Vendredi 31 août 5 31 /08 /Août 09:44
Pour une réelle séance fessée on ne peut pas uniquement imaginer, il faut aussi la préparer même si elle est ordonnée par une Maîtresse virtuelle.

Suite à son exigence et aux réflexions que je me suis faites dans son imagination (que je partagerai dans un prochain article), j’ai utilisé Internet (un de mes défauts ;-) et en consultant un forum, j’ai trouvé une Maîtresse Xyxz qualifiée de sévère et équipée pour de la véritable et sérieuse éducation anglaise avec la cane.

Dans le but de me rendre chez elle, j’ai donc noté différents points à m’intéresser (possibilité de lui rendre une visite « châtiment », dates et heures possibles, où laisser la voiture, etc..).

J'ai déjà commencé à écrire une lettre de présentation pour expliquer mes limites, le comportement à corriger sévèrement, mes expériences fessières.

Après ces quelques points éclaircis, il ne me restait plus qu’à la contacter. Ce que j’ai fait hier jeudi 30 août vers 16 heures.

Au téléphone Maîtresse Xyxz m'a paru ferme, stricte, une personne qui sait ce qu'elle veut. Elle m'a laissé expliquer ce que je voulais et m'a semblé vraiment clean.
C'est vraiment la Domina que je veux rencontrer pour une sévère éducation anglaise à la cane.
Je lui téléphonerai quelques jours avant pour fixer le rendez-vous et elle me donnera l'adresse précise située dans une rue d'une ville Romande.

Evidemment vous en serez les premiers informés.


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 31 août 5 31 /08 /Août 04:08
A la fin de l’interview fiction, j’avais promis à cette Maîtresse de tenter d’améliorer sa connexion Internet. J’ai donc fait un long week-end à Drague qui, comme tout le monde le sait est la capitale de la Verginie, et maintenant le débit est passé du goute à goutte du modem téléphonique à des valeurs que nos amis français peuvent apprécier et que nous en Suisse ne pouvons encore qu’en rêver. Je pensais à tort que la Verginie vivait comme au Moyen Age.

Il y a aussi d’autres bonnes choses dans cette petite république. Par exemple son climat se prête très bien pour faire pousser d’excellentes baguettes à verges. Ce bois à fessées, qui commence à être connu dans les milieux spécialisés, est caractérisé par des tiges bien droites et très flexibles.
Dans ce magnifique pays il y aussi des écoles de Dominas de haute qualité et bien sûr les Maîtresses diplômées savent exactement comment faire mal sans blesser, comment fouetter très sévèrement tout en garantissant que les marques disparaîtront complètement après quelques semaines. Curieusement il n’y a pas d’entreprises qui fabriquent des verges. C’est dans les écoles de Dominas que les futures fouetteuses apprennent à les confectionner. Chaque maîtresse se fait ensuite sa propre clientèle et expédie des baguettes ou verges dans le monde entier.
Parmi les entreprises utiles, il y a DSK bien connu et de nombreux salons de massages (comme ils les appellent là-bas). Ce sont bien sûr des endroits à forniquer, souvent pourvus de donjons pour utiliser les fameuses baguettes vergères.
Oh j’allais oublier, les Vergères sont super belles (par exemple Jana) et s’habillent souvent de manière très provocante et sexy. Un vrai régal pour les yeux.

Mais pendant ce week-end je n’ai pas fait que me rincer l’œil, j’ai aussi accompagné Maîtresse Christine dans sa forêt privée où elle a une plantation de baguettes à fessées. Elle m’a montré la fabrication d’une verge vergère toute fraiche. Puis elle m’a mis des menottes en cuir, enlevé mon short, mon slip et les a enfilé sur ma tête. Ensuite avec l’aide d’une longue baguette souple et flexible elle m’a dirigé vers une cabane en bois située quelques 100 mètres plus loin.
Comme il n’y avait pas de chemin, nous avons passés entre des arbustes, à côté de ronces, de mûriers. Nous avons longé un étang où des moustiques se sont donné le mot pour m’attaquer les cuisses et les fesses et pour terminer, nous avons traversé sa plantation personnelle d’orties. Impossible d’éviter ces tiges urticantes.
La Princesse Christine avait prémédité cette promenade car elle portait des bottes campagnardes et de solides pantalons en cuir. Tandis que moi avec le short sur la tête et pieds nus dans mes sandales….

Sa  petite cabane personnelle est très bien équipée pour les châtiments corporels. Il y a un plancher en bois, plusieurs supports de punition pour pouvoir fesser avec différentes positions, et à chaque place un écran relié à des webcams de très bonne qualité permettant de voir l’arrière des supports. Il y a aussi une grande armoire à habits qui ne sert pas du tout aux personnes à fesser mais à la Dominatrice qui peut ainsi se changer selon son humeur.

Curieusement on ne voit pas les habituels instruments que l’on peut s’attendre à trouver dans un local de punition. Pas de cannes anglaises, de cravaches, fouets ou autres martinets. Dans cet endroit on utilise seulement des baguettes fraiches uniques ou en verges et des orties. On y punit de manière écologique avec des moyens trouvés dans le bois environnant.

Maîtresse Christine me dit qu’elle invite parfois dans sa cabane des collègues accompagnées de leur esclave pour des jeux de forêt.

La charmante femme m’a ensuite enlevé les menottes, ordonné de me déshabiller complètement et de poser mes vêtements bien pliés sur une petite table.

J’ai dû alors m’appuyer à plat ventre sur un support rembourré en demi pente, légèrement en creux sur la longueur et courbé vers le milieu. Il est très confortable avec un renflement (pour surélever les fesses) et un trou à l’endroit du sexe. La partie supérieure est horizontale et l’autre en légère pente.

La belle Princesse m’a ordonné de mettre les mains sur la tête. Elle m’a ensuite mis une barre d’écartement en bois au niveau des chevilles. Mes cuisses étaient ainsi légèrement écartées. Puis elle s’est baissée, a attrapé mon sexe à travers le trou et l’a immobilisé à l’aide d’un mini carcan à couilles fermé avec une combinaison à chiffre.
Difficile de beaucoup bouger avec ce point d’encrage. Si je n'essaye pas de me soulever, la position est encore confortable.
Elle a alors posé les verges en équilibre sur mes fesses avec consigne de ne pas les faire tomber.

Pendant que j’appréhendais la suite, la maîtresse de cabane a été se changer derrière un paravent. Elle est pudique la Princesse. Tandis que moi je suis exposé dans mon plus simple appareil avec la raie des fesses légèrement entrouverte. Ma pudeur doit être le dernier de ses soucis.

même son habillement très sexy est ressemblant

Quand elle revient devant moi, elle est magnifique. Elle a troqué sa tenue forestière pour un ensemble des plus excitants. Elle est tout en cuir. Une combi assez brillante en mauve foncé bien ajustée à son magnifique corps. Une ceinture dorée souligne encore plus ses fesses parfaitement rebondies déjà mise en valeur par le cuir fin mauve. Elle porte aussi des bottes noires à très hauts talons fins. Et évidemment des gants noirs aussi en cuir. Un si magnifique corps dans un ensemble aussi sexy me fait oublier que je suis à quelques secondes d’une très sévère vergée.

Elle s'est emparé de la verge, que j'ai réussi à garder sur mon derrière, s'est positionnée sur le côté des parties à fustiger, a levé l'instrument bien en arrière et avec beaucoup de force à ...
Et bien je ne vous en dis pas plus car c'est une affaire perso entre la Maîtresse et moi ;-)


Voilà, cela fait 2 semaines que je suis revenu de Verginie. Les traces de la correction sont encore un peu visibles. Tout ce que je peux vous en dire c'est que c'était un excellent week-end.

Une Maîtresse vergère avec des baguettes de Verginie c'est une combinaison parfaite. Si vous avez l'occasion de tester, n'hésitez pas ;-)


Ah, j'allais oublier. L’interview - fiction a très bien passé dans le magazine « L’écho des Fessées ». Maîtresse Christine a joué le rôle de journaliste à la perfection et a retranscrit fidèlement mes propos. Ce n’est pas toujours le cas et l’interviewé ne se reconnait parfois plus du tout dans l’article. La recherche du sensationnel dépasse souvent la pensée de la personne interrogée.

Encore une dernière chose. Je viens de recevoir un email de la Princesse Christine. Elle est enchantée de sa nouvelle liaison Internet et me remercie encore. Mais grâce à ce débit, elle n'hésite plus à consulter mon blog et la manière dont j’ai relaté l'interview fiction ne lui a pas plu, mais alors pas du tout. La docteure en fesséologie, même en blonde, ne s’était pas doutée pendant l’interview que je me moquais assez souvent d’elle.
Elle a particulièrement été fâchée par des expressions comme « Encore une qui pète plus haut que son cul », « la salope, ce qu'elle fouette fort », « Elles sont complètement cassées ces bonnes femmes ».

Un autre point qui l’a beaucoup chagriné est que j’ai révélé qu’elle trompait son amante Erika avec une femme beaucoup plus belle qu’elle. Mlle Erika qui lit aussi mon blog a rompu avec Christine après une correction fessière qui a duré plus d’une heure.
C’est lors d’une visite de son amante en Verginie que Christine a proposé de recevoir une petite fessée dans sa cabane personnelle. Elle a donc accepté de se laisser immobilisée sur un support pour quelques coups de baguettes. Erika a tout de suite frappé avec la baguette beaucoup plus fort que d’habitude. Christine ne comprenant pas, Erika lui a parlé de ce qu’elle avait lu dans l’article « Interview – fiction ». Christine a commencé à la supplier de ne pas rompre, de lui pardonner et de la libérer. Mais Erika, bien décidée, lui a administré 100 coups avec une verge de Verginie. Maîtresse Christine n’a plus pu s’asseoir sur ses fesses princières pendant trois jours.

Pour la peine que je lui ai fait, Princesse Christine a exigé que jusqu’à la fin novembre 2007, je reçoive une très sévère correction, sur les fesses nues évidemment. Comme elle ne peut actuellement se déplacer, je devrai me débrouiller moi-même et lui rapporter les préparatifs et le déroulement de ce châtiment.
Elle a bien précisé qu’elle ordonnait des fessées réelles et pas virtuelles comme elle m’en avait déjà donné quelques fois. Elle ne veut pas non plus une self-fessée mais une séance chez une véritable et sévère Maîtresse habituée à s’occuper des personnages comme moi.
Elle pense à des corrections similaires à celle-ci ou à celle-là mais avec une différence de taille.

 Elle veut une réelle séance d'éducation anglaise avec une cane qualifiée de sévère.

Pour celles ou ceux qui ne connaissent pas trop, faîtes un saut chez Dailymotion ou encore mieux chez OWK et vous comprendrez que la cane appliquée correctement n'est pas un jouet.

l'éducation anglaise chez OWK, ils connaissent

Je ne m’attendais pas du tout à devoir organiser une séance encore dans les 3 mois et de cette intensité mais je commence à y penser sérieusement et à m’habituer à l’idée de connaître bientôt à nouveau la sensation de baguettes appliquées très sévèrement sur mes fesses.

Pour des raisons de discrétion et de disponibilité professionnelle, il m’est toujours délicat d’organiser ces séances de manière réelle. Le virtuel est plus facile mais ne procure pas de sensations aussi intenses.

Comme dab, je vous tiendrai évidemment au courant.

A bientôt



PS: Comme je n'ai jamais reçu de sévères coups de cane, celles et ceux qui l'ont pratiqué peuvent sans autres partager avec nous leurs expériences punitives.

Les récits des Maîtresses ou Maîtres ainsi que des soumis, à propos de la cane, sont les bienvenus (douleur ressentie, plaisir d'infliger, etc...)

Merci d'avance!
JeanBer
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Samedi 25 août 6 25 /08 /Août 17:19
La dernière fois, Princesse Christine m’avais laissé dans un carcan, sans lumière, tout nu et les fesses déjà fustigées durant l’interview. Elle m’avait promis une surprise et était partie.


J’entends des pas dans le couloir, une clé tourne dans la serrure et la porte du bureau s’ouvre. La lumière est rétablie.
Princesse Christine entre. Elle s’est changée et porte maintenant un ensemble très chic. Gants de cuir noir, jupe juste au dessus du genou, bas fins de couleur brun foncé, chaussures à talons hauts et fins. Elle porte aussi un grand sac.

Mais la vraie surprise c’est de voir une autre Vergère, Maîtresse Jana (sa nièce) la suivre. Celle-ci est habillée plus que sexy, je dirais même plus, de manière indécente. Mini jupe serrée de latex brillant noir au raz des fesses. Chaussures fines noires à très très hauts talons (comment arrive-t-elle à marcher avec?). Et entre les deux, des jambes magnifiques. En haut elle a un chemisier blanc semi-transparent qui laisse un peu plus que deviner ses seins magnifiques en liberté. Comme elle se déplace, ses tétons très fermes et semblant excités se promènent sous la fine chemise. Elle porte aussi des gants mais en latex et montant jusqu’au-dessus des coudes.

pourquoi Maîtresse Jana a-t-elle de si longs gants sexy?

Toc, tac, swift, toc, tac, toc, swift, tac, toc, tac (2 paires de hauts talons se rapprochent de moi dans une démarche très excitante).

Maîtresse Jana tient dans chaque main une longue baguette qu’elle fait siffler en marchant avec un petit sourire sadique. Elle les laisse tomber devant moi puis vient se placer devant mes yeux en s’abaissant. Sa mini jupe tendue en latex montre bien ce que j’avais soupçonné, elle ne porte pas de slip et a le sexe bien rasé.

Sans avertir elle m'empoigne par les cheveux, me tire la tête en arrière et de l'autre main m'administre deux gifles aller-retour et sonnantes. Puis elle se relève et rebaisse bien sa jupe serrée sur ses belles cuisses.

PC : "Voilà jeanber, la surprise. Jana, qui est quelques jours chez moi, a tenu à participer aux réjouissances. Elle aussi n’avait pas apprécié une petite partie de la fiction"

Maîtresse Jana : "Tu te souviens salaud quand tu avais profité que j’avais peur des orties et que ma tante m’avais fait souffrir avec ces feuilles urticantes. Tu vas le regretter"
Maîtresse Christine s’avance vers moi, ouvre son grand sac et je vois une quantité d’orties fraiches gardées avec leurs racines dans la motte de terre humide. Elle pose le sac bien ouvert devant ma vue.
De vraies connaisseuses ces deux Maîtresses. Elles savent que des orties coupées et transportées ne sont presque plus efficaces. Mais celles du sac sont intactes.

JB : "nnnnnhhhhh" (je ne peux que faire un petit bruit avec mon bâillon boule dans la bouche)
Impatientes de profiter au plus vite de ces plantes urticantes, Maîtresse Christine me tient bien les fesses et les cuisses écartées et Jana empoigne, avec ses gants de latex brillant montant jusqu’aux coudes, une bonne touffe d’orties et commence à me masser l’entre jambe. Ahhh ce que ça pique, brûle. Les fourmilles envahissent les chairs sensibles.

Chaque fois qu'elle revient chercher une nouvelle série d'orties fraiches, sa jupe noire s'agrippe à ses cuisses magnifiques mais remonte assez pour laisser voir ses trésors. Debout, elle réajuste son vêtement de latex puis continue son travail de punition.

Jana est très méthodique en passant par les fesses entières, les cuisses tout autour, les mollets.
Elle a pris soin de garder une touffe pour me badigeonner les seins.

Toutes les parties très sensibles picotent terriblement.

PC : "Voilà, les orties ont donné le maximum. J’espère que tu as apprécié. Jana a réussi à vaincre sa peur des orties et avec ses gants elle ne risquait rien. C’est moi par contre qui me suis fait toucher l’avant bras avec les orties en t’écartant les cuisses au maximum. Je sens terriblement piquer encore maintenant"
(Je pensais, bien fait pour sa pomme mais elle continue à me parler)

Je vois à nouveau, comme si je les avais oubliées, les 2 terribles baguettes de noisetier posées devant mes yeux.

PC : "Tu te souviens m’avoir envoyé de manière humiliante chez BFE, fait porter le slip Formicul comme les autres du Conseil et aussi fait participer aux démonstrations de fin de BAF, du côté punie, sous prétexte que cela était indispensable pour mon doctorat de Fesséologie ? Tout se paie mon gaillard"
Pendant qu’elle me parle, Maîtresse Jana ramasse les deux instruments de correction trouvés en forêt et j’entends siffler les verges. Elle teste dans l’air la souplesse et la flexibilité de ces deux longues baguettes de noisetier. Ce son est très excitant à entendre.

Aie, encore des instruments de fouettage qui peuvent être extrêmement douloureux si elles les utilisent au max.
Je n’ai pas le temps de penser à autre chose car les salopes commencent à me fesser à tour de rôle sur chaque fesse (je n'utilise habituellement pas de mot vulgaire mais c'est la pensée qui me vient quand je sens vivement les baguettes de noisetier).
J’entends leurs talons se promener derrière moi.

Toc, toc, toc,  hazel
Toc, toc, tac, tac, tac, hazel …
Dès qu’une Dominatrice a fini d’appliquer la baguette sur une fesse, elle s’écarte un peu et l’autre s’approche pour me montrer l'effet de l’arrivée à grande vitesse de la baguette de coudrier.
Je ne vous explique pas que c’est très douloureux, intenable, insupportable mais que faire, coincé dans le carcan.

Laquelle fouette le plus fort? Comme j’étais déjà un peu habitué à la maitrise de la Princesse, il me semble que Jana est encore plus cruelle et sans pitié. Mais je ne peux l’affirmer car j’entends uniquement leurs talons pointus sur le parquet, j'ai interdiction d'essayer de tourner la tête.

Toc, toc, toc,  hazel
Toc, toc, tac, tac, tac, hazel …
Après ce qui me semble une douzaine de coups sur chaque partie de mon derrière, le fessestival s’arrête et Maîtresse Christine recommence à parler.

l'application d'orties fraiches n'était qu'une partie de la punition infligée

PC : "Je te remercie jeanber pour cette interview. Je vais te laisser en paix maintenant et te libérer"
Elle m’enlève le bâillon et ouvre le carcan.

JB : "Merci Cri-cri, cela me soulage cette gentillesse de ta part"

PC : "Ce n’est pas parce que l’interview est terminée que tu peux avoir de la familiarité avec moi. Je reste tout de même une Princesse à qui l’on doit le plus strict respect. Compris ? "
Crack, crack, crack (elle me donne 3 coups très appuyés avec sa cravache)
Elle manque vraiment d'humour !

Je peux enfin me remettre debout. Je me frotte les fesses car elles me démangent énormément. Il y a aussi une fourmilière entre mes jambes. Les orties et le noisetier ont vraiment  fait un ravage. Elles sont complètement cassées ces bonnes femmes de me fustiger de la sorte. Elles savent précisément ce qui fait mal et où et comment le faire.

Je me rhabille enfin.
Jana dans un élan pour faire plaisir s'est installée sur une chaise les jambes croisées et un peu écartées. Elle arriverait à faire oublier le châtiment reçu.

JB : "En acceptant cette interview, je ne m’attendais pas du tout à être fessé ainsi pendant l’entretien. Et pourtant je vous connais très bien car c’est moi qui ai créé votre personnage. Vous m’avez vraiment montré ce que signifie une véritable correction dirigée par une professionnelle des fouettages"

PC : "Cela montre surtout que tu te trompes parfois comme cela est arrivé dans le résultat de l’élection. Tu n’avais pas prévu cela"

JB : "Car tout cela reste toujours une fiction, Prinnnnnnncess Christine"

PC : "Encore ton humour à la PI, jeanber"

pas facile de détacher son regard des jambes de Maîtresse Jana

Maîtresses Jana est toujours silencieuse mais, quelle allumeuse quand elle décroise et recroise ses jambes assise sur la chaise. J’ai vraiment de la peine à me concentrer pour l’interview.

JB : "Puis-je à mon tour vous poser une question ? Elle est un peu personnelle"

PC : "Je t’en prie"

JB : "A propos de la BAFfeuse Erika, je n’ai pas osé la mettre dans la fiction car je savais que …"

PC : "… que je couchais quelque fois avec elle"

JB : "Oui Princesse Christine je le savais dés le début"

Comme je parle de la liaison de la Princesse avec Erika, j'ai l'impression, mais je peux me tromper, que Jana me lance un regard noir et montre un petit moment un visage très dur. Mais très vite son magnifique sourire revient.

PC : "Je te remercie de cela mais ne vois pas d’inconvénients à le rendre publique et Erika est aussi très ouverte à laisser passer cette info.
Erika n’aime pas du tout être fessée. C’est un point qui me chagrine car comme tout le monde le sait j’aime beaucoup infliger des punitions corporelles particulièrement avec différentes baguettes, canes et autres instruments similaires. Erika a d’ailleurs quitté son copain car il insistait tellement pour lui donner des fessées et la plupart du temps elle cédait. Il était particulièrement vicieux dans le choix des instruments. Il les choisissait extrêmement douloureux. Certaines canes, synthétiques surtout, font déjà crier lors d’une utilisation à force faible. Son copain savait aussi à quels endroits appliquer les canes ou les baguettes. Par exemple à la jonction des cuisses et des fesses ou sur le haut et les côtés des cuisses"

JB : "Une vraie brute, son mec. J’aurais pu, dans la fiction, l’envoyer chez DsK"

PC : "C’est sympa pour ton intention mais comme dans toutes les choses, il y a souvent quelques enseignements à en tirer. Erika a ainsi appris exactement où et comment faire très mal en fessant. Et cela tombait bien car si Erika n’aime pas être fouettée, même pas quelques claques à la main, elle adore corriger les autres. Elle utilisait chaque fois la Valise avec grand plaisir"

JB : "Je le savais et c’est pourquoi elle était dans le groupe des BAFfeuses"

PC : "Moi qui passe une partie de mon temps à fesser et organiser des activités sur ce sujet, j’apprécie beaucoup parfois me faire fustiger par Erika. Nous appelons cette activité la déstresse. Et ainsi je profite à mon tour de l’expérience du vécu quand je fouette un esclave ou une autre femme"

JB : "C’est bien le partage des connaissances !"

PC : "Ca va jeanber, ne te fous pas de moi ! Et après la déstresse j’apprécie aussi le savoir faire classique d’Erika au plumard"
Il parait que cette ancienne institutrice est une vraie étalonne avec les autres femmes. Pour les hommes il faudra l’oublier, l’expérience punitive avec son copain l’a dégoûtée des mâles.

Mais si vous cherchez, visiteuses ou visiteurs, une fouetteuse très sévère, Erika ne refusera pas de vous corriger. C’est une manière pour elle de se venger de son ancien compagnon.

PC : "Il y a cependant une chose que tu ne devras pas rendre publique, jeanber, car mon amante Erika n’apprécierait pas du tout" (elle me le dit tout bas)

Je vous livre l’info, on est entre nous, mais vous ne la dites à personne et ne la rendez pas publique.
A part ses qualités de fouetteuse et d’étalonne, Erika n’est pas du tout féminine avec son genre de garçon manqué et habillée en jeans pour hommes. Et c’est la raison pour laquelle Maîtresse Christine reçoit très souvent une autre femme dans son lit, une très belle et jeune femme infatigable quand il s’agit de sexe.
Elle n’a qu’un petit défaut, elle n’est pas du tout intéressée par les fessées. Cela peut arriver, car pas toutes les personnes n’ont ce phantasme.

Mais je me répète, ne dites à personne que la Princesse Christine a encore une autre amante que Mlle Erika.

JB : "Si j’ose, j’aurais encore une autre question moins personnelle"

PC : "Vas-y"

JB : "Qu'avez-vous comme activité depuis la dissolution de la BAF"

PC : "J’ai un gros projet en route et retourne en Verginie pour être un peu au calme. Mais je peux communiquer avec mes amis par Internet. Malheureusement très lentement car j’ai une petite boîte qui clignote avec plusieurs fils qui vont vers le téléphone" (c’est vraiment le moyen âge la Verginie)

JB : "Cela s’appelle un modem. Et si vous m’offrez un séjour dans le pays des meilleures verges pour fessées, je regarderai s’il est possible d’améliorer les choses"

PC : "J’accepte de bon cœur et te ferai aussi goûter quelques baguettes fraiches de Verginie"

JB : "Affaire conclue"
Je ne peux qu’apprécier cette proposition d’une connaisseuse.

PC : "As-tu d’autres questions à me poser ? "

JB : "Non. Je voulais juste encore vous féliciter pour votre doctorat en Fesséologie"

PC : "Tu es adorable JeanBer. Cela me touche beaucoup"

JB : "Savez-vous quand sortira cette interview dans l’Echo des Fessées ? "

PC : "Si tout va bien la semaine prochaine. Juste avant ton voyage en Verginie"


Voilà, je vous passe les civilités de fin d’interview et vous retrouve bientôt pour d’autres articles.
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 10:33
(Si vous avez manqué le début de cette interview fiction reportez-vous à cette partie)


PC : "Venons en maintenant à ton humour un peu particulier. C'est plus que du second degré"

JB : "Oui, je dirais même entre trois et quatre. Disons 3.1416"

PC : "Si mes souvenirs d'école sont bons c'est PI, le rapport entre le diamètre et le tour d'un cercle"

JB : "Bravo Princesse Christine! Il y en a dans votre tête de blonde"

PC : "Tu te fous de moi!"
Slap, slap, slap, slap

PC : "Penche-toi sur ce support! Présente moi bien tes fesses! Je vais t'apprendre à te moquer de moi! Tu vas recevoir 12 coups de canne et si tu bouges trop, je recommence. Compris esclave?"

JB : "Oui, oui Princesse Christine. Ne me massacrez pas!"

PC: "Tu n'as rien à dire à part "Oui Princesse Christine", tu n'as pas de droits avec moi. Va te mettre en place, tout de suite. Compris?"

JB : "Oui Princesse Christine!"
Switch, switch, switch, switch, …

JB : "oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, aaaah"

PC : "Ne bouge pas!"

JB : "Oui Princesse Christine!"
(la salope, ce qu'elle fouette fort, sur les fesses, le haut des cuisses, la limite entre les fesses et les cuisses. Ce que ça fait mal!)
Switch, switch, switch, switch, switch, switch, switch, switch

JB : "oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhhhh"

PC : "Remets-toi à genoux devant moi et continuons cette interview"

JB : "Compris Princesse Christine!"

PC : "Ton humour en PI c'est un peu pour construire des cercles vicieux?"

JB : "Dans ma fiction je ne cherchais rien de vicieux. Par contre en relisant l'histoire, il est vrai que certaines Maîtresses étaient particulièrement vicieuses en punissant"

PC : "Attention à ce que tu vas dire jeanber. Tu as connu la Valise et elle pourrait reprendre du service avec toi"
(c'est vrai je pensais à Maîtresse Christine qui avait parfois un plaisir vicieux en punissant. Mais je dois faire gaffe car elle serait capable de me remettre dans le carcan de la Valise. C'est du délire cette interview)

PC : "Penses-tu à une suite pour cette fiction et y aura-il à nouveau un rôle pour moi?"

JB : "Vous savez Princesse Christine, il y a différentes idées qui me trottent dans la tête mais encore rien de très précis"

PC : "Si tu m’oublie dans une autre fiction, gare à tes fesses. Compris petit blogger ?"

JB : "Oui, oui Princesse Christine"

PC : "Dans le monde virtuel de la BAF, n'as-tu pas pensé à mettre des avatars?"

JB : "Non Princesse Christine. Si je savais bien dessiner comme par exemple Clodlemaire, j'aurais pu illustrer par des croquis pour exprimer précisément ce que je pense. Ou si j'étais équipé pour faire des photos, un côté plus réel aurait pu ressortir. Mais vous savez, des photos d'Internet de réelles belles fesses fustigées ou de Maîtresses véritables illustrent aussi très bien ce que je veux faire passer"

PC : "Tu t'es bien amusé dans ce monde virtuel"

JB : "Bien sûr, le monde virtuel de la BAF permet tous mes phantasmes. Il donne beaucoup de liberté. Je peux y inclure de belles femmes sexy, excitantes. Des personnes qui aiment fesser sévèrement, des personnes que je peux faire fouetter quand c'est mérité. Mais franchement, je n'ai pas eu l'impression de dépasser les limites"

PC : "Quand tu as retenu Madame Bernadette une nuit de plus chez BFE, tu y as été un peu fort non?"

JB : "Oui, je l’avoue. Elisabeth, oups ! Bernadette, je la trouvais très prétentieuse et je me suis un peu laissé aller. Pour la fiction, le monde virtuel permet de faire beaucoup de choses que je ne me permets pas dans la vie réelle. Cela autorise de se défouler. Mais je me répète, j’ai vraiment essayé de ne pas dépasser les bornes et il me semble avoir réussi quelque chose de sympa"

PC : "Il y a deux choses dans ta fiction que je n’ai pas du tout aimé et ni trouvé sympa. C’est l’obligation que j’ai eu de mettre la culotte Formicul et mon passage ensuite chez BFE. Et pour cela je t’ai préparé une petite surprise. Va me chercher la Valise"

JB : "Non, non, je vous en prie Princesse Christine"

PC : "Obéis sinon…. ". Elle me menace de sa terrible cravache.
Il ne me reste plus qu'à lui ramener la Valise. Elle y extrait le carcan et me donne des coups de canne pour me montrer de m’y installer. Elle m’immobilise dans ce support que j’ai si souvent fait subir aux autres dans l’aventure de la BAF.
Puis elle me met encore un bâillon boule. Comment puis-je encore répondre à ses questions ?

drôle d'interview avec cette balle en bouche

Je commence à paniquer car je ne veux plus de fessées.

PC : "Voilà, tu n’as plus qu’à patienter un petit moment. Tes fesses n’ont encore rien vu jusqu’à présent. Ce n’était que l’apéro. Le plat de résistance ne va pas tarder"
Toc toc toc toc (elle s’éloigne de moi de sa démarche excitante, éteint la lumière, sort de la pièce et ferme la porte à double tour)

Une vraiment drôle de sensation. Tout nu, dans le noir, les fesses déjà sensibilisées par différentes fessées. A quatre pattes dans le carcan dont je sais qu’il est impossible de s’échapper car la maison JBM & Fils n’a jamais livré du matériel défectueux.

Que va-t-elle me faire subir ? Je la sens capable de tout. Je la connais que trop bien.
Depuis combien de temps est-elle partie ? Difficile d’avoir la notion du temps dans le noir.
La position dans le carcan commence à être de plus en plus désagréable.

Une demie heure, une heure, plus? Je suis très impatient qu’elle revienne avec sa surprise et qu’elle me libère. J’en ai mare !


Eh bien c’est le moment de vous laisser, visiteuses et visiteurs de mon blog.
A bientôt pour la suite de cette interview fiction avec Maîtresse Christine.
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 16:43
Bonjour Maîtresse, j'ai été convoqué pour être interrogé sur la fiction Coco t'as bien fait. Eh bien me voilà!

Princesse Christine : "Pour commencer jeanber, tu vas m'appeler Princesse Christine. Tu te mets aussi à genoux devant-moi avec les mains derrière la tête. Compris?"

JeanBer : "Oui Cri-cri" (grand sourire)
Slap, slap, slap, slap (2 paires de gifles bien envoyées)
Elle a un de ces parfum super agréable, je ne connais pas la marque mais c’est du genre à ne plus vous lâcher et vous mettre de super bonne humeur.

PC : "Ce n'est qu'un début, je sais mâter les garçons difficiles. Compris?"

JB : "Oui, oui, Princesse Christine"

PC : "Voilà qui est mieux. Ne bouge pas, je dois sortir deux minutes"

JB : "Oui Princesse Christine"
Toc toc toc toc … (le bruit excitant des talons de cette très belle Maîtresse qui s’éloigne de moi). Elle est habillée très sexy, des bottes à bouts pointus et hauts talons fins, des pantalons noirs arrivant aux genoux, un haut assez décolleté, le tout en cuir brillant. Un vrai délice pour les yeux.

une des cannes de correction que Princesse Christine ramène

Toc toc toc toc. La voilà qui revient avec des instruments de punition, en plus de sa cravache de dressage qu'elle avait déjà auparavant, elle ramène une verge de rotin, 2 cannes assez fines et un martinet en cuir de section ronde (c'est une connaisseuse, elle sait que ces fines lanières sont moins freinées par l’air et sont donc plus douloureuses en frappant les fesses).
Avec ce qu’elle a ramené, j’ai intérêt à bien respecter ses instructions.

le martinet d'une connaisseuse

PC : "jeanber, merci de m'accorder cette interview pour mon magazine
<<L'Echo des Fessées>>. Tu viens de terminer cette fiction centrée sur le magnifique travail effectué par la BAF, comment te sens-tu ?"

JB : "Ayant publié le dernier article de cette fiction, je me sens un peu nu"

PC : "Tu vas très vite être véritablement nu si tu ne te tiens pas bien droit devant moi"

JB : "Oui Maîtresse"

PC : "Je t'avais dit de m'appeler Princesse Christine. Tiens pour t'apprendre"
Crack, crack, crack, … (elle m'applique 5 – 6 coups de cravache sur mes fesses heureusement couvertes par les pantalons).

JB : "Aie, aie ce que vous frappez fort Princesse Christine"

PC : "C'est normal, je ne suis pas une Maîtresse de théâtre. Reprenons ton interview. Tu t'es bien amusé en écrivant cette histoire. J'ai même l'impression que parfois tu règles des comptes avec certaines personnes en leur imposant des fessées, des corrections, des châtiments"

JB : "Oui, tu, oups, vous avez un peu raison"

PC : "Comme tu as de la peine à te comporter avec moi comme avec une personne supérieure, tu vas te déshabiller complètement"

JB : "Oui cricri, oui Princesse Christine"
Je me dénude complètement comme ordonné par cette Maîtresse. Elle empoigne alors la verge de rotin et me donne une dizaine de coups vraiment très fort, birch, birch, birch, … sur mes fesses sans protection. Elle est vraiment sans pitié.

JB : "Aie, aie, aaaah ! Vous me faites trop mal Princesse Christine"

PC : "C'est bien ce que je désire. Revenons sur ton histoire, tu me disais qu'il était vrai que tu faisais fouetter des personnes précises"

JB : "Oui Princesse Christine, la plupart des personnages de ma fiction ont une existence dans la réalité. Certaines personnes ont le même prénom, d'autres pas, pour certaines autres c'est surtout la fonction, qui m'intéressait. Avec vous par exemple, vous avez une réalité chez OWK"

PC : "Oui beaucoup de personnes me confondent avec la Maîtresse d'OWK. Revenons à la fiction. Tu as plutôt tendance à punir des femmes. Pourquoi?"

JB : "C'est tout simple. Etant un homme sans aucune attirance pour le même sexe, il m'est plus facile d'imaginer des fessées pour des femmes, de les mettre à nu. Mais les hommes dans ma fiction sont aussi punis comme ils le méritent"

PC : "Tu es parfois très sévère avec tes personnages"

JB : "Faut pas exagérer. Je me moque parfois aussi de l'application trop stricte des règlements. Ceux-ci sont évidemment prévus pour être respectés mais sans empêcher de les adapter quand la situation le demande. Il est vrai aussi que la sévérité des punitions est grande. C'est ce que je demande pour moi à une Maîtresse mais à l'intérieur de limites (voir ici). Une correction, quand on a fauté, doit être sévère, douloureuse. Autrement ce n'est pas sérieux. Je conçois la fessée plutôt comme de type punitive. Ce doit être une punition et pas un amusement. Bien sûr dans la réalité, c'est entre adultes qui sont d'accord de jouer à la fessée punitive. Vous me comprenez ?"

PC : "Alors c'est violent"

JB : "Non Princesse Christine, je ne l'assimile pas à de la violence. Les corrections ne doivent pas blesser, à part peut-être sa fierté. Ce n'est pas de la méchanceté mais uniquement un moyen d'améliorer une personne, une situation. Dans la réalité je conçois, pour moi-même, des fessées moins intenses, moins concentrées. C'est un avantage de la fiction, de pouvoir fesser souvent, sévèrement, avec des instruments différents sans s'inquiéter de l'état des fesses. Pour la plupart de mes personnages non habitués aux fessées, la sévérité des punitions n'est pas réaliste. De plus, dans la réalité, une organisation telle que la BAF qui 'soustrait' brièvement des personnes pour les fesser car elles trichent, aurait vite des ennuis"

PC : "Il  est vrai qu'à te voir tu n'as pas l'air méchant"

JB : "Exactement Maîtresse Christine, je .. "
Switch, switch, switch  (elle m’applique sévèrement trois coups de canne)

JB : "Vous me faîtes mal"

PC : "Je t'avais ordonné de m'appeler Princesse Christine, compris?"

JB : "Excusez-moi Princesse Christine. Je m’oublie en expliquant la fiction mais vous avez raison"

PC : "Bien sûr que j'ai raison. En tant que Femme, Maîtresse, Princesse, je suis supérieure au sexe dit fort et en particulier à toi. J'en ai maté de plus coriace, crois-moi jeanber "
Clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac… (une série de claques puis elle se frotte la main)

JB : "aiiiiiie ! Vous me faites très mal Princesse Christine!"

PC : "Tu exagères jeanber, c’était certainement plus douloureux pour moi ces claques à la main. La prochaine fois que tu mérites, le martinet fera mieux l’affaire. Et te faire mal, c'est ce que je veux si tu ne me respectes pas à ma juste valeur. Il faudra te le mettre dans ta petite tête d’être inférieur"
Encore une qui pète plus haut que son cul. Qu’elle est prétentieuse cette Maîtresse !

JB : "Oui Princesse Christine"

PC : "Penche-toi en avant et baise mes bottes, esclave. Et ne te relève pas avant que je te l’autorise. Compris ?"

JB : "Bien Maîtresse Christine"
Je me mets en avant, mes fesses se tendent et s’ouvrent un peu. C’est excitant de lui montrer ainsi mon cul. Pendant que je lui baise ses chaussures sexy, je sens aussi la bonne odeur du cuir.
Hmm ! C’est bon. Je m’applique à lui montrer sa supériorité quand…

un bon moment quand ...

PC : "Baise mes chaussures mieux que ça ! Exécution !"
Birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, … …

JB : "Ah, ah, aaah !  Vous me faîtes mal Princesse Christine"  (la sal… en profite que j’ai les fesses bien positionnées pour me fouetter avec la verge en rotin et je n’ose pas me relever et y échapper. Les extrémités des fines tiges m’atteignent de plein fouet sur les cuisses. Et cela est très douloureux)
Après une douzaine de fois, les méchantes baguettes souples et flexibles me laissent tranquille.

PC : "Tu peux te relever, boy. Ne touche pas tes parties fustigées et remets tes mains sur la nuque. Compris mec ?" (elle n’a pas besoin de m’engueuler ni de crier comme ça, je ne suis pas sourd)

JB : "Oui Princesse Christine. Merci de m’améliorer Princesse Christine"
Voilà je suis de nouveau bien droit, les mains derrière la tête et à genoux devant la sévère Maîtresse.

elle doit le savoir pour me fustiger si sévèrement

Je dois encore lever un genou après l’autre pour qu’elle puisse enfiler la verge en dessous. La position devient d’un coup beaucoup moins confortable. Tout le poids du corps repose sur les tiges en rotin sous les genoux. Les orteils de mes pieds ne servent qu’à maintenir l’équilibre.
Il faut bien avouer que dans cette position, les verges sont quand même moins douloureuses que sur mes cuisses.
J’espère tenir assez longtemps dans cette position pour satisfaire la très sévère Maîtresse. Elle n’a pas l’air commode cette prétentieuse.

PC : "Grâce à ce petit inconvénient, tu devrais te souvenir plus facilement du respect que tu me dois. Tu ne représentes pas grand-chose pour moi à part des parties à fesser. Alors concentre-toi et ne me déçois pas. Compris esclave ?"  (elle me l’a de nouveau dit sur un ton irrité).

JB : "Oui, oui Princesse Christine. J’ai compris"  (je dois vraiment faire gaffe et me concentrer car cette interview commence à être très pénible physiquement)

PC : "Bien, revenons à ce que tu m'expliquais"

JB : "Je vous disais que je ne suis pas méchant. Je pense même être trop gentil. Mais parfois il est nécessaire de pousser une grande bouellée (gueuler bien fort) quand d'autres poussent le bouchon un peu trop loin"

PC : "C'est comme moi avec les baguettes, si tu exagères ou me manques de respect, je dois sévir"

JB : "Oui Princesse Christine vous me l’avez montré et je vous remercie encore de me corriger si je le mérite"

PC : "Quand je fustige un être inférieur comme toi c’est toujours mérité et tu ne te rends pas compte du travail et de l’énergie qu’il me faut pour remettre les hommes dans le droit chemin"

JB : "Je vous comprends Princesse Christine"  (son doctorat en fesséologie lui est monté à la tête, ça lui passera certainement)

PC : "Merci à toi de me comprendre et de m’accorder cette interview"

JB : "Je vous en prie Princesse Christine, le plaisir est pour moi"  (je n’ose pas dire à cette angoisse que les tiges sous mes genoux sont toujours plus désagréables, que j’ai envie de frotter mes fesses et cuisses car elles se souviennent des instruments de la Maîtresse. Mais mes petits soucis d’interviewé ne doivent pas compter à cette très importante personne)


Voilà, je continuerai à vous raconter cette interview fiction une autre fois

A bientôt
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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