On peut rêver

Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 08:05
Le printemps aidant, j’ai à nouveau envie de partir dans une fiction. Partir dans son imagination mais aussi en y jouant un rôle actif et même passif. Donc cette histoire se passe dans une entreprise de l’audio-visuel où je viens d’être engagé comme employé.

Assez vite je me suis aperçu d’une ambiance de travail particulière. Tous les employés travaillaient à la perfection, sans stress apparent. Le règlement de l’entreprise est même très permissif. Tous ont une demi-heure de pause le matin et idem l’après-midi. Ces moments peuvent être utilisés pour aller boire un café ou autres, pour discuter de la pluie et du beau temps, se reposer ou carrément visionner des images, diaporamas ou vidéos sur son PC. La matière ne manque pas avec tous les e-mails non professionnels qui circulent.

Du moment que le travail était bien fait, dans les règles et les temps, la liberté des collaboratrices et collaborateurs était très grande. C’est ce qui permet aussi d’avoir un très bon rendement, des clients satisfaits. En plus du travail plaisant, les salaires octroyés sont au dessus de la moyenne de la branche.

Où les choses sont un peu particulières c’est que le matériel de loisir multimédia pouvait aussi être du genre coquin. Même assez corsé du genre vidéo de baises, images de bondage, streaming en provenance de DsK (pour les "non au parfum" lire ma fiction "Coco t'as bien fait" ou CTBF). Evidemment comme toute la matière de ce blog, le domaine est strictement limité aux activités d’adultes consentants (se référer à l’en-tête des pages de mon blog).
Pour assurer le respect strict de ce point, tous les navigateurs internet et lecteurs multimédia devaient passer par un proxy qui filtre certains contenus. L’équipe informatique avait reçu l’ordre, en plus d’assurer un filtrage adéquat de surveiller les fichiers.

Tout ce beau monde est dirigé de main de maître par une directrice, madame Martinet. Cette très belle femme, la quarantaine, mène son entreprise au doigt et à l’œil. Une partie du personnel semble même la craindre énormément. Comme si elle les menait à la baguette. Il faut dire que je ne dirais pas non, comme amateurs de fessées, si la baguette était réelle. Je pense que certains de mes collègues, féminins ou masculins, sont certainement passés aussi par ce genre d’idées.

Mme Martinet, la directrice, ne s'habillait que dans les boutiques de luxe

Madame Martinet, dans son tailleur strict, pourrait  très bien faire l’affaire. Elle est belle, désirable, sexy et en même temps a un air très sévère. Pas uniquement l’air, elle donne les ordres de manière sèche, ferme qui n’admet pas la contestation, elle pouvait même être cinglante. Des bruits couraient qu’elle gifle parfois. Bref, comme une véritable Maîtresse de correction corporelle comme on les aime. Je me mets même parfois à rêver qu’elle possède des instruments tels que canes, martinets, verges, fouets et qu’elle les utilise pour diriger l’entreprise.
Une fois comme j'étais concentré en pensée sur mon blog, j'ai même risqué de la saluer par "Bonjour Maîtresse".

Je vous dois ici une petite parenthèse. Dans la vraie vie, j'aime être fessé, même sévèrement aux instruments. Mais dans cette fiction, je ne connais que les fessées érotiques à la main entre partenaires amoureux. Ma compagne aime donner et aussi recevoir (encore une grande différence avec ma vie réelle). Donc dans cette fiction, je ne peux que rêver de fessées à la baguette ou autres. Je ne suis pas prêt à franchir le pas. Les châtiments corporels que je vois dans les vidéos me semblent beaucoup trop sévères pour moi (toujours au contraire de ma vraie vie). Je ferme cette parenthèse et continue à vous parler de Mme Martinet, notre directrice.

D’abord son nom, il n’a rien à voir avec un quelconque objet de désir. Ensuite, vous la verriez devant vous, vous ne pourriez-vous empêcher de penser qu’elle a une bouche de baiseuse (mon imagination refait un tour ;-). Quand elle sourit, rarement, cela aide un peu plus à la voir ainsi. Et ces jambes, longues, parfaites, vous m’en direz des nouvelles.
Le beau visage de madame Patricia Martinet comporte une bouche de baiseuse (oups je me répète), assez souvent des lunettes de soleil noires (pourtant elle a de magnifiques yeux légèrement en amandes). Elle porte aussi de longs cheveux roux foncés, allant dans le dos.

Habillée souvent d’une veste et mini-jupe noire avec des chaussures fines à hauts talons, des bas-collant bruns foncé. Notre directrice est toujours très chic et strict, et dès que l’air fraîchi un peu cette très belle femme porte volontiers aussi des gants en cuir noirs.

Mme Patricia Martinet savait attirer les regards

Même avec des bottes brunes à talons et un jeans bien serré rempli par son derrière proportionné à sa grande taille, le charme opère encore. Vous la verriez, en marchant derrière elle, les 2 globes de ses fesses se mouvant à tour de rôle. Vous savez du genre de ces beaux culs dont on ne peut quitter le regard même parfois à en attraper un torticolis. De ces derrières qu'il serait bon de toucher, soupeser, claquer. Pas plus que mes collègues je ne me risquerais à ces gestes, parfois qu’il lui viendrait l’idée de se retourner et appliquer une paire de gifles sonnantes à l’insolent subordonné ou pire, lui prendrait l’idée de se séparer de notre collaboration.
Je ne peux quitter cette description sans vous parler de sa poitrine très bien faite, ni trop grand ni trop petite. De ces seins fiers de l’effet qu’ils produisent.
Comment fait-elle à son âge pour se maintenir aussi en formes ?

Environ 1 fois par mois, elle se promène en inspection dans les bureaux avec Georges, son secrétaire de direction. A cette occasion elle est habillée en cavalière sans bombe ni cravache (dommage) mais avec des pantalons idoines et des bottes noires bien cirées. Elle ne doit certainement pas utiliser cet ensemble pour monter son cheval.


Mais arrivé ici, je dois vous laisser. La prochaine fois je vous présenterai la secrétaire de notre service.

A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 08:13
Etant amateur de fessées aux verges, comme chacun le sais, j’ai été très impressionné par une vidéo nommée « Judicial Birching ». Si j’en avais la possibilité, je n’hésiterais pas une seconde à participer à une séance pareille. Dans un rôle de puni évidemment.
Je vais donc tenter ci-dessous, une fois n’est pas coutume, de vous remettre dans l’ambiance de sévères fessées aux verges.

Un petit mot à propos des photos: la vidéo étant assez ancienne, je n'ai plus trouvé d'images pouvant l'illustrer et ne suis pas encore arrivé à en extraire d'une vidéo de type *.rm. Si une ou un visiteur connait une astuce, je suis preneur!
Donc j'ai agrémenté ce texte d'images de Jessica. Une vraie Pro pour recevoir des fessées!


La première vue de cette magnifique vidéo montre un local style abri ou cave avec un support de punition et un sceau. Une surface horizontale pour s’agenouiller et une surface en pente descendante pour se mettre à plat ventre dessus. Les fesses seront donc positionnées le plus haut et aussi bien dégagées, ouvertes. En tous cas le support semble très confortable avec des parties bien rembourrées pour que les utilisateurs se sentent à l’aise. Mais, il ne faut pas l’oublier, ce support est construit pour positionner des fesses à fouetter à la bonne hauteur, les empêcher de trop bouger et accessoirement écarter les fentes pour que les spectateurs via la caméra n’ignorent plus rien de l’intimité personnelle des personnes ayant fauté.
Les lecteurs attentifs de mon blog savent très bien que les fautes graves sont souvent corrigées par de sévères fessées ;-)

Jessica semble toujours prête à être punie

Mais revenons à nos moutons.
Une Maîtresse en habit noir accompagne deux belles jeunes femmes. Une rousse (Jessica) en robe bleu à dessins et en haut blanc qui enveloppe bien sa poitrine et l’autre blonde en jeans et haut violet clair aussi avec les seins bien formés. La Maîtresse leur ordonne de se déshabiller complètement.

Jessica est nue la première, elle a enlevé la robe, le slip puis le haut. L’autre femme enlève son jeans, elle ne porte pas de culotte, puis enlève le haut. Elles doivent plier et ranger correctement leurs vêtements.

Pendant que la blonde se tient déjà en position demandée (mains derrière la tête, poitrine en avant et pieds écartés à environ 70cm), Jessica doit enlever sa montre et son collier. La blonde a un très beau corps, des hanches un peu plus large que Jessica, un espace entre le haut des jambes vers son sexe rasé. Des cuisses bien faites et des seins bien ronds, fermes, tendus vers l’avant.

Jessica est un peu plus mince que l’autre mais quand elle met les mains derrière la tête, ses seins un peu plus pointus se tiennent aussi bien en avant. Les jambes aussi écartées provoquent un espace très excitant au haut des cuisses et la position fait ressortir, comme sa collègue, le renflement de son sexe rasé. Très bon.

Elles sont laissées seules un moment et se regardent une fois puis reprennent leur position, jambes écartées et mains derrière la tête ce qui permet de bien voir leur sexe et met en avant leur poitrine. Un gros plan de la blonde montre qu’elle porte des lunettes et a des seins magnifiques. Le gros plan sur Jessica la montre un peu nerveuse. On voit aussi qu’elle est un peu maigre sous les seins (les cotes ressortent un poil). Mais alors ces seins pointés en avant tant ils sont excités ! Un grand moment pour les yeux.

Après un instant on entend des pas et la Maîtresse revient accompagnée d’un homme. Elle ordonne à Jessica de se mettre sur le côté. Elle se remet en position, les mains derrière la nuque, les seins bien pointés en avant, les jambes bien écartées, le derrière bien en arrière. Elle se tient de profil, c’est très excitant. J’attends la suite des événements.

La Maîtresse prend les cordes d’immobilisation posées sur la petite surface du banc de châtiment et ordonne à la blonde (j’ai compris Lisa) de se mettre en position sur le support. On peut bien voir son derrière pour la première fois. Pendant ce temps Jessica se tient toujours bien droite, ses seins positionnés bien haut.

La blonde se met à genoux sur le support, les jambes écartées, la fente s’entrouvre, on croit deviner sa coque. Son cul est positionné à bonne hauteur et bien dégagé. On ne voit pratiquement que le cul entrouvert. Pendant ce temps l’homme, spécialiste des fessées, retrousse ses manches puis prend une corde. Pendant ce temps Jessica essaye de garder l’équilibre, elle bouge parfois légèrement.

même pour une vraie habituée, une fessée punitive doit être crainte

L’homme attache une cheville à un bord du support. On voit maintenant encore mieux la fente et le sexe car la caméra s’est un peu baissée. Uniquement les pieds, les jambes, les cuisses et les fesses séparées et bien rondes sont visibles chez cette superbe blonde. Il continue, avec une autre corde, à attacher l’autre cheville puis s’occupe des poignets qu’il attache ensemble vers le devant du banc de punition. Jessica observe sans en avoir l’air l’immobilisation de sa camarade.

La Maîtresse vérifie que la blonde Lisa est bien fixée au support puis l’homme se dirige vers le seau et y prend une verge qu’il bat en l’air pour lui enlever l’eau car ces baguettes trempaient dans une solution rendant les fines tiges très efficaces (entendons par là plus douloureuse). On entend bien le sifflement léger des verges qui fendent l’air. Les choses sérieuses ne vont pas tarder.

Il demande à la Maîtresse de se mettre de l’autre coté, du même coté que Jessica. Il se positionne à coté du derrière de la blonde, tapote ses fesses avec la verge comme pour bien viser puis lui donne le premier coup bien fort. Que la verge est souple ! Elle est faite de fines brindilles probablement en bouleau. En plus du bruissement de la verge dans sa trajectoire irrésistible vers les fesses de la malheureuse, on entend aussi le bruit de l’impact sur la partie à punir.
Le fustigeur ne se retient pas, les fines tiges extrêmement flexibles alunissent à grande vitesse pour infliger une quantité de douleurs aigues. Les dizaines de petites brindilles apportent leurs sévères désagréments en même temps sur un bon tiers de la surface fessière.
Les connaisseurs ne me contrediront pas et les autres n’ont qu’à essayer !

Au 3ème coup, la fustigée bouge un peu ses fesses et dit ahh. Après le 4ème, il change de coté et demande à Jessica de se positionner de l’autre coté. Il lui donne alors 3 coups toujours très forts avec la verge souple. Puis se remet de l’autre coté et dit à Jessica de rechanger de position. A chaque coup, la punie fait aie, ou ouuh. Quand Jessica change de coté c’est beau de la voir se déplacer toute nue, elle a un beau cul.

Jessica regarde bien comment sa camarade est fessée. Un gros plan sur le derrière en train d’être puni montre les bonnes cuisses écartées avec le sexe rasé et les fesses rougies par les premiers coups. Vivement la suite. Encore 3 coups dont un que l’on voit en gros plan. La verge est belle, faite d’une multitude de fins brins tous prévus pour faire mal et châtier. La fille fait de plus en plus fort son ahh (peut-elle l’éviter ?). Faut dire que ses fesses doivent être de plus en plus douloureuses avec les 10 coups déjà reçus tous sur la même surface de son derrière bien remonté et immobilisé.

Le fesseur, derrière la pauvre fille, se met à la fouetter un coup depuis la gauche un coup depuis la droite et ainsi de suite 5 coups puis il examine et touche ses fesses douloureuses et meurtries. Lisa montre par ses petits cris que ça fait chaque fois vraiment mal. Mais je n’ai pas de doute qu’elle doit aimer les fessées à la verge. Celle-ci est très bien menée. Et les fines tiges sont magnifiquement souples.

Encore 3 forts coups en gros plan. Ah ces belles cuisses et entre les deux un espace de plus de 12 cm rectangulaire juste sous le sexe magnifique. A chaque coup les fesses se resserrent un peu puis s’ouvrent de nouveau. On voit aussi l’endroit du trou du cul un peu plus foncé. C’est une vue magnifique. Le gros plan est encore plus rapproché on ne voit presque que le derrière et le haut des deux cuisses avec le sexe et le petit trou foncé. Le rougeoiement provoqué par la verge est bien visible. Un habitué reconnaîtrait une sévère fessée aux fines verges. L’expertise du « père fouettard » a laissé une bande de couleur rosé-rouge bien réparti.

Elle aura reçu 18 coups de verges, quand le fouetteur la détache en commençant par les chevilles et ensuite les poignets. Jessica regarde vers le bas, elle doit penser que son tour ne va pas tarder. Elle a vu comment est sévère cette séance de verges.

J’aimerais bien échanger ma place avec Jessica mais avec la Maîtresse qui me donnerait sévèrement la verge. Je serais immobilisé sur le support de punition à devoir supporter ces insupportables fines tiges de bouleau. Ce doit être un grand moment !

quel beau tableau!

Mais la suite est malheureusement (?) pour Jessica. Pendant que la fille qui a été sévèrement fustigée se relève et se met en position debout les mains derrière la tête (quelles fesses magnifiques quand elle se déplace), la Maîtresse doit ordonner plusieurs fois à Jessica de prendre la position sur le banc des fustigées. A la fin elle la pousse sur le banc en lui disant d’y aller. Faut dire que Jessica sait exactement ce qui l’attend. Elle se met comme il faut sur ce support et le fouetteur commence à l’immobiliser avec les différentes cordes.

Ce doit être un grand moment d’être immobilisé ainsi juste avant de recevoir le premier et déjà fort coup de verge. Le fouetteur a terminé de l’attacher et la Maîtresse vérifie les liens. Le punisseur prend la verge dans le seau et la frappe en l’air pour enlever le liquide prévu pour rendre les brins qui fouettent plus lourds et douloureux. Il y a des personnes qui savent comment punir pour que cela fasse très mal.
La première fustigée se tient comme Jessica auparavant très droite, les jambes écartées, de profil, les seins bien découpés, avec le derrière de sa camarade présenté magnifiquement pour y être fustigé comme elle le mérite.

Le premier coup est arrivé très fort sur les fesses de Jessica qui fait un ahhh de douleur. Ce coup est suivi de 5 autres. Les fesses rougissent vite. Le fesseur est toujours appliqué et semble avoir plaisir d’exercer ce travail. Jessica fait plein de petits bruits car les coups de verge lui font très mal. C’est normal pour une fessée aux verges. Je puis vous assurer une séance pareille n’est pas un amusement. C’est du sérieux même que cela se passe dans un film avec des acteurs adultes et consentants.

Le fesseur prend la blonde foncée par le bras et lui fait se mettre de l’autre coté contre le mur, toujours les jambes écartées et les mains derrière la tête. Il se met alors de l’autre coté des fesses de Jessica et continue sa fessée. 4 coups de plus qu’on voit en gros plan. Parfois elle lève un peu la tête, les fesses bougent bien et se tortillent un peu après les coups de baguettes. C’est beau de voir cette fessée. Elle continue ses petits cris de douleur. Puis les 4 coups suivants qui semblent plus forts d’après la réaction de la fustigée.

Il lui donne maintenant 7 coups rapides sur une fesse et l’autre en alternance, Jessica fait des bruits encore plus soutenus, aouie, aouie….. Puis le fesseur déplace à nouveau la blonde spectatrice et donne la verge à la Maîtresse. Celle-ci va encore donner des coups sur les fesses déjà bien douloureuses de Jessica car elle n’a pas réagit quand elle lui avait ordonné de se mettre en place et avait du la pousser sur le banc de punition. D’autres qu’elles auraient aussi pu hésiter après avoir vu le traitement subi par la femme blonde. Mais il est bien connu, les personnes à fouetter n’ont d’autres droits qu’obéir sans délai même si c’est pour de très sévères coups de verges et que ceux-ci seront insupportables.

Jessica reçoit alors 5 coups très fort puis encore 3 très rapides où elle supplie d’arrêter. Personnellement j’aurais apprécié de voir une dizaine à ce rythme. Le derrière de Jessica se serait certainement encore mieux tortillé car il est difficile de rester en place avec ce genre de fessées rapides. Et cette Maîtresse connait son job. Elle fouette encore plus fort et sévèrement que son collègue masculin (sans doute était-il impressionné par la beauté des paysages lunaires). Vu la manière dont elle applique la terrible verge, elle doit aimer passionnément faire mal et punir sévèrement. La belle fustigée ne doit certainement pas non plus être en reste dans son plaisir.

Un vrai dialogue sado-maso ! Qui n’aimerait pas se trouver à la merci de cette Dominatrice. Avec les fesses dénudées à portée de méchants instruments de correction corporelle. Personnellement je ne me ferais pas prier.

Jessica aura reçu en tout 29 coups avec une très belle verge. On voit maintenant un gros plan de ses fesses bien fustigées, elles doivent être bien chaudes et douloureuses à souhait. De petits point rouges constellent son derrière. La correction a été plus sévère que celle reçue par sa camarade. Celle-ci toujours de profil montre encore ses seins très fermes, excités (on ne s’en lasse pas).
Le fouetteur détache Jessica et les 2 filles doivent se mettre comme au début face à la caméra les jambes écartées et les mains derrière la tête. Puis Jessica se frotte un peu les fesses douloureuses et tout le monde sort.

les talents de Jessica sont multiples

Très belle séance fessée dans laquelle, je me répète, je ferais bien un troisième personnage à punir. Je préférerais être corrigé par une Maîtresse et pas par un fouetteur mais dans cette histoire c’était quand même une Dominatrice qui commandait.
J’accepterais certainement le traitement de ce punisseur mâle car entouré par deux femmes magnifiques et très sexy. Cela devrait être un très grand moment.

Une petite question.
Pensez-vous que le nombre de coups reçus par ces deux magnifiques et excitantes femmes était suffisant ?
Pour ma part je me condamnerais à un nombre plus important.

On peut rêver !
 

Et bien sûr, n’hésitez pas, comme d’habitude, à donner votre appréciation.

A la prochaine.


Update

Je viens de trouver un lien rapid pour cette vidéo où les fesses magnifiques de ces 2 jeunes femmes apprécient les verges. Je vous invite à lire cet article.
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 08:15
Dans le but de me mettre dans le bain, pour le chauffage de fesses prévu, je surfais un peu du côté d’OWK et suis arrivé chez cette Maîtresse.

Le site est, il me semble, en espagnol (une langue que je n’ai jamais apprise). Mais les images de qualité parlent d’elles même.





La Domina est très belle, sexy, semblant bien dans son rôle de Femme dominatrice. Elle est aussi très bien équipée (en plus de sa plastique) en matériel de domination. Ses locaux et instruments doivent pouvoir satisfaire les plus exigeants des amateurs de châtiments corporels.







Pour moi c’était un bon nettoyage optique (me suis bien rincer l’œil) et l’information est aussi bien passée en dessous de la ceinture ;-)











Vous m’en direz certainement des nouvelles !
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Samedi 25 août 6 25 /08 /Août 17:19
La dernière fois, Princesse Christine m’avais laissé dans un carcan, sans lumière, tout nu et les fesses déjà fustigées durant l’interview. Elle m’avait promis une surprise et était partie.


J’entends des pas dans le couloir, une clé tourne dans la serrure et la porte du bureau s’ouvre. La lumière est rétablie.
Princesse Christine entre. Elle s’est changée et porte maintenant un ensemble très chic. Gants de cuir noir, jupe juste au dessus du genou, bas fins de couleur brun foncé, chaussures à talons hauts et fins. Elle porte aussi un grand sac.

Mais la vraie surprise c’est de voir une autre Vergère, Maîtresse Jana (sa nièce) la suivre. Celle-ci est habillée plus que sexy, je dirais même plus, de manière indécente. Mini jupe serrée de latex brillant noir au raz des fesses. Chaussures fines noires à très très hauts talons (comment arrive-t-elle à marcher avec?). Et entre les deux, des jambes magnifiques. En haut elle a un chemisier blanc semi-transparent qui laisse un peu plus que deviner ses seins magnifiques en liberté. Comme elle se déplace, ses tétons très fermes et semblant excités se promènent sous la fine chemise. Elle porte aussi des gants mais en latex et montant jusqu’au-dessus des coudes.

pourquoi Maîtresse Jana a-t-elle de si longs gants sexy?

Toc, tac, swift, toc, tac, toc, swift, tac, toc, tac (2 paires de hauts talons se rapprochent de moi dans une démarche très excitante).

Maîtresse Jana tient dans chaque main une longue baguette qu’elle fait siffler en marchant avec un petit sourire sadique. Elle les laisse tomber devant moi puis vient se placer devant mes yeux en s’abaissant. Sa mini jupe tendue en latex montre bien ce que j’avais soupçonné, elle ne porte pas de slip et a le sexe bien rasé.

Sans avertir elle m'empoigne par les cheveux, me tire la tête en arrière et de l'autre main m'administre deux gifles aller-retour et sonnantes. Puis elle se relève et rebaisse bien sa jupe serrée sur ses belles cuisses.

PC : "Voilà jeanber, la surprise. Jana, qui est quelques jours chez moi, a tenu à participer aux réjouissances. Elle aussi n’avait pas apprécié une petite partie de la fiction"

Maîtresse Jana : "Tu te souviens salaud quand tu avais profité que j’avais peur des orties et que ma tante m’avais fait souffrir avec ces feuilles urticantes. Tu vas le regretter"
Maîtresse Christine s’avance vers moi, ouvre son grand sac et je vois une quantité d’orties fraiches gardées avec leurs racines dans la motte de terre humide. Elle pose le sac bien ouvert devant ma vue.
De vraies connaisseuses ces deux Maîtresses. Elles savent que des orties coupées et transportées ne sont presque plus efficaces. Mais celles du sac sont intactes.

JB : "nnnnnhhhhh" (je ne peux que faire un petit bruit avec mon bâillon boule dans la bouche)
Impatientes de profiter au plus vite de ces plantes urticantes, Maîtresse Christine me tient bien les fesses et les cuisses écartées et Jana empoigne, avec ses gants de latex brillant montant jusqu’aux coudes, une bonne touffe d’orties et commence à me masser l’entre jambe. Ahhh ce que ça pique, brûle. Les fourmilles envahissent les chairs sensibles.

Chaque fois qu'elle revient chercher une nouvelle série d'orties fraiches, sa jupe noire s'agrippe à ses cuisses magnifiques mais remonte assez pour laisser voir ses trésors. Debout, elle réajuste son vêtement de latex puis continue son travail de punition.

Jana est très méthodique en passant par les fesses entières, les cuisses tout autour, les mollets.
Elle a pris soin de garder une touffe pour me badigeonner les seins.

Toutes les parties très sensibles picotent terriblement.

PC : "Voilà, les orties ont donné le maximum. J’espère que tu as apprécié. Jana a réussi à vaincre sa peur des orties et avec ses gants elle ne risquait rien. C’est moi par contre qui me suis fait toucher l’avant bras avec les orties en t’écartant les cuisses au maximum. Je sens terriblement piquer encore maintenant"
(Je pensais, bien fait pour sa pomme mais elle continue à me parler)

Je vois à nouveau, comme si je les avais oubliées, les 2 terribles baguettes de noisetier posées devant mes yeux.

PC : "Tu te souviens m’avoir envoyé de manière humiliante chez BFE, fait porter le slip Formicul comme les autres du Conseil et aussi fait participer aux démonstrations de fin de BAF, du côté punie, sous prétexte que cela était indispensable pour mon doctorat de Fesséologie ? Tout se paie mon gaillard"
Pendant qu’elle me parle, Maîtresse Jana ramasse les deux instruments de correction trouvés en forêt et j’entends siffler les verges. Elle teste dans l’air la souplesse et la flexibilité de ces deux longues baguettes de noisetier. Ce son est très excitant à entendre.

Aie, encore des instruments de fouettage qui peuvent être extrêmement douloureux si elles les utilisent au max.
Je n’ai pas le temps de penser à autre chose car les salopes commencent à me fesser à tour de rôle sur chaque fesse (je n'utilise habituellement pas de mot vulgaire mais c'est la pensée qui me vient quand je sens vivement les baguettes de noisetier).
J’entends leurs talons se promener derrière moi.

Toc, toc, toc,  hazel
Toc, toc, tac, tac, tac, hazel …
Dès qu’une Dominatrice a fini d’appliquer la baguette sur une fesse, elle s’écarte un peu et l’autre s’approche pour me montrer l'effet de l’arrivée à grande vitesse de la baguette de coudrier.
Je ne vous explique pas que c’est très douloureux, intenable, insupportable mais que faire, coincé dans le carcan.

Laquelle fouette le plus fort? Comme j’étais déjà un peu habitué à la maitrise de la Princesse, il me semble que Jana est encore plus cruelle et sans pitié. Mais je ne peux l’affirmer car j’entends uniquement leurs talons pointus sur le parquet, j'ai interdiction d'essayer de tourner la tête.

Toc, toc, toc,  hazel
Toc, toc, tac, tac, tac, hazel …
Après ce qui me semble une douzaine de coups sur chaque partie de mon derrière, le fessestival s’arrête et Maîtresse Christine recommence à parler.

l'application d'orties fraiches n'était qu'une partie de la punition infligée

PC : "Je te remercie jeanber pour cette interview. Je vais te laisser en paix maintenant et te libérer"
Elle m’enlève le bâillon et ouvre le carcan.

JB : "Merci Cri-cri, cela me soulage cette gentillesse de ta part"

PC : "Ce n’est pas parce que l’interview est terminée que tu peux avoir de la familiarité avec moi. Je reste tout de même une Princesse à qui l’on doit le plus strict respect. Compris ? "
Crack, crack, crack (elle me donne 3 coups très appuyés avec sa cravache)
Elle manque vraiment d'humour !

Je peux enfin me remettre debout. Je me frotte les fesses car elles me démangent énormément. Il y a aussi une fourmilière entre mes jambes. Les orties et le noisetier ont vraiment  fait un ravage. Elles sont complètement cassées ces bonnes femmes de me fustiger de la sorte. Elles savent précisément ce qui fait mal et où et comment le faire.

Je me rhabille enfin.
Jana dans un élan pour faire plaisir s'est installée sur une chaise les jambes croisées et un peu écartées. Elle arriverait à faire oublier le châtiment reçu.

JB : "En acceptant cette interview, je ne m’attendais pas du tout à être fessé ainsi pendant l’entretien. Et pourtant je vous connais très bien car c’est moi qui ai créé votre personnage. Vous m’avez vraiment montré ce que signifie une véritable correction dirigée par une professionnelle des fouettages"

PC : "Cela montre surtout que tu te trompes parfois comme cela est arrivé dans le résultat de l’élection. Tu n’avais pas prévu cela"

JB : "Car tout cela reste toujours une fiction, Prinnnnnnncess Christine"

PC : "Encore ton humour à la PI, jeanber"

pas facile de détacher son regard des jambes de Maîtresse Jana

Maîtresses Jana est toujours silencieuse mais, quelle allumeuse quand elle décroise et recroise ses jambes assise sur la chaise. J’ai vraiment de la peine à me concentrer pour l’interview.

JB : "Puis-je à mon tour vous poser une question ? Elle est un peu personnelle"

PC : "Je t’en prie"

JB : "A propos de la BAFfeuse Erika, je n’ai pas osé la mettre dans la fiction car je savais que …"

PC : "… que je couchais quelque fois avec elle"

JB : "Oui Princesse Christine je le savais dés le début"

Comme je parle de la liaison de la Princesse avec Erika, j'ai l'impression, mais je peux me tromper, que Jana me lance un regard noir et montre un petit moment un visage très dur. Mais très vite son magnifique sourire revient.

PC : "Je te remercie de cela mais ne vois pas d’inconvénients à le rendre publique et Erika est aussi très ouverte à laisser passer cette info.
Erika n’aime pas du tout être fessée. C’est un point qui me chagrine car comme tout le monde le sait j’aime beaucoup infliger des punitions corporelles particulièrement avec différentes baguettes, canes et autres instruments similaires. Erika a d’ailleurs quitté son copain car il insistait tellement pour lui donner des fessées et la plupart du temps elle cédait. Il était particulièrement vicieux dans le choix des instruments. Il les choisissait extrêmement douloureux. Certaines canes, synthétiques surtout, font déjà crier lors d’une utilisation à force faible. Son copain savait aussi à quels endroits appliquer les canes ou les baguettes. Par exemple à la jonction des cuisses et des fesses ou sur le haut et les côtés des cuisses"

JB : "Une vraie brute, son mec. J’aurais pu, dans la fiction, l’envoyer chez DsK"

PC : "C’est sympa pour ton intention mais comme dans toutes les choses, il y a souvent quelques enseignements à en tirer. Erika a ainsi appris exactement où et comment faire très mal en fessant. Et cela tombait bien car si Erika n’aime pas être fouettée, même pas quelques claques à la main, elle adore corriger les autres. Elle utilisait chaque fois la Valise avec grand plaisir"

JB : "Je le savais et c’est pourquoi elle était dans le groupe des BAFfeuses"

PC : "Moi qui passe une partie de mon temps à fesser et organiser des activités sur ce sujet, j’apprécie beaucoup parfois me faire fustiger par Erika. Nous appelons cette activité la déstresse. Et ainsi je profite à mon tour de l’expérience du vécu quand je fouette un esclave ou une autre femme"

JB : "C’est bien le partage des connaissances !"

PC : "Ca va jeanber, ne te fous pas de moi ! Et après la déstresse j’apprécie aussi le savoir faire classique d’Erika au plumard"
Il parait que cette ancienne institutrice est une vraie étalonne avec les autres femmes. Pour les hommes il faudra l’oublier, l’expérience punitive avec son copain l’a dégoûtée des mâles.

Mais si vous cherchez, visiteuses ou visiteurs, une fouetteuse très sévère, Erika ne refusera pas de vous corriger. C’est une manière pour elle de se venger de son ancien compagnon.

PC : "Il y a cependant une chose que tu ne devras pas rendre publique, jeanber, car mon amante Erika n’apprécierait pas du tout" (elle me le dit tout bas)

Je vous livre l’info, on est entre nous, mais vous ne la dites à personne et ne la rendez pas publique.
A part ses qualités de fouetteuse et d’étalonne, Erika n’est pas du tout féminine avec son genre de garçon manqué et habillée en jeans pour hommes. Et c’est la raison pour laquelle Maîtresse Christine reçoit très souvent une autre femme dans son lit, une très belle et jeune femme infatigable quand il s’agit de sexe.
Elle n’a qu’un petit défaut, elle n’est pas du tout intéressée par les fessées. Cela peut arriver, car pas toutes les personnes n’ont ce phantasme.

Mais je me répète, ne dites à personne que la Princesse Christine a encore une autre amante que Mlle Erika.

JB : "Si j’ose, j’aurais encore une autre question moins personnelle"

PC : "Vas-y"

JB : "Qu'avez-vous comme activité depuis la dissolution de la BAF"

PC : "J’ai un gros projet en route et retourne en Verginie pour être un peu au calme. Mais je peux communiquer avec mes amis par Internet. Malheureusement très lentement car j’ai une petite boîte qui clignote avec plusieurs fils qui vont vers le téléphone" (c’est vraiment le moyen âge la Verginie)

JB : "Cela s’appelle un modem. Et si vous m’offrez un séjour dans le pays des meilleures verges pour fessées, je regarderai s’il est possible d’améliorer les choses"

PC : "J’accepte de bon cœur et te ferai aussi goûter quelques baguettes fraiches de Verginie"

JB : "Affaire conclue"
Je ne peux qu’apprécier cette proposition d’une connaisseuse.

PC : "As-tu d’autres questions à me poser ? "

JB : "Non. Je voulais juste encore vous féliciter pour votre doctorat en Fesséologie"

PC : "Tu es adorable JeanBer. Cela me touche beaucoup"

JB : "Savez-vous quand sortira cette interview dans l’Echo des Fessées ? "

PC : "Si tout va bien la semaine prochaine. Juste avant ton voyage en Verginie"


Voilà, je vous passe les civilités de fin d’interview et vous retrouve bientôt pour d’autres articles.
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 10:33
(Si vous avez manqué le début de cette interview fiction reportez-vous à cette partie)


PC : "Venons en maintenant à ton humour un peu particulier. C'est plus que du second degré"

JB : "Oui, je dirais même entre trois et quatre. Disons 3.1416"

PC : "Si mes souvenirs d'école sont bons c'est PI, le rapport entre le diamètre et le tour d'un cercle"

JB : "Bravo Princesse Christine! Il y en a dans votre tête de blonde"

PC : "Tu te fous de moi!"
Slap, slap, slap, slap

PC : "Penche-toi sur ce support! Présente moi bien tes fesses! Je vais t'apprendre à te moquer de moi! Tu vas recevoir 12 coups de canne et si tu bouges trop, je recommence. Compris esclave?"

JB : "Oui, oui Princesse Christine. Ne me massacrez pas!"

PC: "Tu n'as rien à dire à part "Oui Princesse Christine", tu n'as pas de droits avec moi. Va te mettre en place, tout de suite. Compris?"

JB : "Oui Princesse Christine!"
Switch, switch, switch, switch, …

JB : "oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, aaaah"

PC : "Ne bouge pas!"

JB : "Oui Princesse Christine!"
(la salope, ce qu'elle fouette fort, sur les fesses, le haut des cuisses, la limite entre les fesses et les cuisses. Ce que ça fait mal!)
Switch, switch, switch, switch, switch, switch, switch, switch

JB : "oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhh, oouhhhh"

PC : "Remets-toi à genoux devant moi et continuons cette interview"

JB : "Compris Princesse Christine!"

PC : "Ton humour en PI c'est un peu pour construire des cercles vicieux?"

JB : "Dans ma fiction je ne cherchais rien de vicieux. Par contre en relisant l'histoire, il est vrai que certaines Maîtresses étaient particulièrement vicieuses en punissant"

PC : "Attention à ce que tu vas dire jeanber. Tu as connu la Valise et elle pourrait reprendre du service avec toi"
(c'est vrai je pensais à Maîtresse Christine qui avait parfois un plaisir vicieux en punissant. Mais je dois faire gaffe car elle serait capable de me remettre dans le carcan de la Valise. C'est du délire cette interview)

PC : "Penses-tu à une suite pour cette fiction et y aura-il à nouveau un rôle pour moi?"

JB : "Vous savez Princesse Christine, il y a différentes idées qui me trottent dans la tête mais encore rien de très précis"

PC : "Si tu m’oublie dans une autre fiction, gare à tes fesses. Compris petit blogger ?"

JB : "Oui, oui Princesse Christine"

PC : "Dans le monde virtuel de la BAF, n'as-tu pas pensé à mettre des avatars?"

JB : "Non Princesse Christine. Si je savais bien dessiner comme par exemple Clodlemaire, j'aurais pu illustrer par des croquis pour exprimer précisément ce que je pense. Ou si j'étais équipé pour faire des photos, un côté plus réel aurait pu ressortir. Mais vous savez, des photos d'Internet de réelles belles fesses fustigées ou de Maîtresses véritables illustrent aussi très bien ce que je veux faire passer"

PC : "Tu t'es bien amusé dans ce monde virtuel"

JB : "Bien sûr, le monde virtuel de la BAF permet tous mes phantasmes. Il donne beaucoup de liberté. Je peux y inclure de belles femmes sexy, excitantes. Des personnes qui aiment fesser sévèrement, des personnes que je peux faire fouetter quand c'est mérité. Mais franchement, je n'ai pas eu l'impression de dépasser les limites"

PC : "Quand tu as retenu Madame Bernadette une nuit de plus chez BFE, tu y as été un peu fort non?"

JB : "Oui, je l’avoue. Elisabeth, oups ! Bernadette, je la trouvais très prétentieuse et je me suis un peu laissé aller. Pour la fiction, le monde virtuel permet de faire beaucoup de choses que je ne me permets pas dans la vie réelle. Cela autorise de se défouler. Mais je me répète, j’ai vraiment essayé de ne pas dépasser les bornes et il me semble avoir réussi quelque chose de sympa"

PC : "Il y a deux choses dans ta fiction que je n’ai pas du tout aimé et ni trouvé sympa. C’est l’obligation que j’ai eu de mettre la culotte Formicul et mon passage ensuite chez BFE. Et pour cela je t’ai préparé une petite surprise. Va me chercher la Valise"

JB : "Non, non, je vous en prie Princesse Christine"

PC : "Obéis sinon…. ". Elle me menace de sa terrible cravache.
Il ne me reste plus qu'à lui ramener la Valise. Elle y extrait le carcan et me donne des coups de canne pour me montrer de m’y installer. Elle m’immobilise dans ce support que j’ai si souvent fait subir aux autres dans l’aventure de la BAF.
Puis elle me met encore un bâillon boule. Comment puis-je encore répondre à ses questions ?

drôle d'interview avec cette balle en bouche

Je commence à paniquer car je ne veux plus de fessées.

PC : "Voilà, tu n’as plus qu’à patienter un petit moment. Tes fesses n’ont encore rien vu jusqu’à présent. Ce n’était que l’apéro. Le plat de résistance ne va pas tarder"
Toc toc toc toc (elle s’éloigne de moi de sa démarche excitante, éteint la lumière, sort de la pièce et ferme la porte à double tour)

Une vraiment drôle de sensation. Tout nu, dans le noir, les fesses déjà sensibilisées par différentes fessées. A quatre pattes dans le carcan dont je sais qu’il est impossible de s’échapper car la maison JBM & Fils n’a jamais livré du matériel défectueux.

Que va-t-elle me faire subir ? Je la sens capable de tout. Je la connais que trop bien.
Depuis combien de temps est-elle partie ? Difficile d’avoir la notion du temps dans le noir.
La position dans le carcan commence à être de plus en plus désagréable.

Une demie heure, une heure, plus? Je suis très impatient qu’elle revienne avec sa surprise et qu’elle me libère. J’en ai mare !


Eh bien c’est le moment de vous laisser, visiteuses et visiteurs de mon blog.
A bientôt pour la suite de cette interview fiction avec Maîtresse Christine.
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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