Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 05:05
Comme déjà abordé un fois et pour sortir un moment de cette fiction,  j'aimerais partager avec vous quelques liens.

Ceux-ci sont présentés comme ils arrivent. Donc pas de notion de préférence. Et bien sûr, comme pour chaque article, vos commentaires sont les bien venus.


Bienvenue chez Clara et Franck


Ils n'ont pas l'air de s'embêter d'après ce que je vois dans leur blog.
Habituellement c'est Frank qui s'occupe des fesses, seins, corps de Clara et parfois c'est Sina qui prend soin d'elle.
Beaucoup de photos, cuir, vinyl, soumission.  Beaucoup de récits, du vécu. Du travail sur les seins, l'entre-cuisses, les fesses. Des pincettes, rosebud, martinet, cravache. Ce doit être bon de partager ce genre de passion dans un couple. Je m'y verrai assez bien.
Un blog avec de la belle soumission!


Glissements


Etonnant ce site. Il est fait pour le plaisir.
C'est un jeu d'initiation à la soumission pour les couples dont la femme accepte une soumission soft. Il y a deux possibilités: une sévère et une libre. La plupart des relations avec le site se font par mail et sont publiées sur le site pour les conjoints et les internautes.
Donc beaucoup de récits, de punitions ou gages, de photos très perso. Intéressant!


Jenny Sexy


De belles photos osées, érotiques, sexy de jeunes femmes. C'est frais, excitant, donne envie de toucher, de caresser, de retirer un vêtement, d'oser une fessée érotique, de pénétrer. Des moments agréables en passant par ce blog.


Jeux de société érotiques pour adultes


Un site consacré à différents jeux pour adultes, érotiques. Il y a beaucoup de PDF d'explications pour des jeux, des gages, des défis. Il y a aussi des récits et des photos d'idées pour ces jeux. Les gages peuvent être les mains sur la tête jusqu'à des fessées avec une baguette en passant par des caresses, des habits à retirer, des positions à tenir ou des exercices à faire.
De quoi passer de bons moments entre adultes. De bonnes idées qui incitent à faire le coquin!


Les courbes de Letyzia


De belles courbes, en effet, dans ce blog tenu par une jeune femme sympathique. Des photos d'elle nue ou en tenue légère sans vulgarité. A visiter régulièrement!


Mari soumis et amoureux


Tout est dans le titre. Un homme soumis, heureux d'être l'esclave de sa femme qui est aussi sa Maîtresse. De belles photos, des récits, des soumissions, des fessées avec cravache, du facesitting. Des hauts talons qui jouent avec son corps, sa queue. C'est excitant.
Je me verrai bien dans le rôle du mari sous les bottes en cuir de Madame. Un très bon blog!


Méli Mélo


Un blog très bien fait avec de belles photos, des montages, des textes, de l'humour, des jeux de mots. Les mots fesses, fessées, sont très bien présentés et représentés.
Un endroit où l'on adore quand on frappe... avant d'entrer. Un vrai méli mélo!


Voilà pour aujourd'hui c'est tout.
A une prochaine fois pour la suite de la fiction avec Coco.


Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 05:33
auparavant

Vous désirez certainement quelques exemples de punitions et bien voilà la suite de cette fiction.


Il y a eu le cas d'un animateur TV qui avait du retard en revenant par avion d'Afrique. Après avoir été attiré par un Call, il était très fâché car c'était une femme qui l'avait fouetté et non un homme.

Un célèbre couturier avait promis de revenir en France mais n'avait pas respecté sa promesse. Une Call lui avait parlé d'une séance de god-ceinture et après la fessée il réclamait de se faire enculer. Ce qui n'est évidemment pas prévu par la BAF.

Une tenniswoman devait encore jouer un match et ne pouvait être en Suisse assez longtemps. Elle était ravie de la punition par une Maîtresse et demandait un supplément. La BAF n'octroie pas de rallonge. La sportive n'a pu jouer les premiers matches de l'année car elle avait des marques de martinet encore visibles sur le haut des cuisses.

Une écrivain à succès avait passé sa scolarité en Angleterre et connaissait l'éducation anglaise mais l'avait en horreur. Dès les premiers coups elle tremblait et des larmes coulaient sur ses joues. Elle avait un cul magnifique, bien musclé qu'elle remontait bien haut en arrière après chaque coup comme elle en avait l'habitude pendant sa scolarité. La Maîtresse avait pitié et hésitait à être moins sévère. Mais la menace d'un Châtiment lui redonnait des forces pour les 6 coups de cane restant.

L'expert fiscal a une fois averti, par un coup de fil, un copain de promotion qu'une enquête était en cours sur lui. L'expert ne sut jamais comment il fut découvert (l'informaticien, le seul auquel Yaka faisait entièrement confiance, surveillait toutes les conversations téléphoniques). L'expert fut envoyé chez DsK dans le cadre de discussions pour son travail. Une Princesse l'attendait, lui expliqua la faute et lui annonça qu'il sera puni selon les règles du royaume.
Les esclaves de ce lieu de villégiature l'appelèrent "le seul pleureur".

Le carcan de la Valise ressemble beaucoup à celui-ci. Impossible donc d'y échapper à la Punition.

Une BAFfeuse, la grosse Berta, était efficace et obtenait de très bons résultats. Elle aimait fesser encore et encore. Dans le petit salon de "massage" où elle travaillait auparavant elle s'était spécialisée dans les punitions OTK. Quelques fois elle utilisait une raquette de ping-pong ou un petit martinet mais ce qu'elle préférait c'était les bonnes vieilles fessées à la main.
Elle basculait son client sur ses genoux, le coinçait entre ses jambes, lui baissait la culotte et débutait tout de suite par de grandes claques.  Elle était infatigable, une demi-heure de fessée à la main était courant. Les fesses qui se tortillaient, rougissaient, chauffaient, cherchaient à échapper, lui procurait un très grand plaisir. Jamais elle ne mettait de gants, toujours de main nue à fesses nues. Le contact de cette peau qui prenait des couleurs, le puni qui voulait se frotter le derrière et qu'elle empêchait. Beaucoup repartaient en pleurs et cela l'excitait.

A la BAF, Maîtresse Berta avait eu de la peine à s'habituer aux instruments sophistiqués de la Valise, les bonnes vielles claques à la main lui manquaient. Mais le job était bien payé et elle obéit aux instructions. Les Gaffeurs se souvenaient longtemps avec quelle vigueur elle utilisait le claquoir, le martinet et surtout la cane. Même quelques habitués des fessées étaient soulagés quand elle reposait la cane.

Elle eut quand même, une fois, un problème: comme Maîtresse Berta était assez myope, elle s'était trompée et avait lu, sur le SMS punitif, 69 au lieu de 96 comme numéro de rue. Heureusement le client de la villa au numéro 69 était un suisse allemand qui aimait tellement les fessées qu'il en avait demandé un supplément. Ce n'était pas lui qui allait créer des ennuis à Maîtresse Berta. Mais le règlement de la BAF l'envoya quand même à Londres. Le Maître qui  lui appliqua le Châtiment usa deux verges pour obtenir un résultat satisfaisant.

Berta qui pourtant aimait claquer, démissionna pour reprendre son travail de camionneuse. Son petit copain lui suffira.

Le client du 96 eut une certaine chance: Maîtresse Berta avait un petit défaut esthétique, elle appliquait la Punition habillée en jeans larges et baskets. Même les amateurs de domination étaient refroidis. C'est donc une BAFfeuse très sexy qui sonna un jour au numéro 96. Elle "représentait" des sous-vêtements pour hommes. Une odeur agréable de parfum et il se retrouva sans volonté. Il accepta la Punition car il avait triché et la Maîtresse ressemblait tellement aux jeunes femmes qu'il dévorait dans les magazines féminins.


La suite de cette fiction pour la prochaine fois.
A bientôt


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 1 février 4 01 /02 /Fév 05:37
auparavant

Comme annoncé la dernière fois, j'aimerais vous parler un peu plus du système punitif de cette fiction.


Uniquement Yaka donnait, par SMS crypté, le OK pour une Punition ou un Châtiment. Ce message comportait, généralement, les coordonnées précises de la personne à punir, une description de la faute et un délai imposé pour la réparer.

La première personne à goûter à la Valise a été un mannequin célèbre qui avait "oublié" de revenir en Suisse mais profitait quand même du forfait fiscal. Le Call l'ayant attiré dans la chambre d'hôtel, elle a rapidement été  immobilisée dans le carcan et cagoulée.

C'était une fille du tonnerre. Elle portait une mini-jupe assez courte, des bas bruns fumés avec porte-jarretelle et un mini string noir. La BAFfeuse a estimé devoir enlever la jupe et baisser le string. Dès la volonté revenue, la superbe femme se demandait ce qu'elle faisait là dans cette position.
Elle ne portait pas de soutien-gorge et le chemisier laissait deviner des seins de rêve qui pointaient vers le bas. La disposition des trous du support forçait la croupe à bien se positionner et écartait légèrement les cuisses. La magnifique fente et le petit trou foncé formaient un super tableau. Une superbe position pour fustiger des fesses toutes blanches.
Ce qu'elle était belle! Même la Maîtresse fut troublée et hésita un moment pour commencer la Punition. Comme elle ne voulait pas être condamnée au Châtiment, elle empoigna le claquoir.

Au début, pendant l'explication de la tricherie, le mannequin était encore très impertinent. Mais dés les premières claques elle s'est mise à pleurer bruyamment. Elle allait ameuter les clients de l'hôtel pourtant habitué à entendre des fessées. Un bâillon improvisé a réglé la chose.

La suite de la fessée a confirmé les soupçons: cette très belle femme n'était pas habituée à être fessée (comme la plupart des Gaffeuses et Gaffeurs). Elle n'y avait aucun goût et ne réagissait pas comme les clients habituels de la Maîtresse. Chaque coup était efficace et servait comme véritable et pure punition. Voir les fesses se tortiller de douleur faisait de la peine à la BAFfeuse et plusieurs fois elle a songé à abréger la Punition. Mais si son travail n'était pas exécuté à la perfection, c'était elle la BAFfeuse qui s'attirait des ennuis. La pauvre tricheuse a donc eu droit à tous les tourments prévus jusqu'aux derniers des 6 coups de la terrible cane. Ce qu'elle semblait souffrir la pauvre. Les 6 marques très nettes sur ses fesses rouges magnifiques étaient le signe que la Punition avait été menée au bout. Les lunettes ont encore transmis les promesses de ne plus tricher et le mannequin fut libéré et put se rhabiller.

La célèbre femme a donc redéménagé en France en expliquant qu'elle regrettait beaucoup et que l'évasion fiscale n'était pas une chose à faire.

De son côté le Conseil ordonna d'équiper les Valises d'un bâillon boule à installer avant la reprise de volonté et à enlever à la fin pour enregistrer les promesses d'amélioration et le délai prévu. Il décida aussi  de ne rien changer à la Punition car elle était entièrement efficace. Il était conscient que les différents instruments de correction étaient très douloureux pour des personnes non habituées et sans tendance maso. La seule concession était la possibilité de prolonger la durée de la Punition jusqu'à une heure pour permettre aux fessés de récupérer un peu entre les coups. En aucun cas la BAFfeuse ne devait diminuer la sévérité sinon elle était automatiquement condamnée au Châtiment.

Une des fameuses canes en delrin de la Valise

Le Châtiment était une deuxième possibilité de correction prévue en cas de récidive (très rare) ou pour punir du personnel de la BAF. Les membres du Conseil comme les détectives, les Calls, les BAFfeuses  pouvaient être condamnés au Châtiment. Un oubli, une faiblesse, un apitoiement suffisait pour un passage en institution de correction.
Toutes ces personnes avaient signé un contrat très strict mais étaient très bien payées.
Les relations amoureuses entre elles étaient aussi complètement interdites.

Donc le Châtiment consistait pour les hommes d'un séjour d'une nuit et un jour au royaume DsK à Drague et pour les femmes, la même durée dans une maison londonienne spécialisée en fessées aux verges. Ces 2 institutions filmaient les punitions pour produire des vidéos qu'elles revendaient par Internet aux passionné(e)s.

Les condamnés au Châtiment étaient amenés dans les lieux de corrections respectifs par un BAFfeur, qui pouvait aussi être soumis à cette sanction. Celui-ci était recruté principalement chez des gardes du corps. Il ne punissait pas lui-même mais escortait uniquement. Le BAFfeur disposait d'un spray parfum, le SanRésistance, différent de celui utilisé par les BAFfeuses et Calls.


Chez DsK, l'homme était reçu par une haie d'honneur. Il devait parcourir, une Princesse-jockey sur son dos, un couloir à quatre pattes et tout nu. 5 Maîtresses étaient disposées le long du passage. Près de chaque Domina, il devait faire une pause pour qu'elle puisse lui appliquer quelques coups d'un instrument.
Les 6 Princesses se réunissaient ensuite pour faire un rapport appelé ECG (Empreinte de Comportement Général). Ce document comportait différentes données comme la santé, la sensibilité aux instruments, le caractère, la résistance aux coups etc... Ce rapport était envoyé au Conseil et servait aussi pour les traitements punitifs du lendemain.
Le puni passait la nuit au cachot, sur la paille. Et le lendemain, pour joindre l'utile au désagréable, il y avait du dressage, des révisions de règlements, un examen, des corrections et une fessée finale.

DsK (Domina's Kingdom) est un royaume dédié à la suprématie féminine. Il est situé dans une grande propriété près de Drague en Verginie. Ce domaine comporte un château restauré, des dépendances (sorte de bungalows communicants entre eux), des places de jeux, un peu de forêt.
12 Princesses et une Reine, habitent le château. Les bungalows sont utilisés par des Maîtresses-candidates ou invitées.

Cette royauté est un système très démocratique. La Reine change tous les vendredi 13 et est désignée parmi les 12 Princesses selon un système de tournus que je n'ai jamais compris. Les Internautes peuvent d'ailleurs suivre cette nomination en direct: un écran blanc s'affiche après la nomination puis le nom de la nouvelle Reine apparait. La Reine précédente redevient Princesse. Les Princesses le restent toute leur vie. Actuellement la Reine est Evelyne I.
Si le nombre de Princesses n'est plus suffisant (décès, démission, doctorat de fesséologie comme Princesse Christine du Conseil) il y a une élection le vendredi suivant
Les Princesses et la Reine choisissent 3 nominées parmi les Maîtresses-candidates. Celles-ci sont des Maîtresses expérimentées qui s'inscrivent par Internet selon des critères très strictes. Les Internautes peuvent, par SMS surtaxés, donner des voix à leur nominée préférée. Il y a parfois des pleurs ou des scènes violentes chez les Maîtresses non choisies.
Une de ces Maîtresses (Cruella) avait, après sa non élection, commencé à frapper la nouvelle Princesse avec sa cravache.
C'est un crime de lèse majesté puni très sévèrement. Cruella est restée une semaine au cachot et était corrigée tous les jours avec un instrument différent. Elle a ainsi connu, les verges, baguettes, cravache, orties, martinet, fouet, cane.


A Londres, c'est une ancienne institutrice qui avait fondé une école d'éducation anglaise. Elle l'avait nommée Birch For Ever (BFE). Cette directrice, qui avait fessé des dizaines et des dizaines d'élèves, en connaissait un bout sur les punitions. Elle est entourée d'autres instituteurs expérimentés, hommes et femmes. La maison n'utilise que des verges en bouleau blanc, en saule, en noisetier ou de rotin.
Les clients habituels sont des adultes masos mais l'institution a aussi un arrangement avec la BAF.
Les femmes condamnées par la Brigade Anti Fuites y étaient accueillies par 12 coups de baguette de noisetier. Le séjour commençait bien. Ces baguettes laissent déjà de belles marques et font mal. Un rapport ECG est ensuite élaboré.

N'est-il pas dommage de devoir fustiger ces fesses de BAFfeuse?

Par rapport à DsK, le BFE est moins hard et il y a une notion plus esthétique. Des paramètres tels que la manière dont les fesses bougent, ondulent après un coup ou s'écartent et se referment, laissant apercevoir l'intérieur de la fente, sont importants ainsi que le positionnement du cul, le cambrement, le meilleur profil, le comportement des seins et tétons.
Chez BFE on joue principalement des scènes d'école mais aussi de soubrettes, juments, de jeunes femmes désobéissantes qui doivent être remises en place.

Après prise de l'ECG, les punies sont ensuite envoyées au lit dans un dortoir. A 21 heures, avant l'extinction des lumières, les malheureuses reçoivent pendant une minute la verge de rotin. Cette célèbre verge est appliquée très sévèrement sur les fesses et les cuisses. Excellent pour ne pas avoir froid et passer une bonne nuit.
Le lendemain, révision de règlements le matin puis un examen et différentes fessées et jeux avec verges.


DsK et BFE tournent principalement en produisant des images haute qualité ainsi que des vidéos. Les différentes fouettées sont toujours appliquées sur les fesses nues et dans des conditions réalistes. Pour les envoyés de la BAF, peu enclins à ces jeux, c'est trop sévère mais terriblement efficace. Très peu de ces personnes prennent le risque d'y retourner.


Comme vous le voyez, beaucoup de points avaient été minutieusement pensés pour la réussite de cette grande opération. C'est uniquement Yaka qui envoyait des SMS cryptés aux Calls et aux BAFfeuses et BAFfeurs. Uniquement les membres du Conseil connaissent Yaka. Les détectives, Calls et BAFfeurs ne connaissent que le membre du Conseil qui les a recrutés.
Toutes les liaisons sont cryptées. Un programme informatique analyse la Base et donne à Yaka les coordonnées des personnes à séduire, convaincre, punir.
Quelques mécènes s'occupent des questions financières et l'argent ne manque pas.


En 2010, le Conseil fera un bilan définitif. Mais jusqu'à cette échéance il y a encore beaucoup de travail. Un millier de personnes sont dans la Base.


Dans un autre article vous aurez différents détails et exemples de corrections.

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 25 janvier 4 25 /01 /Jan 05:32
auparavant

Ségo, très prise par sa campagne, ne se rend pas compte du travail important, mais en arrière plan, de la BAF. Il y a pourtant un ou deux comportements qui auraient pu l'intriguer.
Après un week-end à Londres, une secrétaire personnelle ne s'est plus assise pendant une semaine (elle était envoyée par la BAF pour surveiller la campagne et s'était amourachée d'un proche de Sarko).
Un grand couturier, ayant fait fortune dans les maillots de bain, n'allait plus à la piscine comme habituellement (il avait triché en ne restant en Suisse que 6 mois et 10 heures et lors d'un plongeon en piscine son maillot était descendu, découvrant ses fesses corrigées).


Ségo a bien évidemment gagné la présidentielle et, fait inhabituel, tenu ses promesses. Beaucoup d'évadés sont revenus au pays. Les problèmes de violence, de délinquance diminuaient.
La France allait mieux.

En Suisse, vu les succès de la gauche française, des élections ont donné plus de poids au centre gauche dans le Parlement. L'exécutif s'en est aussi trouvé modifié. Deux conseillers de droite ont été éjectés pour laisser la place à un vert et un centriste.
Ce nouveau gouvernement a pris des mesures pour rendre moins attractif le forfait fiscal.


Mais tous ces résultats sont aussi le fruit du travail souterrain de la BAF.
Depuis presqu'une année, un millier de fiches avaient alimenté la Base. Le déclenchement de l'étape suivante était venu des premiers signes que Ségo allait dans le sens de l'email qu'elle avait reçu de Yaka.
Les Calls pouvaient se mettre au travail.

Les Gaffeuses et Gaffeurs potentiels ont encore pu facilement être convaincus de rester en France. Mais pour les évadés installés en Suisse c'était une autre paire de manche. Ils étaient à la limite et souvent la dépassaient. Les BAFfeuses commençaient à avoir du travail.

Le scénario était souvent le même. Dans un hôtel habitué à recevoir des clients qui pratiquaient la fessée, la Call (ou le) attirait le client et utilisait un parfum, le SanVolonté, qui bloquait la volonté (15 minutes). La Call était elle-même immunisée contre le SanVolonté. Pendant que le Gaffeur (ou la) était servile, la BAFfeuse arrivait avec la Valise et immobilisait le puni dans le carcan. C'était un support à quatre trous où le futur fessé se tenait à quatre pattes. La fouetteuse mettait les lunettes Optique 2010, lui enfilait une cagoule, lui baissait son slip. La punition pouvait commencer. Le rôle du Call était terminé.

N'est-il pas beau le martinet de la Valise?

Dés que le Gaffeur retrouvait la volonté, la Maîtresse expliquait la faute et commençait à fouetter avec le claquoir. Quand les fesses et les cuisses étaient bien colorées, la cravache prenait le relais pour parfaire la coloration. C'était alors le tour du martinet à lanières de section ronde. Ce fouet est très douloureux et représente un vrai supplice pour le Gaffeur. 36 coups de martinet suffisent souvent à faire regretter la faute au tricheur.
Mais comme la Punition n'était pas une partie de rigolade, la fesseuse appliquait encore 6 coups de cane (JF ou S) sur les fesses déjà très meurtries. Ces 6 derniers étaient si douloureux, donc efficaces, que le puni fera tout pour ne plus y goûter.
Le tricheur devait ensuite promettre de réparer la faute dans le délai imposé, et dans la plupart des cas revenir en France. Tout ceci était bien sûr filmé et complétait la Base.

La BAFfeuse utilisait ensuite un spray SanVolonté dont elle était aussi immunisée. Elle remontait la culotte, libérait le fessé et s'en allait avec la Valise. En général une demi-heure suffisait à convertir la Gaffeuse ou le Gaffeur.

La prochaine fois, il y aura encore plus de détails sur le système punitif de cette fiction.
A tout bientôt

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 18 janvier 4 18 /01 /Jan 05:00
auparavant

La dernière fois j'avais débuté cette fiction en parlant du problème de l'évasion fiscale et comment améliorer certaines choses.

Assez vite de riches contribuables reviennent en France. Mais ni Ségo ni monsieur tout le monde ne se doutent de l'existence d'une organisation ultra secrète nommée "Brigade Anti Fuites" (BAF) dirigée par Yaka.


La BAF existe depuis plus d'une année. Un conseil de 8 membres chapeaute l'organisation. Le Conseil est formé de Yaka, d'une parfumeuse de génie, d'une Princesse du royaume DsK, d'une docteure en psychologie, d'un ancien espion de sa Majesté, d'un spécialiste de l'informatique et des communications, d'un micro-mécanicien-opticien et d'un expert fiscal.

La BAF comporte aussi des détectives privés formés par l'ancien espion et l'expert fiscal. Leur but est d'espionner et surveiller les évadés fiscaux (les Gaffeurs) actuels et potentiels. Ces détectives sont équipés de lunettes transmetteuses audio-vidéo appelées Optique 2010. Ces lunettes ressemblent à toutes les autres lunettes: des verres et une monture.

Le premier proto des lunettes Optique 2010

Tous les renseignements sont insérés dans une base de données très sécurisée, la Base.
Cette base comporte énormément de données personnelles comme par exemple les goûts culinaires, les tendances sexuelles, les habitudes sportives, les lieux de loisirs etc..
Une application informatique, l'IDS (Images et Discussions Surveillance) analyse les images et discussions et insère les données utiles dans la Base. L'IDS soulèvent des alertes en cas d'anomalies, tricheries, dérives.

Un deuxième sous-groupe est formé de call-girls et call-boys appelés les Calls. Leur travail consiste à séduire les Gaffeuses et les Gaffeurs pour les inciter à revenir ou rester en France. Leurs promesses et les délais sont enregistrés et alimentent aussi la Base. Ce personnel est formé pendant 2 semaines par la docteure psychologue et l'expert fiscal. Il est aussi équipé d'Optique 2010.

Tout ceci  pourrait bien fonctionner s'il n'y avait pas de tricheurs, des personnes qui ne tiennent pas leurs promesses, des défections, des faiblesses. Pour toutes ces personnes, le Conseil a imaginé un système punitif très sévère. Aucun écart par rapport au règlement n'est toléré. La première fois les personnes fautives reçoivent la Punition et en cas de récidive ou faute très grave c'est le Châtiment.

Pour appliquer la Punition, un groupe de BAFfeuses entre en scène. Ce sont la plupart des Maîtresses ou des femmes qui fessent leur mari ou petit ami. Une formation de 5 jours (3 théoriques et 2 pratiques) est prévue chez la Princesse. Elles reçoivent ensuite une Valise, similaire à une grande malle de voyage. La Valise comporte un carcan pliable, une cagoule, un claquoir en caoutchouc de la forme et grandeur d'une main, une cravache à bout plat, un martinet de cuir à brins de section ronde et deux canes (JF et S) en delrin (très douloureuse). Une paire d'Optique 2010 et du matériel d'entretien complètent l'assortiment. Les BAFfeuses sont responsables de l'entretien de la Valise.

Les Valises sont fabriquées chez JBM & Fils (Jean-Bernard Martinet & Fils). C'est une maison centenaire qui avait débutée par la confection de fouets pour les colonies. Toute une génération se souvient certainement aussi de leurs terribles martinets de différentes couleurs en fonction de la sévérité. Maintenant, cette firme fournit des cravaches aux jockey et cavaliers. JBM & Fils savait s'adapter à la clientèle.

La Princesse y avait été attirée par des pantalons de cavalières faits sur mesure, qui épousent parfaitement les formes des Maîtresses. Elle avait aussi découvert leur excellent matériel de fouettage. C'est donc tout naturellement qu'elle pensa à eux pour la fabrication des Valises et de leur contenu. Les premiers essais de la Punition et les mises au point étaient effectués dans le salon de massage personnel de la Princesse.
Les deux canes avaient été minutieusement élaborées avec un delrin spécial pour fessée. Un échantillon représentatif  avait servi de cobayes. La cane S était en delrin léger pour ne pas abimer les fesses plus vieilles, plus ridées des séniors (hommes ou femmes). Le modèle JF était ce qui se faisait de mieux en termes de souplesse, flexibilité, sévérité. Elle était prévue pour fustiger de jeunes fesses depuis le cul nerveux de jeunes Gaffeuses jusqu'au derrière de jeunes retraités des affaires.


La Princesse, prénommée Christine, s'était fait plaisir en équipant son salon des derniers instruments et matériels de domination à la mode. Une pièce servait uniquement aux habits hyper sexy. Le cuir, le vinyle, le latex y tenaient une place de choix. Les visiteurs, habituellement des clients masos fortunés ou des collègues Maîtresses, étaient aussi impressionnés par la collection de chaussures, bottes, cuissardes à hauts talons.
Un petit musée complétait son donjon. On y trouvait des fouets, des cravaches, des verges qu'elle avait utilisés pour punir des gens célèbres. Une photo fessière dédicacée donnait un sens précis à ces moyens de correction.

Une ressemblance frappante avec la Princesse du Conseil

En plus de la mise au point des instruments, le salon de la Princesse sert aussi à la formation des futures Baffeuses ou à leur perfectionnement. La Maîtresse dispose d'une liste de volontaires qui viennent sur appel. Les femmes, souvent plus hésitantes à être fessées, sont rémunérées 1000 euros par jour.
Parfois la Princesse à besoin, pour mieux coller à la réalité, de personnes qui n'aiment pas la fessée. A ce moment elle met une annonce cherchant des comédiens amateurs pour 10'000 euros par jour. Pour le casting, elle les reçoit habillée en maîtresse avec une cane sur le bureau et des posters de scènes avec punitions. La psychologue assiste à l'entrevue et repère les personnes désirées. 1 fois sur 2 le montant important du cachet incite la ou le futur fessé à se mettre dans le carcan. Leur réaction pendant les fessées fait souvent peine à voir.


La prochaine fois je reparlerai de Ségo.
A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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