Mardi 14 novembre 2 14 /11 /Nov 06:19
Dimanche je me suis promené dans un endroit comportant beaucoup de noisetiers. Comme il n'y a presque plus de feuilles, les tiges étaient bien visibles. J'ai été attiré particulièrement par des tiges bien droites. Il y en avait de tous les calibres. En essayant une tige, elle se cassait facilement mais semblait quand même souple et flexible. Elle faisait un bruit caractéristique quand je fendais l'air.

C'était le même sifflement que l'on peut entendre lors d'une sévère fessée.
Comme j'aurais voulu pouvoir baisser mon pantalon et ma culotte et me mettre à plat ventre sur une pile d'oreillers pour bien présenter mes fesses. Avec une Maîtresse sexy, sévère, décidée, la punition promettait.
Ce sifflement me donnait aussi envie de fustiger un beau derrière féminin. Je n'ai encore jamais eu cette occasion mais ne désespère pas. Il exister des femmes aimant être corrigées à la baguette. Une idée?

Derrière ces doux chatons on devine de méchantes baguettes

Donc ma prochaine séance fessée sera avec du noisetier.
J'imagine cette correction au début du printemps en commençant avec une entrée d'orties fraîches.
Est-ce que quelqu'un connaitrait le moyen de les garder encore efficaces après quelques heures? Car tout le monde le sait, elles ne piquent presque plus après peu de temps.
Un sachet de ouate imbibée d'eau et de produit pour les fleurs coupées devrait peut-être faire l'affaire.
Je prendrai de belles et jeunes plantes d'ortie en gardant un peu de racines, puis envelopperai la base avec la ouate garantie fraîcheur.
Quel beau bouquet pour ma Maîtresse!  Elle ne devra, cependant, pas être maladroite et se piquer car les jeunes orties brûlent la peau au moindre contact. Avec moi ce sera juste le contraire. La Domina cherchera à m'en faire baver. Les endroits réceptifs ne manquent pas. Elle pourrait me fouetter ou frotter le sexe, les cuisses (devant et à l'arrière), l'entre-jambes, l'entrée de mon trou du cul, les fesses sans oublier les tétons.
Voilà pour la sensibilisation.

Le plat de résistance serait composé de baguettes de noisetier de différents calibres. Il faut en prévoir assez pour aussi confectionner une verge et encore avoir quelques tiges de réserve en cas d'usure trop rapide.

J'ai lu que le noisetier était un instrument de grande sévérité si utilisé correctement. C'est exactement ce qu'il me faudra.

Je vous tiendrai au courant en temps voulu.
Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 04:14
auparavant

C'était au printemps 1988. Une annonce dans une revue du style Minuit Plaisirs avait attiré mon attention. A la Roche-sur-Foron (en France voisine), une Maîtresse proposait 2 heures de domination pour un prix très raisonnable. Cette Domina portait aussi (sur la photo) des talons très hauts et semblait sévère. Cela se confirmera.


J'ai donc pris rendez-vous un samedi pour 15:00. Un peu avant le lieu du rendez-vous, je me suis arrêté près d'une forêt pour trouver les baguettes et verges nécessaires à une bonne séance fessée. Il y avait surtout du noisetier. Une baguette, une verge avec des brins allant de tous les cotés et une verge avec une demi-douzaine de tiges souples et flexibles vont faire l'affaire. Des instruments de rêve.
Si la Maîtresse connait bien son boulot ça va chauffer.
Après avoir enlevé les branchettes inutiles et les petits nœuds, j'ai attaché les tiges bien ensemble et ai mis ces belles verges dans un sac de voyage.
Il ne me restait plus qu'à aller à mon rendez-vous, donner ces beaux fouets à ma Maîtresse et me fier à son savoir faire.

C'était une villa un peu isolée avec un jardin et une barrière autour. Un chien était devant la maison. Il y avait une place de parc un peu plus loin.


Je commençais à avoir la trouille mais rassemblant mon courage, j'ai pris mon sac de voyage et me suis dirigé vers la maison.

La Maîtresse de maison, en peignoir, m'a gentiment accueilli, elle avait cependant un air sévère et montrait que c'était elle la patronne. Nous sommes montés à l'étage dans un salon. Elle m'a posé quelques questions sur mon phantasme, si j'étais bi ou hétéro. Puis m'a ordonné d'aller dans sa chambre de nuit et de faire le lit et passer l'aspirateur.
Je lui ai demandé de me montrer comment elle fessait fort. Elle m'a demandé de baisser mon pantalon et mon slip et de me mettre à quatre pattes en lui présentant mes fesses. Elle a pris la baguette de noisetier et m'a donné trois coups très sévères sur chaque fesse. Que c'était douloureux! Ma Maîtresse n'était pas une petite fesseuse de théâtre. Elle m'a alors ordonné de me déshabiller et ne garder qu'un slip.

Puis j'ai fait le ménage dans sa chambre. Il y avait des revues SM que j'étais en train de consulter quand elle est venue pour contrôler le travail. Ce n'était pas assez bien et elle m'a grondé. Durant mon travail, j'ai encore trouvé une de ses petites culottes que j'ai prise et planquée dans mon sac comme souvenir. Dans le couloir, j'ai aussi vu passer un homme esclave qui ne disait rien et semblait un légume. Je ne sais pas s'il y en avait plusieurs dans la maison.

Après une dernière inspection de mon travail, elle m'a amené dans la buanderie au rez. Le sac avec les verges était resté dans le couloir à l'étage.

Elle m'a ensuite demandé de lui lécher les chaussures. Puis voulait que je lui donne du plaisir en m'occupant de son sexe. Elle a écarté son peignoir et en m'empoignant par les cheveux m'a dirigé vers sa fente. J'ai commencé à tortiller ma langue. Elle m'a dit que je ne le faisais pas bien, que je devais m'appliquer, que je ne savais pas bien faire. Je me suis permis de lui tirer la langue. Elle a changé d'expression, son visage s'est durci, elle semblait très fâchée, m'a fortement giflé et m'a dit que je verrai comment elle traite ce genre d'impertinence. Puis elle est sortie en fermant la porte. A quoi devais-je m'attendre?

Assez vite elle est revenue avec la verge faite de tiges à multiples petits brins. Elle avait aussi une ficelle. J'ai du baisser mon slip et elle a attaché une extrémité de la ficelle à mon sexe et l'autre à un tuyau. Je n'avais pas beaucoup de possibilités de mouvement.

Rapidement elle a empoigné les verges et a commencé à fesser fortement. Je revois encore la verge flexible se courber quand elle l'appliquait rapidement sur mon derrière. L'instrument faisait aussi son bruit caractéristique. Mais le plus impressionnant était quand même la douleur provoquée par la vingtaine de coups appliqués rapidement et sans arrêt. C'était une quantité de petites piqures dues à la multitude de fines tiges qui s'abattaient sur les fesses nues. Cette sensation est spéciale à ce type de moyen de correction. La douleur n'est pas trop aigüe mais répartie sur une bonne partie des fesses à la fois. C'était moins sévère que les quelques coups de noisetier du début.

Une fois la fessée terminée, la Maîtresse est sortie et revenue avec l'homme "légume" pour lui montrer ce qui arrive en cas d'impertinence. J'ai dû me retourner et montrer mes fesses bien marquées. Le légume n'a rien dit et la Maîtresse l'a ramené à sa place. Puis elle est revenue et m'a dit d'attendre car elle avait prévu de me punir encore très sévèrement.
Je n'étais pas fier et trouvais que c'était une vraie Domina.

Après une heure d'attente toujours rien. J'avais de nouveau envie de sentir des baguettes fustiger mon derrière. Je suis sorti de la buanderie et, ayant entendu des voix vers l'entrée de la villa, j'ai été dans cette direction. C'était ma Maîtresse qui discutait avec une autre femme. Quand la Domina m'a vu elle m'a ordonné d'un ton sec de retourner tout de suite à la buanderie et de l'attendre. Je lui ai donc obéi mais trouvais toujours le temps long.

Quelques minutes plus tard, elle est venue me rejoindre en tenant à la main la verge avec les 6 baguettes souples et flexibles. Elle s'est approchée de moi et tout en me pinçant, tournant et tirant fortement vers le haut mes tétons (ce qu'elle faisait mal), elle m'a engueulé. Elle n'avait pas aimé que je vienne la déranger à l'entrée et elle devait de nouveau me punir.

J'ai dû lui présenter comme il faut mes fesses pour une nouvelle fouettée aux verges. Après 20 coups bien appliqués elle est ressortie. Je trouvais que cette fessée était moins douloureuse que l'autre. Peut-être que je commençais à m'habituer. Mais je trouvais le temps très long et avais vraiment peur de ce que cette Maîtresse me préparait encore.

Après une demi-heure, j'ai décidé de partir. J'avais repéré une porte donnant sur le jardin et au fond de celui-ci un petit portail. La première porte était verrouillée mais avec la clé à l'intérieur. Doucement j'ai été vers le premier étage et ai retrouvé mon sac avec mes habits à l'intérieur. L'esclave m'avait vu et je craignais qu'il n'avertisse sa Maîtresse. De retour à la buanderie je me suis habillé en vitesse et me suis enfui. Arrivé vers la voiture, j'ai encore vu le chien autour de la maison. Il était passé 19h.


C'était vraiment une histoire de fou! Je ne pensais pas vouloir à nouveau des séances fessées. Mais cette envie est tenace.
Bien que cette Maîtresse était une vraie, qu'elle fessait fort, j'avais de nouveau envie de la voir. Le lendemain, je lui ai téléphoné et demandé un nouveau rendez-vous car je devais être puni fortement à cause du vol de sa petite culotte. Elle m'a dit que voler était grave et qu'elle allait s'occuper fermement de moi.
Je ne me suis pas présenté au rendez-vous car je craignais qu'elle ne m'enferme comme il faut ou qu'elle ne me mette des menottes. J'avais vraiment peur de ça.

Les traces laissées sur mes fesses par cette sévère Maîtresse ont mis un bon mois pour disparaitre.

Quelques années plus tard, dans la presse, il y a eu un article sur la fermeture de cet établissement spécial. Il me semble même qu'il y avait eu arrestation.

Je l'avais échappé belle!
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Samedi 4 novembre 6 04 /11 /Nov 04:41
auparavant

Depuis la première expérience à Paris il y en a eu beaucoup d'autres.
Toujours avec de la fessée, parfois avec de la pénétration (normale ou avec god).
La pipe a aussi terminé quelques fois une séance de fesses rouges.

Cela se passait toujours chez une Maîtresse, une fois il y avait une deuxième qui a participé. Mais jamais je ne voulais d'hommes dans le coup.

Je trouvais ces Maîtresse dans les annonces de journaux ou revues et maintenant plutôt par Internet. Ce moyen permet aussi, parfois de correspondre par email.

Sur plusieurs dizaines de visites, la plupart ne me donnaient pas satisfaction. Certaines dominas étaient des fesseuses de théâtre, d'autres étaient très rapides. Une autre demandait un supplément pour baiser (ce qui ne m'intéresse pas souvent chez ces professionnelles). Beaucoup pensaient à encaisser, faire un semblant de punition et oust dehors, au suivant.

Même avec les plus sévères, je pensais souvent que j'aurais supporté une fouettée plus forte et plus longuement. Et surtout qu'elle me parle plus durement, fermement, d'une manière autoritaire.

J'ai eu des visites à Paris, Roche-sur-Forons, Lausanne, Genève, Bâle, Berne, vers Zürich, Aigle, Bex, Martigny, Montreux.
Chaque fois que c'était possible j'apportais des baguettes et verges, parfois même des orties dans mon slip.


Je vous fais partager quelques rencontres:

Une dois il y avait un autre homme dans une pièce à coté qui était venu pour de la domination soft. Une autre était surtout intéressée à me sodomiser avec un god ceinture. Chez une, il fallait parler pendant une demi-heure avant qu'elle m'ordonne de me déshabiller et de lui présenter mes fesses à sa cravache (la baguette à chevaux comme elle la nommait).  Une autre, qui ressemblait à Peggy la cochonne, voulait que je la prenne par derrière. Une femme n'aimait pas la violence et n'a pas osé utiliser la verge mais a fessé doucement avec une baguette jusque j'éjacule.

Elle était trop sexy

Une très belle domina était si sexy et excitante que je me suis lâché pendant qu'elle se préparait et je n'ai plus voulu de suite la fessée ce jour là. Une autre fois elle est arrivée à me punir pour de bon.

Une autre fois lors de la recherche du studio d'une professionnelle, j'étais déjà dans le quartier et ai aperçu une très belle femme sexy avec une mini-jupe à qui j'ai demandé mon chemin. J'avais sur le siège passager un sac plastique avec différentes verges et baguettes à l'intérieur, la fenêtre était ouverte. Elle m'a très gentiment et agréablement indiqué le bâtiment où devait m'attendre la Maîtresse tout en regardant aussi le drôle de sac. Dès qu'elle a continué le chemin, je me suis aperçu qu'une tige avait percé le plastique. En avait-elle deviné le contenu et savait-elle que j'allais être corrigé sévèrement?
En tout cas la Maîtresse m'avait bien fessé avec les baguettes apportées et aussi avec des câbles électriques bien flexibles et très douloureux.

J'avais vu dans une revue d'annonce une photo en couleur d'une belle Domina noire avec une croupe et des fesses rebondies du tonnerre. Sur la photo elle portait un pantalon simili cuir rouge qui lui modelait très bien son joli cul. Je n'ai pas résisté, ai pris rendez-vous et suis parti la trouver à Bâle. Elle était française.
Elle ne portait pas ses pantalons rouges mais son derrière était magnifique.
Tout de suite, elle m'a enfermé dans une cage en m'expliquant que ses ancêtres étaient des esclaves et qu'elle voulait un peu se venger. Elle me parlait comment les esclaves étaient fouettés et traités. Je commençais à avoir la trouille.
Après un moment elle m'a libéré et fessé gentiment, pas trop sévèrement, puis m'a dit que je l'excitais et que je pouvais la pénétrer. C'était très très agréable.

Un jour en sortant de mon travail, j'ai croisé une Maîtresse chez qui j'apportais de temps en temps des baguettes pour une fessée. Je ne sais pas si elle m'a vu, remarqué, mais ai appris par la suite que c'était la mère d'un de mes collègues.
Je n'ai plus été chez elle et ce collègue n'a pas changé son comportement avec moi.

Il y avait 2 ans que je n'avais plus ressenti la sensation de baguettes et verges sur mes fesses en manque. J'avais préparé de superbes baguettes et les ai apportées à une Maîtresse à Martigny (Suisse). Malheureusement elle n'était pas une véritable et préférait la douceur. Elle n'a pas utilisé la verge et uniquement un peu les baguettes car elle trouvait trop sévère de fesser comme il faut sur mes fesses. Ce qui m'en ai resté c'était quelques jours de mal au bout des doigts car elle trouvait marrant de me faire mettre les doigts en pointe et de les punir à la baguette. Comme j'avais certainement les ongles un peu trop longs pour ce jeu, cela faisait assez mal et n'était pas très excitant. A y repenser maintenant c'est une punition que je pourrais proposer lors d'une de mes prochaines visites à une sévère Maîtresse.

En me préparant pour visiter une autre Domina, j'avais installé entre mes fesses un bouchon (de bouteille de vin) retenant une laisse anale (ficelle terminée avec une boucle). La description plus complète se trouve dans l'article: Une fessée ça se prépare!
Chez la Maîtresse, j'avais proposé de cacher de sévères verges dans une autre pièce et de me les faire chercher les yeux bandés. J'étais nu à quatre pattes sans rien voir. La Domina me dirigeait avec la baguette à gauche, à droite et en avant et, pour me faire stopper, marchait sur la laisse anale. C'était très excitant. Malheureusement elle était bonne comme fesseuse de théâtre car pas du tout sévère et autoritaire.
 

Il y a encore eu d'autres expériences plus marquantes que je vous raconterai dans des articles séparés.

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mercredi 25 octobre 3 25 /10 /Oct 14:56
Ayant déjà alimenté un peu mon blog, je désire maintenant aussi avoir un module de liens.
J'y mettrai des adresses de blogs ou de sites qui m'inspirent, qui me donnent des idées, me provoquent des excitations, des envies.


Tout d'abord, il y a bien sûr "Fesse rouge". Un des premiers que je consulte régulièrement. Son titre est génialement trouvé. Son contenu comprend tout ce que l'on peut faire en impliquant des fesses d'adultes, en dehors bien sûr de la classique "position du missionnaire".

OWK me semble le sommet de ce qui peut se faire en domination de mâles. Un royaume dédié à la suprématie féminine avec des soumis fouettés, fustigés de manière réelle.
Certaines Maîtresses sublimes en cuir, latex, hauts talons, bottes, gants noirs et bien sûr, pour se faire respecter, une cane ou une cravache ou parfois même un fouet.
Il y a bien sûr des jeux que je n'aime pas: tortures moyenâgeuses, aiguilles, pipi – caca et d'autres "amusements" similaires.
Je m'imaginerai bien un jour dans ce royaume avec une Maîtresse m'apprenant le Tchèque avec une baguette souple et flexible ne laissant passer aucune faute.
On peut rêver!

Il y a aussi "Rue Bricabrac". Un blog très bien fait, attrayant, qui donne des envies.
Un vrai délice à chaque visite.

SMplayer est le blog d'un gars soumis, avec de belles photos. Il y a vraiment des situations à essayer. Même quelques liens sympas ;-)


Cette (encore petite) partie liens est appelée à se développer. Je pense y mettre peu à peu des blogs de visiteurs, des coups de cœur. J'essayerai aussi de la maintenir en supprimant des liens perdus ou dont le site n'a plus aucune activité depuis de longs mois.
Par JeanBer - Publié dans : Soucis et joies de blogger
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Mardi 24 octobre 2 24 /10 /Oct 05:38
auparavant

Je reprends ici le récit quand la Domina revient vers moi, avec une baguette, dans la chambre où elle m'avait laissé pendant qu'elle lisait ma lettre. Elle me regardait d'un air très sévère et m'a ordonné de me déshabiller complètement. Je commençais à avoir un peu peur. Dans moins d'une minute le premier coup de baguette sur mon derrière dénudé pouvait me surprendre. La Maîtresse s'est assise sur la chaise et me regardait, la baguette à la main.
Dès que mon pantalon et mon slip étaient baissés, je lui ai confié les 2 laisses. Elle a tout de suite trouvé cet ensemble intéressant. Puis nu comme un ver, avec une forte appréhension, j'ai obéi à son ordre de me mettre à quatre pattes devant elle, mon derrière sans défense à sa disposition.


Je n'avais qu'à me laisser guider. Elle m'a interrogé sur ce que je regardais sur Internet comme sites tout en me fessant encore gentiment. Je lui disais ce que je voyais: des images de fessées, avec des personnes qui recevaient la cane anglaise. Je lui ai aussi dit que parfois des femmes pleuraient car corrigées avec des baguettes. La Maîtresse m'a répondu qu'elles ne devaient pas avoir été sages et qu'alors c'est normal.
Elle continuait à m'interroger sur mon comportement à l'école (je m'étais présenté à elle comme un élève difficile). La baguette continuait à me taper. Puis elle s'est levée et m'a dirigé avec les laisses dans une autre pièce.

Cette salle devait servir à de sévères punitions. Elle comportait un support en T avec des possibilités d'attacher un soumis (ou une soumise?), différents instruments de correction dont une cane anglaise, des cravaches. Dans la salle, il y avait parterre les verges et baguettes apportées. J'ai du me mettre à quatre pattes devant ces instruments et bien les regarder. Elle m'a laissé un moment dans cette position.


Combien de soumis pour de sévères corrections ont été amenés dans cet endroit de supplice? Quels seraient mes tourments? Dans quel état mes fesses vont repartir de ce lieu?
Mais plus le temps de me poser des questions car j'entends à nouveau la Maîtresse qui revient.

A son retour elle m'ordonne de me mettre debout contre le support en T. Elle me gifle. Cela sonne un peu.
Puis elle me fixe des menottes en cuir aux poignets et les attache à des anneaux aux extrémités des deux branches du support. Elle essaye un peu de tous les instruments apportés ainsi qu'une cane anglaise pas trop épaisse. Certains étaient plus sévères que d'autres. En particulier 2 baguettes longues et bien souples. Elle me présentait les baguettes et verges comme associées à une matière scolaire. Celle-là pour la géographie, celle-là pour l'histoire etc… Avec cette méthode, j'aurais peut-être appris plus facilement l'histoire.

Les fessées n'étaient pas trop douloureuses et je me risque à lui tirer la langue. C'était ce qu'il ne fallait pas faire (ou faire?). Empoignant mes deux tétons, elle les sert avec ses doigts pour provoquer une douleur aigue.
Comme j'avais osé être impoli, elle en profite pour fouetter plus fort et me demande si je sors encore la langue. La sévérité étant encore supportable, je me montre à nouveau impertinent. Ouh! Les coups commençaient à faire mal. J'ose encore une fois lui montrer ma langue. Cette fois le terme de sévère correction est approprié. Mes fesses ne peuvent s'empêcher de se tortiller, ce qui dérange la Dominatrice.

Elle arrête de fustiger et m'explique qu'elle ne peut pas bien fouetter quand mon derrière bouge trop. Elle s'approche de moi, tend la laisse fixée au sexe et la fixe à un anneau du support de torture. Mes fesses sont immobilisées. La Maîtresse me demande plusieurs fois en fessant vraiment fort si je dois encore sortir la langue. A chaque fois je lui dis que non. Mon derrière devait déjà être bien marqué car il chauffait et était douloureux.


Après un moment de cette punition, elle me détache du support et me commande de me mettre à plat ventre, la tête tournée vers la base du support. La Maîtresse me fixe les poignets à des anneaux et je sens qu'elle m'emprisonne une cheville en utilisant sa botte à haut talon comme une bride. Je n'ai pas compris tout de suite que c'était pour s'occuper de la plante des pieds. Cette partie n'a pas tardé à déguster aussi les solides coups de baguettes de ma sévère Maîtresse.
Ces coups font vraiment mal et ne sont pas très excitants. C'est une réelle punition. J'ai hâte que cela cesse. Après 30 à 40 coups qui me semblaient interminables, elle libère mon pied pour aussitôt s'occuper de l'autre. Il n'y a donc pas eu de jaloux. Ce traitement est vraiment douloureux mais efficace pour mater les élèves difficiles.


Voilà, la correction devrait arriver au bout. Les fesses ont bien dégusté, elle sont bien striées et rougies. Avec les baguettes, la Maîtresse a visé sur la partie inférieure des fesses jusqu'au tiers supérieur de mes cuisses.
Mais elle me fait encore mettre les mains sur la tête et, je ne m'y attendais pas, me promet encore 100 coups à recevoir avec la plus sévère des baguettes. Je devrai compter tous les coups. Pourvu que ce ne soit pas sous mes pieds. Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui va arriver qu'elle commence tout de suite à fesser vraiment fort. C'est après mes fesses qu'elle en a. Un, deux, trois,….
Vers 50 j'en ai vraiment mare mais continue à compter car elle ne s'interrompt pas. Elle vise maintenant plus à la jonction entre les cuisses et les fesses. Et applique la baguette plusieurs fois au même endroit. Ce que ça fait mal! 70, 71, encore une trentaine de prévus.
J'ai hâte d'arriver à 100. 99, cent. Ouf! Quelle volée de bois vert. Ca c'est de la fessée!
Jamais je n'avais été corrigé de la sorte. Mon arrière train est chaud et de très nombreuses lignes lui donnent du relief.


Elle m'ordonne de me rhabiller, je ne vais pas lui désobéir. Je lui demande la permission d'enlever le bouchon anal, ce qu'elle permet. En regardant les marques rouges, même rouges foncé, je constate qu'elles ne sont pas trop apparentes sur les cotés des cuisses. La Domina avait vraiment très bien visé car elle a l'expérience. Il ne me reste plus qu'à m'habiller.
Pendant ce temps elle a tout rangé, et enlevé les petites brindilles cassées de la verge de bouleau.

C'est après la tempête. Elle me propose un rafraichissement, deviens très sympa, agréable. Nous parlons un moment du plaisir de recevoir une solide fessée. La Maîtresse le comprend car elle a aussi d'autres amateurs de méthode anglaise. Elle y prend aussi du plaisir à éduquer ainsi.
Je lui dis être content qu'elle n'ait pas utilisé trop fort la verge de boulot car celle-ci, malgré sa sensation très stimulante, blesse trop vite les fesses. Je pensais aussi qu'elle pouvait frapper encore plus fort avec les autres baguettes mais qu'elle ne pouvait pas me blesser. Les marques doivent disparaître après quelques semaines.
Elle trouvait que j'avais subi une éducation anglaise déjà hard. J'ai eu plaisir du compliment.


Voilà, je prends mon sac et quitte cette magnifique Maîtresse, les fesses douloureuses avec une bonne sensation de chaud. Je me promets et ai déjà envie de revenir.
Ce qu'elle écrit sur son site web est vraiment juste.
Elle respecte le soumis, ne bâcle pas le travail, prend le temps nécessaire pour corriger consciencieusement un garçon difficile. Cela n'est pas le plus courant. Chapeau!

Une sévère fessée ce n'est pas insurmontable, c'est possible!
Et avec Maîtresse Aida on peut y aller les yeux fermés.


La prochaine fois je reprendrai des récits d'autres séances qui ont marquées mes fesses avec d'autres moments croustillants.
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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