir souffert, avec leur baguette et leur verge usées. Pour un peu pimenter, l'ordre des rendez-vous n'était pas toujours respecté.

Les personnes qui attendaient, savaient qui était en train de recevoir la verge, entendaient les sifflements des baguettes, les ordres de se remettre en position après un coup, parfois la faute réelle qu'il fallait avouer avant la correction.
Bref c'est comme dans une vraie séance de fessées. Plusieurs des personnes qui lisent mon blog connaissent cela.

Les attentes étaient pleines d'appréhension, de craintes, de peurs, d'envie d'échapper à ce traitement. C'est au passage aux verges de Madame Noémie que les quelques employés en attente entendirent sa faute: elle couchait avec le patron (ce que beaucoup soupçonnaient). A la fin de son supplice, elle ressortit en larme et avec les baguettes utilisées pour la fustiger. Malgré la peur d'arriver à leur tour, les personnes présentes avaient plaisir de voir Madame Noémie dans cet état. Elle ne l'avait pas volé.


Le passage du patron dans le bureau du personnel confirma ce qui se racontait parmi le personnel: il copulait bien avec sa responsable. Mais l'entreprise n'allait pas être ébranlée pour si peu.
A la fin de l'année, tous les courageux avaient reçu leur cadeau fessier.
Peu de personne était consciente auparavant de ce que cela représentait une vraie correction corporelle aux baguettes et verges. Mais la plupart étaient fiers d'avoir réussi cette épreuve. Ils se rendaient aussi compte de la qualité, la sévérité du matériel qu'ils produisaient. Peu étaient prêts à connaître à nouveau une telle douleur.


Vers le début février 2010, le Conseil de la BAF s'est réuni pour le bilan des Actions de fin d'année. Il y avait beaucoup d'images tournées car les Pères et Mères Noël et Fouettards portaient souvent les lunettes Optique 2010.
Je vous parlerai une autre fois des conclusions tirées de ces Actions. Mais il y a une petite chose que j'aimerais vous révéler maintenant. Ou plutôt non, la prochaine fois.

A bientôt !

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Dans cette fiction on était resté au moment où, pour tester l'Action fessée de fin d'année, la psy Florence était immobilisée et la Princesse Christine était partie chercher des instruments de fouettage.

Et voilà qu'enfin Christine revenait avec ses baguettes. Elle les essayait l'une après l'autre en les faisant siffler et semblant hésiter avec laquelle commencer. Florence commençait à pleurer et tremblait un peu. Elle n'avait jamais été fessée et avait donc très peur de cela. Elle avait vu des vidéos de Maîtresse Christine qui corrigeait des hommes et des femmes et la savait donc très sévère. Elle essayait de se débattre et elle criait. Christine lui mit un bâillon pour la faire taire et commença à fouetter.

Tout d'abord avec une baguette. Ses fesses qui se tortillaient sans arrêt se paraient de belles traces caractéristiques de ce type d'instrument. Maîtresse Christine fouettait vraiment fort, elle devait certainement profiter de l'occasion pour lui donner une bonne leçon. La baguette sifflait magnifiquement avant d'atteindre le pauvre postérieur de la docteure en psychologie. Quand la coloration de son cul lui semblait bonne, la Maîtresse posa la baguette et s'empara de la verge. Elle appliqua celle-ci sans ménagement comme pour punir véritablement, comme si elle avait oublié que c'était un test. 3 douzaines de ce traitement et elle s'arrêta de fesser. Le test, pour elle la Maîtresse, était satisfaisant.


Les heureux spectateurs relâchèrent la pauvre Florence et elle pu enlever son bâillon. Elle faisait peine à voir et ne pensait qu'à frotter son derrière très douloureux. Après un moment elle remonta sa culotte, réajusta ses bas et se vérifia dans un miroir. Beaucoup de larmes avait coulé. Elle ne dit rien et resta debout à coté des autres pour la suite du conseil.

L'assemblée décida donc de proposer l'Action fessées mais en mettant un avertissement concernant la sévérité, surtout pour les personnes curieuses et pas très habituées aux fessées en condition réaliste. Les personnes pourront être attachées et même recevoir un bâillon boule si elle faisait trop de bruit. Si la personne à fesser ne supportait pas bien la Maîtresse serait autorisée à diminuer la sévérité et même à stopper immédiatement la correction.

Le Conseil décida aussi que les Mères fouettardes (pour les visites normales) montreront un peu moins qu'elles sont des Maîtresses soit dans l'habillement soit dans la manière de parler aux enfants. Des cours de Pères et Mères Noël seront organisés.


Mais vers la fin décembre 2008, suite au stress, Yaka fit une erreur. Un SMS de Punition a été envoyé avec de fausses coordonnées. Celles-ci correspondaient à un avocat d'affaire très procédurier. Heureusement que l'informaticien veillait et la BAFfeuse a pu être alertée à temps pour annuler la Punition. L'avocat, par ailleurs tout à fait honnête, n'a donc jamais été inquiété. Ce faux pas a beaucoup affecté Yaka. Fallait-il aussi que Yaka subisse le Châtiment? Seul l'informaticien était complètement au courant de la faute commise par Yaka.

Au début de janvier 2009, Yaka alla chez DsK pour une visite normale et avait aussi prévu de prolonger par 2 semaines de vacances en Verginie. Le dilemme était toujours entier, fallait-il subir le Châtiment?  Pas facile, quand on n'a aucun désir de fessées, aucune tendance maso, de se présenter dans une institution spécialisée dans les corrections corporelles et de demander d'être très sévèrement puni. Yaka n'arrivait pas à se décider et revint après 2 semaines sans avoir franchit le pas. Jusqu'à la fin mai, Yaka était triste et d'humeur morose.


Avec les beaux jours qui revenaient, Yaka prit une décision et se présenta chez BFE pour y être punie comme elle le méritait. Elle subit courageusement les différentes fessées aux baguettes et verges. Yaka ne s'attendait pas à une punition si douloureuse. Elle comprenait mieux que les personnes sans tendances fessées feraient tout pour ne plus être à nouveau punies de la sorte. Après le Châtiment, tout de même mérité car elle avait fauté, elle s'octroya 3 semaines de vacances à Torquay sur la côte sud de l'Angleterre. Elle visita aussi les grottes de cette belle région.

A son retour, Yaka était transformée. Elle avait plus d'assurance, osait de nouveau regarder l'informaticien en face, était de bonne humeur. Elle avait la pêche.


Sur le site de pourquoipa.org, les demandes de corrections aux baguettes et verges par des Pères et Mères fouettards arrivaient. Quelques centaines à la mi 2009.
Quelques commentaires dans les blogs spécialisés érotique ou fessées avaient suffit comme publicité. Le blog à blog avait fait le reste. Il ne restait plus qu'à assurer toutes ces corrections à partir de décembre.


Voilà pour aujourd'hui, la prochaine fois je parlerai des détails des actions de fin d'année 2009.
A bientôt!

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Après les émotions du 6 mai, je me replonge dans cette fiction.


Donc à la fin novembre 2008, comme il y avait un peu moins de travail, le Conseil, suite à une idée de Yaka, décida d'organiser des visites de Noël (Action de Noël). Du personnel de la BAF, surtout des Calls et des détectives, prendrait le rôle de Pères et Mères Noël. Il était encore assez facile de trouver de longs manteaux rouges et pour les hommes un peu de ouate ferait la barbe. Un budget était aussi alloué pour les cadeaux. Ces visites et sorties auront lieu uniquement en décembre.

Chaque Père ou Mère Noël était accompagné d'un Père fouettard ou d'une Mère fouettarde. Pour ces Mères rien de plus simple: ce sera des BAFfeuses habillées en Maîtresses. Et pour des Pères fouettards ce sera des Calls hommes, des BAFeurs ou des femmes Call ou BAFfeuses déguisées.

Des costumes et d'anciennes baguettes et verges ont pu être trouvés chez les costumiers et BFE. Evidemment ce matériel ne devait pas fonctionner. Pas de fessées prévues mais uniquement de la figuration. Dommage car il y aurait eu du travail de correction à effectuer chez certains parents. Beaucoup de baffes et de fessées se perdaient.

Pour les personnes intéressées à recevoir une telle visite, un site web (pourquoipa.org) a été mis en place. Ces personnes paieront 10 euros par visite avec quelques petits cadeaux compris.


Cette action eut beaucoup de succès. Les acteurs fouetteurs trouvaient intéressants de pouvoir se balader sans problème et à la vue de tous avec de vraies baguettes et verges. Les parents étaient ravis de voir de belles femmes sexy et souvent de beaux hommes dans ces rôles. Les enfants recevaient des cadeaux. Les gens dans la rue se marraient de voir ces personnages habillés en presque faux Père Noël et Maîtresse SM. Cette bonne action était complètement séparée de l'activité habituelle de la BAF.


Le Conseil décida de reconduire cette action l'année suivante mais avec quelques points à modifier:

La première mesure concerne une suite à donner aux nombreuses demandes, sur le site Internet, de personnes désirant être fouettées par les Pères et Mères fouettards. Un service (Action fessées) de ce genre sera organisé pour un tarif de 150 euros et pour la période de décembre et janvier. La séance sera d'une demi-heure de pures et sévères fessées. Les fouetteuses ou fouetteurs se rendront à domicile ou dans un hôtel. Ils le feront un peu plus discrètement en janvier.
Des bons cadeaux pour une séance fessée seront aussi possibles. Les personnes à punir devront toutes donner leur accord par écrit avant de dénuder leurs fesses. Un avertissement sur le site informera de la grande sévérité de ces fessées. Ce ne sera pas du théâtre mais des corrections avec de vraies baguettes et dans des conditions réalistes.
Les fouettées se feront sur les fesses dénudées et sans période d'adaptation. Les coups de verges et baguettes seront appliqués tout de suite très fort. Pour les mauviettes, s'abstenir !
Il faudra prouver avoir 20 ans pour profiter de ce service.
Le service de correction aux baguettes et verges sera à régler à l'avance par carte ou autres moyens possibles par Internet. Le montant sera débité au moment de l'accord écrit de la ou du futur fessé. Depuis ce moment aucun remboursement ne sera possible.

L'inscription pour les séances punition par Mère ou Père fouettard sera possible depuis début juillet 2009. La personne pourra choisir si la fessée sera administrée par un homme ou une femme. La BAF essayera de servir tous les inscrits mais tiendra compte des premiers en cas de demandes trop importantes.

Ce personnel fouetteur, pour le mois de décembre, portera les instruments de correction à la main et à la vue de tous. Après la séance les baguettes utilisées seront laissées comme souvenir à la personne fustigée. Le retour des Pères et Mères fouettards se fera avec une vieille verge classique.

Et comme la Princesse du Conseil avait souvent une idée d'avance, elle proposa de tester l'Action fessées sur un membre du Conseil. Ce serait elle qui s'occuperait de l'application des baguettes. La personne tirée au sort baisserait immédiatement sa culotte et se mettrait en position avec fesses dégagées et disponibles. Elle racontera aussi après ce qu'elle a ressenti, si cela faisait mal, si elle pensait raisonnable de le proposer au public. Les autres membres, plus chanceux, assisteraient à la correction. Tous les membres acceptèrent sauf la psychologue qui ne se voyait pas se faire fouetter avec des baguettes. Elle était aussi très douillette et la vue de baguettes et verges lui faisait très peur. Le Conseil accepta néanmoins car il devait être pleinement conscient de cette action avant de la proposer au public.

Pendant le tirage au sort, Christine qui était dispensée de fessées, avait un petit sourire sadique. Les autres membres ne souriaient pas du tout et la plupart étaient plein d'appréhension. La psychologue, qui s'appelait Florence, boudait. Le sort désigna la docteure en psychologie qui en plus avait refusé de se prêter au jeu. La Princesse allait chercher des baguettes et une verge qu'elle avait soigneusement préparé dans l'éventualité que sa proposition de test serait acceptée.


Florence, la psychologue, commença à se plaindre, à dire qu'elle n'était pas d'accord, mais tous les autres membres du Conseil trouvaient ce test très intéressant. Plusieurs se réjouissaient de voir une fois cette prétentieuse de Florence être punie. La psy était souvent en désaccord avec le Conseil. Elle était la première à se moquer des autres et à demander de la sévérité pour ce qui ne la touchait pas. Elle était prétentieuse, ne respectait pas grand monde, se prenait pour un être supérieur. Eh bien cette fois elle allait comprendre ce que c'est qu'une très sévère fessée avec des baguettes et verges et appliquées avec soin par la Princesse.

En attendant que Christine revienne avec les instruments de fouettage, les autres membres immobilisèrent Florence et lui baissèrent les bas et la culotte. Il faut dire que cette docteure en psychologie était une très belle femme blonde. Elle avait des lunettes, une jupe au-dessus du genou, des jambes gainées de bas en nylon. En plus elle portait ce jour là des chaussures noires à très hauts talons.
La voir ainsi, les fesses blanches nues au dessus de ses bas arrivant au haut des cuisses, était un vrai bonheur. Surtout les hommes montraient leur plaisir.


Voilà, certains commencent déjà à avoir la tête et l'entre-jambe excités. Mais il faudra attendre le prochain article pour le retour de la Princesse avec des baguettes fraiches.
A bientôt!