Samedi 21 octobre 6 21 /10 /Oct 05:44
auparavant

Le matin du vendredi 13 octobre, j'étais assez excité. Car dans quelques heures j'allais à nouveau connaître la sensation de sévères baguettes sur mes fesses. Mais aussi à cause de la préparation pratique de la séance. Ne rien oublier, selon le timing assez serré où j'allais insérer la partie de volées de bois vert.

Avant de partir j'ai pris un élastique de fixation de baguages pour voiture avec 1 crochet aux extrémités. Cette attache me servira comme ceinture un peu spéciale pendant ma correction. Il ne fallait pas non plus oublier la lettre de propositions et limites pour ma Maîtresse.

J'ai aussi préparé de la ficelle pour une laisse qui sera attachée au sexe. Cette laisse sera fixée à la base d'un anneau en caoutchouc d'environ 8 cm de diamètre qui va entourer mes boules. La ficelle passera ensuite entre les deux bijoux et sous le sommet de l'anneau puis après un bon mètre se terminera par une boucle que je confierai à la Domina. Un autre anneau identique sera placé à la base du sexe.

Encore un petit accessoire qui va aussi apporter de bonnes sensations. Il s'agit d'un bouchon auquel est fixé, à mi-distance de ses extrémités et sur son diamètre, une longue ficelle avec une boucle à son autre extrémité. Le moment venu le bouchon sera inséré bien profondément entre mes fesses. Le bouchon perpendiculaire à la ficelle restera alors bien calé dans mon trou du cul et retiendra solidement cette laisse anale.
Pour que je puisse quand même facilement retirer le bouchon après la correction, je l'ai percé de part en part sur son axe pour y fixer une petite ficelle avec une boucle qui dépassera juste de mon orifice arrière. Après les réjouissances, il suffira de tirer sur cette petite ficelle et le bouchon retrouvera l'air libre.

Si je disposais d'un appareil photo numérique, j'aurais pu un mieux expliquer cet assemblage ainsi que documenter d'une manière plus réaliste la préparation et bien sûr la terrible punition à venir. Probablement une prochaine fois.

J'avais maintenant tout en ordre pour aller récupérer les instruments de fouettage.
Ayant bien repéré les baguettes, j'ai assez vite pu préparer et construire les instruments pour me punir. A part la verge de bouleau blanc, la partie plus fine de toutes les autres baguettes, celle qui doit arriver sur mon postérieur, a été passée au papier de verre pour la rendre un peu plus lisse et éviter que des irrégularités pointues ne blessent la peau des fesses.
Tous ces instruments ont été testés sur mon derrière dénudé. La verge de bouleau en broussaille m'a fait une très bonne sensation d'échauffement et de fourmillement. Parmi les baguettes il y avait 2 qui fouettaient vraiment bien. Elles étaient toutes les deux souples, flexibles, assez longues (un bon mètre).

Transporter tout ce matériel vers la voiture, stationnée au bord d'une route à grande circulation, était un peu délicat. J'ai planqué les baguettes fraiches dans mon pantalon et ai recouvert ce qui dépassait vers le haut par une veste assez longue. Les tiges dans mon pantalon me faisaient un peu boiter.
Depuis le siège arrière, je les ai mises dans le coffre. Et depuis le coffre, toutes ces belles baguettes ont été placées dans un grand sac poubelle et bien tenu par des élastiques. Le matériel était prêt et pourra être transporté dans les rue de Genève sans difficulté.

Pas facile d'apporter les verges à ma Maîtresse ;-)

Arrivé à Genève, j'ai été repérer l'endroit précis de ma future correction. La rue a été facile à trouver mais pour parquer ce n'était pas évident. Dans le bâtiment où travaille la Maîtresse, j'ai facilement trouvé la porte d'entrée menant aux endroits de supplices. A côté de la porte il y avait un interphone caméra, très pratique pour recevoir les bonnes personnes et repartir sans croiser directement quelqu'un.


Dans l'après-midi, j'ai été aux WC d'un resto pour y installer les deux laisses. Une fixée à mon sexe et l'autre dans mon trou du cul et tenue par le bouchon. J'ai ensuite fixé la ceinture élastique avec un crochet accroché au sommet de l'anneau entourant la base de mon sexe, l'autre crochet refermait la ceinture. La ficelle bloquée par le bouchon a été passée sous la ceinture élastique où je l'ai attachée ainsi elle ne gênera pas l'accès des baguettes à mes fesses. Le bout de la laisse avait une boucle que ma Maîtresse pourra bien prendre en main.
En tirant sur ces laisses, cela faisait une traction souple, élastique. La sensation était très excitante, pas du tout désagréable. J'espérais que la Maîtresse appréciera et fera, de ces deux poignées, un bon usage.

Il ne me restait plus qu'à gamberger jusqu'au moment de ma punition. Vers 15:30 je me suis dirigé vers le quartier de ma correction et ai enfin rencontré ma Maîtresse. (voir le récit en "Une très bonne Maîtresse")

Dans le prochain article je parlerai du moment où la Maîtresse, après avoir lu ma lettre est revenue vers moi, menaçante, avec une longue baguette.

Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Dimanche 15 octobre 7 15 /10 /Oct 07:39
auparavant

Voilà, le vendredi 13 (c'était un hasard) un peu après 16 heures je me suis dirigé vers le bâtiment de la Maîtresse avec un paquet allongé comportant différentes verges et baguettes, les plus longues faisant bien 1 mètre. C'est un peu hors du réel de marcher dans la rue avec des verges uniquement protégées des regards par une fine couche de plastique noir. Les gens que je croisais ne semblaient pas se douter du contenu de ce bizarre sac de voyage.


Quartier où je serai sérieusement corrigé

Comme j'avais eu un peu de peine à trouver la rue et à garer la voiture, j'avais un peu de retard. Je n'avais pas trop d'appréhension qu'elle me fouette trop fort et était vraiment content de retrouver la sensation de baguettes appliquées comme il faut sur mes fesses nues. Mon petit souci était de ne pas faire trop attendre la Maîtresse.

Arrivé un peu essoufflé, j'ai poussé la porte d'entrée du bâtiment puis toujours au rez-de-chaussée, passé une deuxième et enfin à gauche celle menant à l'endroit où m'attendait la Maîtresse. Il y avait un interphone avec caméra. Je n'ai que peu hésité et ai appuyé sur le bouton. Si je ne courrais pas au loin à toute vitesse, dans quelques secondes le point de non retour serait dépassé. A ce moment j'avais un peu d'appréhension et de peur. Les instruments apportés permettaient de me faire passer un très mauvais moment.
Mais le plaisir d'être enfin de nouveau fessé comme je le mérite à vite repris le dessus.

J'ai entendu des pas derrière la porte (les chaussures à talons font un bruit très agréable et caractéristique). C'était enfin mon tour!

La porte s'est ouverte et j'ai vu ma Maîtresse, celle qui allait me fustiger, me gifler, me fesser, me faire revenir dans le droit chemin. Elle était belle, sexy, avec des bottes en cuir noir, bouts pointus et hauts talons. Elle me regardait d'un air sévère. Un vrai délice!

Je l'ai salué et me suis présenté. Elle m'a fait entrer et a refermé la porte derrière moi. Avec la lettre de recommandation de sévérité et les solides verges et baguettes apportées je ne pouvais échapper à une très sévère correction. D'autant plus que dans la lettre j'avais écrit de ne pas diminuer la sévérité même si je le lui demandais sur place, même si je disais avoir trop mal. J'étais pris au piège et n'avais qu'à obéir strictement à la Maîtresse.

Je me suis excusé pour le retard (quand même 10 minutes) en expliquant que j'avais eu de la peine à trouver une place où garer ma voiture. Elle ma promis une punition supplémentaire pour cela et m'a dit qu'en plus de mes fautes comme élève, je venais en retard. J'allais être bien corrigé. Elle m'a ordonné de déballer les instruments, ce que j'ai fait.

Ces baguettes étaient impressionnantes et je commençais à avoir un peu peur. Associées avec la Maîtresse elles semblaient pouvoir me fustiger d'une manière affreuse, sans pitié. Et dans un instant je me retrouverai avec les fesses nues et sans défenses.
La Maîtresse m'a dit que c'était de belles verges et baguettes. J'étais fier qu'elle les apprécie. Je lui ai aussi donné l'enveloppe avec la lettre et le "petit cadeau".

Elle m'a emmené dans une pièce comportant un grand lit et une chaise et m'a ordonné de l'attendre là.
Pendant qu'elle lisait mon texte, c'était calme à part un léger bruit de fond de la ville. Quel contraste avec le bruit des voitures, de la ville. Cela ne pouvait durer. La Maîtresse allait me donner des ordres, les baguettes allaient siffler, moi-même allais certainement montrer que cela faisait trop mal, me plaindre.
Je me demandais ce que j'allais endurer (la suite me montra que je ne serai pas déçu). Après un moment qui m'a parut assez long, j'ai entendu des pas (ce magnifique bruit de hauts talons). La Maîtresse revenait vers moi. Avec les baguettes soigneusement choisies et ce qu'elle avait lu, elle n'avait alors aucune raison de me ménager. Mes fesses allaient vraiment chauffer! Elle tenait une baguette dans la main, avait vraiment un air sévère et …


Une prochaine fois je vous raconterai la préparation des verges, combien elles peuvent être efficaces associées à une Maîtresse décidée et compétente, le déroulement d'une fessée punitive en situation réaliste.


En attendant, encore un grand merci à Maîtresse Aida pour ce magnifique moment!

Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Vendredi 13 octobre 5 13 /10 /Oct 03:23
auparavant

Effectivement j'ai téléphoné à ma Maîtresse pour confirmer que j'arriverai le jour et à l'heure prévue avec des verges et baguettes.
Elle est vraiment arrangeante. Je viendrai chez elle comme un élève difficile qui doit se présenter à une Maîtresse spécialisée dans les sévères corrections avec verges et baguettes.
Elle me traitera durement directement à mon arrivée en m'accueillant avec des gifles. Normalement elle ne le fait pas sauf demande express du soumis. Elle travaille avec une fille à qui cela ne dérange pas qu'elle me brusque directement à mon arrivée.
Je lui ai aussi dit que je lui apporterai une lettre pour les limites. Elle m'a dit de laisser alors directement le "petit cadeau" dans l'enveloppe avec la lettre et pourra alors me recevoir comme je lui ai demandé.


En écrivant cet article, je sens l'appréhension et la crainte d'avoir trop mal augmenter progressivement. Le maximum sera atteint chez la Maîtresse jusqu'au soulagement final, quand je serai assuré qu'elle ne va plus utiliser de baguettes sur moi.

Dans moins de 48 heures je connaitrai à nouveau le fameux point de non retour où je dirai "Bonjour Maîtresse, je suis Jean-Bernard pour la fessée avec les verges".


Quelques extraits de la lettre à ma sévère Maîtresse:

Vous lisez ce message et moi j'ai peur que vous allez me faire trop mal, que vous soyez trop sévère. Je ne fais pas le malin à attendre. Et pourtant je suis venu chez vous avec de méchantes baguettes.

J'aimerais donc subir quelque chose de cinglant, autoritaire, intransigeant.
La fessée punitive est excitante avant et après mais ne doit pas l'être pendant!
Donc je préfère que vous soyez trop sévère que pas assez.

J'imagine des fessées rapides, sévères, sans pause, dans une série interminable. Ou bien compter des coups prévus, espacés, douloureux avec recommencement et engueulade si erreur.
Essayez de commencer tout de suite durement, je m'attends à ce que chaque coup fasse vraiment mal. Ce qui me semble normal quand une Maîtresse doit corriger de manière réaliste un élève ayant dépassé les limites. Vous ne serez donc pas sympa ni compréhensive. Je devrai vous craindre.

… j'aimerais que vous me poussiez à bout, m'aidiez à aller au-delà de mes limites dans la pratique de mon fantasme: LA FESSEE punitive et réaliste.



Vous le voyez, je cherche à me faire peur mais avec des éléments qui vont certainement arriver. Je vais à nouveau réconcilier mon fantasme, l'imagination et la pratique en situation réaliste.
Une bonne volée de bois vert est bon pour le stress. Et après, quel soulagement, quel paix!

Les amateurs de ce genre d'amusement me comprendront.

Mais avant cet apaisement, je dois, mais surtout mes fesses, passer une épreuve des plus désagréable, pénible, douloureuse, parfois insupportable.

A y réfléchir c'est facile.
Je me présente chez la Maîtresse, lui donne une lettre de recommandations et les verges puis je baisse ma culotte et mets mes fesses à sa disposition. Avec peu d'efforts physiques mais avec sa pratique et son savoir-faire, la fesseuse appliquera les baguettes sur mon postérieur. C'est simple. L'efficacité de sa main est fortement multipliée. En plus elle ne sent rien, n'a pas mal et ne doit donc pas se retenir. Ce n'est pas compliqué.

Du mon côté, pas besoin de savoir-faire ni beaucoup réfléchir. Je me laisse guider tout au long de la séance et dois juste lui obéir à la baguette et à l'œil car elle réprime immédiatement et sévèrement tout écart. Mon rôle est très passif sans possibilité de changer quelque chose. Mon avis, ce que je ressens ne comptent pas.

La mission de la Maîtresse est d'utiliser les verges à disposition pour une punition exemplaire. Le but est l'amélioration rapide de mes mauvais comportements. La Maîtresse aime fustiger. Voir les fesses qui se tortillent, cherchent à éviter les coups lui fait plaisir et l'incite à continuer de cette manière. C'est un signe que la correction est efficace.
Mon derrière, qui n'a d'ailleurs rien demandé, se retrouve rougi, strié, chauffé, terriblement douloureux. Bref, c'est comme ça une fessée punitive et réaliste!


Voilà, je me concentre maintenant sur le point de non-retour, le moment où je vais appuyer sur la sonnette, le moment entre liberté de mouvement, de décision (même pour tout abandonner et renoncer à la correction) et résignation, acceptation sans autres choix. Le moment où je vais être grondé, giflé, fessé au delà du supportable, humilié.

Le défi est maintenant d'appuyer sur ce tout petit bouton pour signaler à ma Maîtresse que je suis arrivé et suis prêt à être puni comme je le mérite.

Merci pour vos observations, encouragements, soutien pour affronter ce moment difficile ;-)
La prochaine fois que j'écrirai un article, avec peut-être un peu de peine à m'asseoir, ce sera pour vous raconter cette expérience.


Sur cette illustration, l'accueil prévu par ma Maîtresse. C'est un peu de douceur avant le plat de résistance ;-)

A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Samedi 7 octobre 6 07 /10 /Oct 07:17
auparavant

Dans une dizaine de jours, sauf imprévu, je vais à nouveau pouvoir satisfaire pratiquement mon fantasme. Je viens d'obtenir un rendez-vous chez une Maîtresse, qui, d'après un forum, doit être au top.

Effectivement, hier je l'ai rappelé pour lui proposer une date et une heure de RV. Cela lui convenait aussi et m'a donc inscrit dans son carnet de rendez-vous. A ma question si je pouvais lui apporter des verges et baguettes, elle m'a répondu: bien volontiers. Il ne faudra pas que je la déçoive dans la qualité de ces douloureux instruments.
Elle m'a redonné le lieu et précisé l'étage. Je dois juste la rappeler pour confirmer la sévère séance avec verges. Je m'en réjouis et en même temps j'ai déjà un peu peur qu'elle me fasse trop mal.

L'excitation dans la préparation augmente. Il y a plusieurs choses à mettre en place:
  • prendre congé pour la visite à un ami me permet de quitter mon domicile sans questions et y intégrer en fin de journée une sévère séance fessée.
  • les baguettes et verges. Ce devrait être une verge spray en boulot blanc, une autre faite de 6 baguettes fines, flexibles, qui ne se cassent pas facilement et quelques autres baguettes un peu plus épaisses pour s'utiliser un peu comme une cane ou une cravache à bout fin. Leur choix, le matin de ma correction, sera fait comme pour les utiliser sur les fesses d'un autre garçon qui a dépassé les bornes. La sévère Maîtresse aura donc des instruments de première fraicheur.
  • un moyen de transporter les instruments, sac de voyage et des sacs poubelles, pour oser déplacer sans problème les fameuses verges depuis ma voiture, dans la rue, jusqu'à l'endroit de ma correction.
  • quelques accessoires comme sécateur, un peu de papier de verre pour lisser un peu les baguettes et les tiges pour la verge à 6 baguettes, de la ficelle et des élastiques pour bien construire les fouets, une lettre pour ma Maîtresse pour lui expliquer les limites et la sévérité possible (car sur place j'aurai une petite voix), le plan du quartier par Swissgeo.
  • il faut aussi de la méthode, pas d'imprévus et du courage pour mettre tout cela en place, malgré ma trouille car cela va faire très mal.

Je m'imagine déjà le fameux matin. Ne rien oublier, faire les choses dans l'ordre. Attention à ne pas laisser de traces. Chercher et préparer les baguettes et verges. Faire environ 200 km. Repérer l'endroit précis où aura lieu ma punition. Déjeuner avec mon ami. Me diriger à nouveau vers l'endroit où me fustigera la Maîtresse. Garer la voiture. Me rendre avec le sac des terribles instruments, au bon moment et avec un pas mal assuré, la gorge sèche, vers le donjon de la Domina. Arriver devant la porte et hésiter un peu avant de sonner. Appuyer sur la sonnette. Entendre des pas et voir la porte s'ouvrir. Et enfin, avec une voix mal assurée dire "Bonjour Maîtresse, je suis Jean-Bernard et viens pour la fessée avec les verges".
Ensuite...


Hier j'ai aussi, après le boulot, repéré les baguettes précises que je veux couper pour préparer et confectionner les instruments pour fesser.

Il y a des tiges assez droites, qui ne se cassent pas facilement. Elles semblent très méchantes sous forme de verges. Les feuilles sont très douces sur le dessus, agréables au toucher. Mais je devrai les enlever car la douceur n'a rien à voir dans l'utilisation que je prévois pour ces baguettes. Ce devrait être une verge impossible à supporter.

Il y a aussi des bouleaux blancs pas trop jeunes dont je compte utiliser les branchettes avec les fines tiges des extrémités. Bien attachées ensemble cela devrait faire une très belle et véritable verge spray. Il va terriblement piquer cet instrument de châtiment.

Il y a encore de fines tiges un peu rouges de la famille des saules. Une verge de ces baguettes devrait rapidement chauffer et sensibiliser mes fesses pour d'autres réjouissances.

Sans oublier plusieurs baguettes uniques, un peu plus épaisses mais pas trop, certaine plus souples et flexibles que d'autres. J'en ai essayé une en l'air, elle fait un de ces sifflements caractéristiques, juste avant de fustiger sévèrement des fesses nues. Une baguette bien préparée ne doit pas offrir trop de résistance à l'air et ainsi arriver à grande vitesse sur le postérieur d'un garçon difficile. Ce magnifique bruit est caractéristique d'une fessée sévère, très pénible. Un vrai plaisir à entendre. J'en profite car en main de la Maîtresse, d'autres effets m'occuperont l'esprit.

Voilà beaucoup de choses se mettent en place. L'excitation monte pour la prochaine étape.
Il ne me reste qu'à confirmer le rendez-vous.



Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Mardi 3 octobre 2 03 /10 /Oct 04:39
auparavant

Vers l'âge de 25 ans, j'ai commencé à aller régulièrement à Paris. Je me promenais rue Saint-Denis et en d'autres endroits similaires. Certaines Demoiselles et Maîtresses étaient très excitantes. J'en avais repérées plusieurs avec un martinet ou autre moyen de correction. Je commençais à demander des renseignements (éducation anglaise, prix, sévérité).

Il y avait aussi des sex shops avec beaucoup d'accessoires et des vidéos. Assez vite, j'ai ramené une vidéo de fessées. C'était anglais avec de jeunes femmes qui recevaient le tawse (claquoir en cuir à plusieurs branches), la verge en rotin ou la cane en bambou ou en rotin.
Que c'était excitant!
Pourquoi pas moi?


J'étais prêt à tenter l'expérience. La prochaine virée à Paris serait la bonne.
C'était une Maîtresse pas très grande mais mince, habillée sexy (hauts talons, bas foncés, jupe de cuir). Elle avait aussi un beau visage et semblait sévère.
Après discussions, elle m'a dit de la suivre et nous sommes montés plusieurs étages par un escalier en colimaçon.
J'avais vraiment la trouille et lui ai expliqué que c'était la première fois et qu'elle ne devait pas me massacrer. Ce que j'avais vu dans les vidéos me semblait très sévère. Elle m'a un peu rassuré.
Arrivé devant un petit studio, elle m'a fait rentrer et m'a tout de suite ordonné de me déshabiller et de mettre un préservatif.
Je me suis dévêtu, étais tremblant, elle m'a engueulé car je n'arrivais pas à mettre assez vite la capote. J'avais peur d'avoir mal. Ca commençait bien!

Elle m'a ensuite parlé sèchement, fessé gentiment avec une baguette sèche en me faisant marcher à quatre pattes comme un chien. Je devais aussi me prosterner à ses pieds, lui lécher ses chaussures. Que c'était bon et excitant!


Elle portait des gants en cuir noir comme j'aime, des chaussures à talon, donnait des ordres sévèrement. Par contre la fessée était très légère.
Vers la fin elle m'a ordonné d'éjaculer.
Je me suis rhabillé et en partant elle m'a encore dit que je pouvais revenir pour un peu plus de douceur, qu'elle le faisait aussi.

Cette première expérience fessée était excitante, tant avant que pendant. Mais au niveau punition sévère ce n'était pas ça.






D'autres expériences m'ont apporté plus de satisfaction dans mon envie d'être puni sévèrement avec des baguettes et verges.

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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