On peut rêver

Mardi 17 avril 2 17 /04 /Avr 05:49
auparavant


Dans cette fiction, revenons au voyage du trio. La situation était intéressante.
Renauld savait que Bernadette allait à Londres pour être sévèrement corrigée mais ne soupçonnait pas la cause de ce désagrément.
Pascal n'en savait pas beaucoup plus et n'avait pas fait le rapprochement de la faute de Bernadette par rapport à Renauld.
Bernadette, quant à elle, avait à côté d'elle la personne responsable de son futur Châtiment et en face la personne qui l'empêchera d'y échapper.

Comme le train arriva à Paris, Renauld donna une carte de visite à Bernadette en lui disant de l'appeler en cas de besoin puis et les quitta.
La suite du voyage jusqu'à Londres se passa tout à fait normalement. A la gare, un véhicule de BFE les attendait. Madame Bernadette a eu une petite hésitation avant d'y monter.

A l'intérieur, la future punie a tout de suite été mise dans l'ambiance. Il y avait quelques photos où des femmes étaient fessées mais surtout, on entendait des sons de fouettées aux baguettes et verges avec les cris et les pleurs d'une pauvre fustigée. Bernadette entendait aussi les ordres de remise en place des fesses après un coup. Le Maître semblait très sévère. Madame Bernadette reçu aussi une feuille avec quelques instructions et règles à respecter à l'intérieur de l'institution "Birch For Ever".

Arrivés devant la porte de cette maison de correction, le chauffeur et Pascal durent insister un peu fermement pour la faire sortir de voiture. Ils la prirent chacun par un bras et la forcèrent à entrer chez BFE. A l'intérieur, Bernadette passa rapidement l'ECG (empreinte de comportement général) et après une petite collation, elle fut emmenée dans le dortoir. Il n'y avait qu'une autre personne, une jeune femme qui attendait visiblement une punition sur ses fesses. Elle était couchée sur un lit, les mains et les chevilles attachés au lit par des sangles et le derrière soulevé par un coussin sous son ventre.

cette actrice aimait être fessée

Cette femme raconta à Bernadette qu'un film était actuellement tourné et qu'elle jouait le rôle d'une fille dont le père utilisait très souvent les verges pour se faire obéir. C'était pour un film mais avec des fessées bien réelles et qui faisaient très mal. Mais elle aimait beaucoup ces traitements et y prenait vraiment du plaisir.
Un moment plus tard, du personnel de BFE annonça à Madame Bernadette qu'elle jouera la doublure de la mère de la jeune fille immobilisée à côté d'elle. On ne verra pas son visage mais le reste de son corps, en particulier les fesses, les cuisses, enfin des parties prévues pour être fouettées. Bernadette ne s'attendait pas à jouer une doublure dans le film "Toujours une de prête".

Bernadette fut aussi attachée sur le lit. Puis l'équipe de tournage se mit en place et les punitions aux baguettes et verges pouvaient commencer. C'était de la vraie correction comme l'aiment les nombreux amateurs de spanking vidéo. Il y avait des cris, des pleurs, des ordres de bien présenter les fesses, des sons de baguettes qui fessaient sévèrement, des derrières qui se tortillaient. Bref, tous les ingrédients pour des vidéos de qualité.

Le lendemain, la journée commença tôt pour enregistrer le maximum de séquences et de châtiments corporels. Bernadette avait mal dormi. Elle comprenait qu'ayant fait une faute en oubliant un rendez-vous, elle devait être punie. Elle avait accepté le règlement de la BAF. Mais être utilisée comme doublure de fesses pour tourner des vidéos de cul dont le bénéfice ira à BFE, ça elle avait de la peine à accepter.

Des quelques scènes tournées le soir avant, elle avait compris que les fessées étaient réelles, dans des conditions réalistes. A aucun moment du maquillage ou du trucage était utilisé. Les amateurs de ce genre de film demande du véritable, de vrais marques, de vrais plaintes, cris, pleurs. De vraies réactions aux coups de baguettes. De vrais bruits de verges qui fendent l'air avant de frapper un derrière rougissant.
L'actrice qui interprétait la mère avait d'ailleurs refusé catégoriquement de se dénuder et encore plus d'être fouettée. Il avait donc bien fallu trouver une solution.

Le cas de la jeune femme qui interprétait la fille ainsi que celui du père était différent. Ils étaient des acteurs spécialisés dans ce genre. La demoiselle était une vraie maso. Elle était bien payée car elle permettait des corrections très sévères. Tandis que Madame Bernadette devait simplement recevoir le Châtiment et BFE en profitait. Il faut dire qu'elle convenait parfaitement comme doublure. Même corpulence et âge. Et son corps était très sexy avec des cuisses et des fesses parfaites.

Bernadette n'avait plus qu'à supporter ces traitements jusqu'à 15 heures quand Pascal reviendrait la chercher. A 15 heures moins quart, elle eut enfin le droit de se rhabiller. Elle avait vraiment l'arrière train en feu. A 15:30 le BAFfeur Pascal n'était toujours pas arrivé. Pour faire passer le temps, Madame Bernadette eut droit à des massages relaxant avec une pommade spéciale après fessées. Vers 18:00, l'accompagnant de Bernadette n'était toujours pas arrivé ni atteignable, on lui annonça qu'elle devrait passer encore une nuit chez BFE.

chez BFE, souvent les cuisses sont aussi de la partie

Le contrat entre la BAF et BFE prévoyait cela car la femme fustigée devait être accompagnée au retour de Châtiment. Il stipulait aussi que toutes les femmes envoyées par la BAF serait fessées avant l'extinction des lumières de dortoir. Le fait que Bernadette était là à cause de l'absence du BAFfeur n'était encore jamais arrivé et aucun règlement n'en parlait. Elle sera donc punie normalement ce soir. Bernadette se fâcha vraiment et commença à  insulter tout le monde. Quelques gifles de la directrice arrivèrent à la calmer.

La production du film en profita pour refaire quelques prises de vue. C'est au moment où Bernadette subissait une très sévère fessée aux verges de rotin que Pascal se pointa. Il avait bu des bières dans les pubs avec un ancien copain et avait complètement oublié le rendez-vous. Il dormit chez BFE, surtout pour se dessouler. Et le lendemain, il pourra raccompagner sa cliente.

Le retour en train se passa normalement. Des voyageurs étaient juste un peu étonnés de voir une belle femme élégante, sophistiquée, voyager debout en première classe. Bernadette avait plusieurs raisons de se comporter ainsi. Elle avait bien sûr très mal aux fesses et s'asseoir ravivait le feu reçu à Londres. En position assise, sa robe un peu courte aurait laissé voir des marques. Et pour soulager son derrière encore très douloureux elle ne portait pas de slip.
C'est durant ce voyage qu'elle prit la décision de démissionner. Les punitions de la BAF étaient trop injustes.

Pascal fut aussi très déçu de ne plus voir le haut des cuisses de cette belle femme qu'il avait oublié de rechercher le premier soir. Mais la conséquence de cet oubli ne se fit pas attendre et Pascal fut très vite accompagné chez DsK pour le Châtiment.

Quant à Madame Bernadette, elle retrouva la carte de visite du Gaffeur dans ses affaires. Comme elle avait besoin de parler, elle téléphona à Renauld. Il parait qu'il a été très désolé de ce qui est arrivé aux fesses de la belle femme et qu'il n'a pas ménagé ses efforts pour se faire pardonner.
Mais cela est de leurs affaires privées et nous n'avons pas à nous en mêler ;-)

BFE réalise des vidéos très excitantes


Pour aujourd'hui ce sera tout. La prochaine fois, je vous parlerai d'une animatrice blonde puis d'un gaillard qui ont eu affaire à la BAF.


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 06:00
auparavant



Aujourd'hui dans cette fiction, j'aimerais vous parler du passage dans la BAF de Madame Bernadette. C'était une astrologue célèbre mais après la cinquantaine elle avait moins de succès et trouva à s'engager comme Call. Certains Gaffeurs appréciaient beaucoup son charme, sa classe. Elle était toujours en tailleur très chic, quelques bijoux, des bas foncés et bien sûr des hauts talons. Quand il faisait un peu frais, elle portait aussi des gants en cuir noir.
D'autres personnes la trouvaient hautaine, prétentieuse, une de ces femmes qui pète plus haut que son cul.

Pour la BAF, malgré toutes ses qualités, elle avait un défaut, souvent la tête dans les étoiles il lui arrivait d'oublier des points importants. Et ce qui devait arriver arriva, elle oublia d'accompagner à l'hôtel un ancien patron méritant la Punition.
Ce retraité malgré le fait qu'il avait dépassé de plusieurs jours les 6 mois en Suisse, put repartir tranquille en France. Il avait de toute façon décidé de retourner chez lui.

Madame Bernadette s'est donc retrouvée dans un train en première classe en direction de Londres et accompagnée d'un BAFfeur prénommé Pascal. Celui-ci, ancien responsable de filiale industrielle, s'est retrouvé en recherche d'emploi après la restructuration de l'entreprise. Beaucoup l'appelaient "Courtes-cuisses" car il était assez bas sur pattes, pas très grand, même un peu gros. Le job d'accompagnateur pour les Châtiments lui convenait bien. Il ne s'embarrassait pas de sentiments envers les autres. Cela ne lui changeait d'ailleurs pas beaucoup de son travail dans l'entreprise d'électronique.

Le BAFfeur Pascal prenait un malin plaisir d'escorter des personnes à châtier. Et Madame Bernadette assise en face de lui était excitante. Il arrivait, en se baissant un peu, à voir le sommet des bas et un peu de cuisse blanche. Ces trésors le faisaient bander.
Un monsieur assis à côté de la belle femme n'avait pas une aussi bonne position pour reluquer mais voyait bien le manège de Courtes-cuisses.

Bernadette, elle, avait d'autres préoccupations et ne remarquait pas les coups d'œil de Pascal. Comme tout le personnel de la BAF, elle avait pendant sa formation, vu ce qui arrive quand le règlement est bafoué. Des vidéos tournées chez BFE pendant que des membres désobéissants subissaient le Châtiment n'incitaient que peu de personnes à connaître les mêmes fessées. On y voyait, entre autre, une femme nue immobilisée sur un support recevant 50 coups de baguettes. Pour une autre, c'était 10 minutes de verge en rotin à 4 pattes sur le lit avant de pouvoir se coucher. Et ces désagréments allaient arriver à elle pour un tout petit oubli sans conséquence. Elle n'aimait pas être fessée et encore moins avec des baguettes et des verges sur ses fesses dénudées. Le règlement de la BAF lui apparaissait trop sévère. Plus le train avançait plus sa trouille d'avoir mal augmentait. Et très douloureux, cela sera forcément.

une amatrice de fessées pendant une correction chez BFE

Elle fut interrompue dans ses idées noires par le monsieur assis à côté d'elle. Il engagea la conversation en demandant où elle allait. Elle lui répondit à Londres. Lui-même expliqua, et cela ne s'invente pas, qu'il retournait en France. Il se prénommait Renauld et était cadre retraité d'une grande entreprise automobile. Il avait bien dépassé de quelques jours le délai fiscal autorisé mais ne pensait pas que cela était très grave. Et de toute façon il n'arrivait pas à s'habituer aux raclettes, fondues, tranches au fromage, röstis.
Madame Bernadette comprit très vite que c'est à cause de ce monsieur qu'elle se trouvait en route pour BFE à Londres et elle eut envie de le gifler.

Pascal ne trouva rien de mieux que d'expliquer qu'il accompagnait Madame à Londres chez Birch For Ever qui est une maison spécialisée dans l'amélioration de la concentration et de la mémoire. Et qu'on la trouvait facilement sur Internet. Madame Bernadette était de plus en plus mal à l'aise. Le monsieur à côté d'elle était en train de chercher des renseignements sur BFE à l'aide de son mobile à accès Internet. Et un peu plus tard, il a suffit à Bernadette de regarder vers son voisin pour voir la présentation de l'institution "Birch For Ever".

Le téléphone portable de l'ancien Gaffeur affichait les caractéristiques de cette maison de correction réputée et connue pour sa qualité. La première page montrait différentes baguettes et verges. Quelques images de fessées où les personnes avaient leurs fesses dénudées, rougies, striées et surélevées pour bien être accessibles aux différents instruments.

Il y avait aussi expliqué le genre de clients qui fréquentaient ce lieu. C'était principalement des nostalgiques des années scolaires. Des personnes timides qui voulaient se prouver quelque chose. Mais aussi des hommes et des femmes venant de différentes sociétés. Certains cadres se soumettaient à ces jeux par défi, d'autres venaient en stage de durcissement. Et enfin des personnes, pas du tout volontaires, qui étaient envoyées en punition par leur entreprise, des autorités ou leur conjoint. Cette maison, comme plusieurs du même genre, produisait aussi des vidéos pour les personnes fantasmant sur les fessées. Comme clients de BFE, il y avait aussi des acteurs, et pour ceux qui ne voulaient pas être fouettés, des doublures qui présentaient leurs fesses aux baguettes sans montrer leur visage.

une très sévère Maîtresse travaillant chez BFE

Le voyageur crut deviner que sa belle voisine devait avoir fait une très grande bêtise pour être accompagnée chez BFE. Il se retourna vers elle et eut de la peine. Elle était en effet très tendue et semblait avoir peur. Il essaya de lui parler gentiment pour la dérider mais rien n'y fait. Elle ne restait pas en place et ses belles jambes gainées de nylon se croisaient, se décroisaient. Le BAFfeur Pascal, en face, observait furtivement les trésors de Madame Bernadette. Il se demandait si au retour il verrait les traces du châtiment corporel sur le haut des cuisses de la Madame.



Pendant que le voyage se poursuit, je dois vous raconter un peu plus sur le premier livre de Heidi. Son premier roman, "Toujours une de prête", eut tellement de succès qu'un producteur voulut en faire un film.

En gros, le livre raconte l'histoire d'une famille ordinaire: le père, la mère et leur unique fille de 22 ans qui habitait encore à la maison. Le père ne pensait qu'à son travail et les 2 femmes s'ennuyaient un peu dans une ville où il n'y avait pas beaucoup de divertissements. Un jour, revenant un peu plus tôt de son boulot, le chef de famille (en fait c'est sa femme qui portait la culotte) entendit des cris et des pleurs au salon. Il crut aussi entendre des bruits de verges que l'on applique vigoureusement sur des fesses nues.

En silence, il s'approcha du salon, et vit les deux femmes de la maison visionner une vidéo érotique: "The Birching of Bernadette" (la fessée à la verge de Bernadette). Sa fille avait même la main dans sa culotte et se caressait. Il eut alors une idée et allait profiter de cette situation. Jusqu'à présent, sa femme l'avait mené sévèrement, pas à la baguette mais en parole. Etant très possessive, elle l'avait complètement accaparé. Son opinion ne comptait pas. Elle s'était arrangée pour l'éloigner de ses frères et sœurs, de ses amis. Il était complètement à sa merci. Mais maintenant, il allait montrer à sa femme qui commandait chez lui.

Il pénétra dans le salon et commença à gifler fortement sa femme puis un peu moins sa fille. Il trouvait leur comportement inacceptable et allait les punir sévèrement. Il leur ligota les mains pour les fixer à une poutre du plafond. Avant de quitter la pièce, il remit la vidéo de la punition de Bernadette avec le son bien fort.


Les malheureuses femmes n'en menaient pas large. Elles ne pouvaient se libérer et ne savaient pas ce qui allait leur arriver. Après un moment le mari revint avec une poignée de baguettes de noisetier. Il en choisit une demi-douzaine et confectionna une verge. Puis il essaya en l'air tous ces moyens de correction et sélectionna une belle baguette longue, souple, flexible à souhait et s'approcha des 2 femmes. La sienne commença à écarquiller les yeux, ordonner de ne pas la toucher, insulter son mari. Rien n'y fait. Il baissa le pantalon et la culotte de son épouse et commença à fesser comme il n'aurait jamais osé le faire auparavant. Il changeait souvent de côté, quelques coups depuis la droit, d'autres depuis la gauche. Le derrière de Madame rougissait à vue d'œil et les marques de baguettes dessinaient un quadrillage de plus en plus fin. Après une cinquantaine de coups il s'arrêta de la fustiger. Elle pleurait à chaude larme et avait perdu de son autorité.

Il prit une autre baguette et fessa aussi copieusement sa fille sans pour autant être aussi sévère qu'avec son ancien gouvernement. La jeune femme semblait apprécier et sa manière de se tortiller le montrait bien. Après un moment sa fille complètement humide laissait échapper des sons caractéristiques et le père l'aida à aller à son terme.

Après ces corrections, il leur annonça que depuis maintenant, c'était lui qui commandait. Et qu'à chaque petite faute, elles recevraient une fessée à la baguette ou aux verges. Pour bien montrer cela, il empoigna la verge et l'appliqua à tour de rôle sur les fesses déjà très marquées de ses deux femmes. Elles devaient aussi veiller qu'il y aurait toujours une verge et une baguette de prête pour ne pas perdre de temps si une fessée s'imposait.

La suite de ce premier roman d'Heidi décrit les différentes fessées que le nouveau chef de famille infligeait. Il y a aussi des détails sur les baguettes utilisées, les positions, les fautes méritant un tel traitement, ce que les fustigées ressentaient.
La première partie du livre explique comment sa femme avait réussi à le mettre sous sa coupe avant la première fessée et son changement radical.


Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. La suite du voyage outre-Manche ce sera pour la prochaine fois.
A bientôt.


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Lundi 2 avril 1 02 /04 /Avr 05:30
auparavant


Voilà, on en était resté au point où Jana, devenue Call et BAFfeuse, chagrinait la Princesse sur un point. Elle caressait les clientes et les clients après la Punition avant de les libérer. Certains Gaffeurs et Gaffeuses s'étaient plaints et Maîtresse Christine avait demandé à sa nièce de se retenir. Le règlement de la BAF ne disait rien à ce sujet.
Jana ne pouvant difficilement se retenir de faire plaisir aux clients après les avoir punis, rangeait les lunettes transmetteuses avant de caresser les Gaffeurs. Elle continuait ainsi ses agréables habitudes sans que le Conseil le sache. Elle avait aussi appris à reconnaitre les clients qui n'allaient pas se plaindre.

après avoir été punis par la belle Jana, certains Gaffeurs ne se plaignaient pas de ses caresses

Un jour pourtant, dans les enregistrements de la Punition d'un tennisman de 35 ans, on entendait des bruits inhabituels. Le Conseil écouta plus attentivement et l'expert fiscal commençait à rougir. Il avait reconnu le bruit d'une gâterie. Cette fois la Princesse Christine était vraiment fâchée et convoqua sa nièce.
Jana était plus attirante que jamais. Les magnifiques seins, qui n'avaient pas besoin de soutien, pointaient de manière provocante sous le pull léger de la jeune femme. Maîtresse Christine n'hésita pas longtemps et lui prit un téton entre le pouce et l'index, le pinça, le tourna et le tira vers le haut. Sa nièce qui n'appréciait pas de tout le traitement douloureux infligé à son sein, donna l'explication entre deux sanglots.
Christine comprit très vite l'histoire. Au début de la Punition, le Gaffeur dans le carcan bandait très fort car Jana l'excitait au plus haut point. Elle était si sexy et provocante. Jana était triste de devoir le fesser et après la correction entreprit de redonner à son sexe la position tendue. Dans sa hâte de ressusciter la queue de son client, elle oublia de ranger ses lunettes dans la Valise et les posa simplement à plat sur une table. Etant blonde, elle ne pouvait savoir que les lunettes transmettaient encore le son. La fellation a alors été transmise dans son intégralité.

Après ces explications, Maîtresse Christine ordonna à sa nièce de se dévêtir complètement. Ensuite, elle l'installa sur le dos sur un support à ressorts et l'immobilisa avec des sangles. Les jambes écartées par une barre fixée aux chevilles et tirée vers le haut pour légèrement décoller son postérieur du support. Que son entre-jambe était bien présenté et accessible!
Elle laissa sa nièce ainsi et convoqua le Conseil pour décider si une punition devait être appliquée à Jana.

Le Conseil devait décider, comme la pipe effectuée par Jana n'était pas expressément interdite par le règlement, s'il y avait eu récidive. Maîtresse Christine avait déjà demandé à Jana de ne pas caresser ses clients. La question était, est-ce que la fellation est considérée comme une caresse. L'expert fiscal et la parfumeuse pensaient que oui, la psychologue que non car elle n'aimait pas les contacts physiques avec les hommes et trouvait cela dégoutant. Au vote à main levé, cette gâterie fut considérée comme des caresses. Jana devait être punie et la Princesse s'en chargerait. Le règlement serait aussi complété en conséquence en précisant l'interdiction des caresses et fellations des BAFfeuses aux Gaffeurs.

Mais l'informaticien, épris de justice, souleva une autre question. Ce n'était pas la première fois que des membres de la BAF étaient punis pour des faits qui n'étaient pas mentionnés explicitement dans le règlement ou pour des méprises impossibles à éviter. Le règlement et les logiciels ou moyens avait toujours été adaptés après coup. Il osa préciser que le Conseil avait fauté plusieurs fois et par conséquent devrait peut-être aussi être puni.

Maîtresse Christine, comme Princesse, estimait ne pas devoir être corrigée. L'ancien espion et la psychologue pensaient la même chose, que le conseil ne devait pas subir le règlement en cas de fautes. Les autres membres n'étaient pas de cet avis. Un vote à main levée confirma que les membres du Conseil devaient être punis en cas de fautes.

L'opticien pensa à un moyen discret, efficace, servant aussi comme pense-bête, mais néanmoins punitif. Il proposa que pour les 3 prochaines séances, les membres du Conseil porteraient un slip urticant Formicul. L'informaticien confirma qu'il y en avait assez en stock et que le rapport de punition de la Call Claudia avait démontré son utilité. Il précisa aussi que les premières 15 minutes c'est très désagréable voire douloureux et qu'après c'était supportable mais les démangeaisons dureraient plusieurs jours. Il proposa de modifier l'IDS pour vérifier son utilisation pendant les 3 prochaines séances et afficher dans la salle du Conseil le nom du membre qui aurait omis de porter ce slip.

Tous approuvèrent sauf la Princesse qui pensait toujours être au-dessus du règlement. Yaka ordonna donc à tous les membres d'enfiler ce moyen de punition discret pour la séance du lendemain. Maîtresse Christine s'en alla punir Jana.

c'était plus souvent pour des photos sexy que Jana devait avoir les jambes en l'air

La pauvre attendait sur le dos avec les cuisses largement ouvertes depuis déjà une heure. La Maîtresse lui installa une pincette à chaque téton et les tendit vers le haut avec une ficelle et un élastique. Chaque fois que Jana ferait un petit mouvement sur son support à ressorts, elle le ressentirait au bout de ses seins.
La Princesse alla chercher un beau bouquet d'orties et lui badigeonna la poitrine, les cuisses, les fesses, l'entre jambe. Jana n'appréciait pas du tout ce traitement et se tortillait en permanence. Elle faisait peine à voir. Christine avait un plaisir sadique de punir sa nièce. C'est pendant la séance du Conseil, qu'elle eut l'idée des orties car les fessées ne faisaient pas beaucoup d'effet à Jana mais elle était tombée dans les orties étant jeune et en avait horreur.
Un quart d'heure plus tard elle libéra sa nièce en pleurs.

Jana s'ennuyait parfois des paysages de Verginie


Après 3 séances "punitives", le Conseil avait résolu et réfléchi à différentes solutions pour améliorer le règlement et éviter de punir des employés inutilement.
La psychologue, qui était un peu jalouse de la superbe de la Princesse, remarqua que pendant les séances, elle avait un petit sourire en coin pas très compatible avec le désagrément du slip Formicul.

Elle en parla à l'informaticien qui vérifia minutieusement les relevés des détecteurs d'utilisation. Pour la Princesse, l'utilisation commençait 15 minutes avant la séance et se terminait bien après. L'ancien espion de sa Majesté observa que la Princesse s'était arrangée de toujours avoir un esclave maso à sa disposition et de lui faire porter la culotte.

La suite est classique, un BAFfeur fit l'aller retour chez BFE à Londres avec la Princesse tricheuse et les choses rentrèrent dans l'ordre. Le personnel de BFE qui connaissait la Princesse Christine du DsK, préparant son doctorat en fesséologie, savait ainsi que même les membres très importants du Conseil de la BAF n'échappaient pas aux punitions méritées.

Le Conseil décida que chaque fois qu'un membre de la BAF extérieur au Conseil serait puni à cause d'un manquement du Conseil, tous les membres de celui-ci devront porter la culotte urticante pour la prochaine séance.

Quant à Jana il n'y a plus eu de plaintes ou de bruits suspects. S'était-elle arrangée autrement?


Le prochain article de cette fiction parlera d'une astrologue travaillant pour la BAF.
A bientôt


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 05:07
auparavant


Aujourd'hui est venu le moment de vous présenter Jana.

Jana est Vergère d'un petit village de Verginie. Ses parents comme beaucoup d'autres étaient assez sévères. Le père surtout qui, régulièrement, la basculait sur ses genoux et lui donnait une fessée à cul nu. Il ne connaissait que les punitions pour faire obéir sa fille. Elle n'aimait pas être punie mais comme toutes les filles, elle faisait aussi des bêtises. Quand Jana a atteint ses 18 ans, ses parents changèrent de méthode. Elle ne recevrait plus les fessées à la main sur les genoux de son père mais avec une baguette à genoux sur un canapé.

Les claques à la main elle s'en était accommodée. Mais les fessées à la baguette, c'était moins facile. Sa mère, une solide femme, devait lui tenir les poignets pendant que le père s'appliquait à viser les fesses. Comme Jana bougeait et se débattait beaucoup, plusieurs coups atteignaient aussi les cuisses et entre ses jambes. Cela faisait de la peine à la voir se faire corriger de cette manière. Les parents ne comprenaient que la formule: bêtise = fessée à la baguette. Pour faire passer ces mauvais moments, Jana essaya de s'y accommoder, de voir le bon côté de la chose, de se voir chanceuse d'une bonne éducation.
Elle aimait faire plaisir aux gens et donc à ses parents aussi.

Jana est hyper belle

Mais elle ne pouvait s'empêcher de faire des fautes. Comme, tant qu'elle habitait à la maison, les parents lui interdisaient les petits copains, elle fautait souvent sur ce sujet. Elle avait d'énormes appétits sexuels et pas uniquement avec les garçons, qu'elle préférait, mais aussi avec des copines. Elle était connue pour son savoir faire et était toujours de bonne humeur, souriante. En plus elle était très belle, un corps de rêve. Jana avait tout ce qu'il fallait où il le fallait. Sa joie de vivre, son charme, son attirance physique ne laissait personne indifférent. Seuls ses parents,  ne voyaient en elle que leur fille qu'il fallait punir quand elle faisait des bêtises. Ils n'avaient aucune malice et seulement le désir de bien faire.

Dans le salon près du canapé, il y avait un grand vase comportant 3 baguettes prêtes à fustiger. C'était Jana qui devait veiller à ce que ces 3 moyens soient bien flexibles, souples. Ces verges trempaient dans de l'eau avec du produit pour les maintenir en forme. La jeune femme les testait régulièrement sur un vieil oreiller ou fendait l'air pour vérifier leur fraicheur. Elle reconnaissait une bonne baguette au bruit caractéristique qu'elle faisait. Son père se fâchait quand une baguette cassait ou ne lui semblait plus assez sévère. Donc plusieurs fois par mois Jana allait en forêt pour choisir les meilleures baguettes et remplacer celles du vase.


Une fois que la Princesse du Conseil de la BAF, Maîtresse Christine, visita son frère, elle eut l'occasion d'assister à une fessée de Jana. Assez vite elle comprit, en professionnelle des châtiments corporels, que sa nièce prenait un énorme plaisir à recevoir la baguette. Comme elle bougeait beaucoup, en plus de sa mère qui lui tenait les poignets, son père lui tenait une cheville pour arriver à lui viser les fesses. Sa nièce, par ses mouvements, s'arrangeait que la baguette atteigne aussi les cuisses et l'entre-jambe. Elle se plaignait juste pour que ses parents la fouettent comme elle le voulait. Quand elle avait besoin de la sensation de la baguette il lui suffisait de commettre une bêtise. Quand elle testait les baguettes c'était pour entendre leur bruit caractéristique quand elles fendaient l'air.

Christine parla un moment seule avec Jana puis proposa à son frère de la reprendre avec elle et de lui trouver un bon travail. Tout le monde était content. Les parents n'avaient plus le souci d'éduquer leur fille, la Maîtresse prévoyait pour Jana un emploi à la BAF et seule Jana était un peu perdue. Comment allait-elle faire pour satisfaire son énorme besoin de fessées?

Cette envie de baguette lui était arrivée une demi-année après le changement de règlement quand son père décida de la fouetter plus sévèrement à ses 18 ans. Elle s'était bien accommodée aux claques mais la baguette faisait très très mal. Jana avait une fois, de colère, brisé la terrible baguette et laissé les bouts dans la poubelle. Sa mère lui avait demandé si elle l'avait fait exprès et elle reçu, pendant une semaine, tous les soirs une fessée. Une autre fois elle avait fugué et son père l'avait trouvée dans la forêt. Ses fesses n'avaient alors jamais connu de baguette aussi fraiche que cette nuit là. Il ne lui restait plus qu'à y prendre plaisir car elle voulait continuer à faire ses bêtises de jeune femme.

beaucoup d'arbres à verges et baguettes de qualité en Verginie

Maîtresse Christine pensait pour sa nièce à une occupation de Call mais comme il y avait eu plusieurs démissions de BAFfeuses récemment, elle aurait aussi voulu que Jana applique des Punitions. Sa nièce voulait bien essayer. Elle suivit des cours de français, une formation de Call puis une autre de Maîtresse. A 20 ans elle put prendre le nom de Maîtresse Jana et eut à traiter son premier Gaffeur. Elle s'en tira avec un sans faute et réussit à convertir son client. Avec les gaffeurs suivants elle obtenait des succès similaires.

Après 10 mois d'abstinence fessée, elle n'arrivait plus à punir les clientes ou clients sans penser à ses énormes besoins. Elle en parla à sa tante et lui proposa de servir de modèle dans le carcan lors des cours de BAFfeuses. Maîtresse Christine, qui ne voulait pas perdre un si bon élément, accepta. La première fois dans le carcan elle pensa tout abandonner tant la Punition lui était sévère puis, après quelques fois elle y prit un énorme plaisir. Sa joie de vivre était revenue. C'était de nouveau la jeune femme souriante, contente que Christine avait connue en Verginie.

Il y avait quand même un petit quelque chose qui chagrinait la Princesse mais je vous le raconterai la prochaine fois dans cette fiction.


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Dimanche 18 mars 7 18 /03 /Mars 04:27
auparavant


Dans cette fiction, Il y a aussi le cas d'un Gaffeur, bel homme, la cinquantaine, que tout le monde appel "Le tricheur". Depuis l'école il a toujours triché et, évidemment, veut payer le forfait fiscal en Suisse et habiter, comme il l'entend, partout ailleurs.

La BAF lui a déjà appliqué la Punition mais "Le tricheur" se croit malin et ne respecte pas les 6 mois et un jour. Il prend simplement un peu plus de précautions et après tout, quelques fessées données par une belle Maîtresse ne vont pas le perturber dans ces affaires. Mais la BAF est très organisée et, en cas de récidive, applique une correction bien plus sévère et douloureuse.

Ayant intercepté une communication du Gaffeur qui va se rendre dans l'île de France (je sais ce n'est pas original mais c'est comme cela), Yaka envoie un SMS à un BAFfeur pour l'emmener en Verginie. Le BAFfeur, prénommé Jean, escorte donc son gaillard un peu surpris, étonné, même un peu timide. Chez DsK (Domina's Kingdom), après la présentation par la haie d'honneur, il est envoyé au cachot pour y passer la nuit.

le cachot de DsK n'est pas un endroit pour se reposer

Le BAFfeur, quant à lui, pouvait loger dans un bungalow entouré de Maîtresses souvent très sexy. Comme il était très dragueur et culotté, il en profita. Une main aux fesses par-ci, un sein dans la main par-là. Les Maîtresses énervées ne pouvaient pas répliquer aux avances osées de Jean car il était un invité. Il reçu quand même quelques gifles.

Pendant ce temps, lors de l'élaboration de l'ECG (empreinte de comportement général), la première Princesse de la haie signala un petit quelque chose qui l'avait intrigué. Le Gaffeur avait les fesses très blanches, sans marques, ce qui est étonnant pour une personne ayant subit la Punition il y a peu de temps. La BAF fut contactée et, après vérification, s'aperçut que le Tricheur avait pris l'avion pour l'ile. Des investigations supplémentaires montrèrent qu'il avait un jumeau. Et ce frère habitait dans sa maison pour que lui puisse continuer sans problèmes ses affaires.

Chez DsK, c'est la Reine en personne qui alla chercher le pauvre jumeau au cachot et l'installa dans ses appartements. La BAF, ne voulant pas d'ennui, proposa au malheureux une très forte somme. Il devait en contrepartie envoyer un texto à un numéro indiqué dès qu'il apercevrait son frère le Tricheur.

Le BAFfeur Jean, qui prenait du bon temps et s'était trompé en amenant un innocent, fut immédiatement menotté. Les Maîtresses se réjouissaient de pouvoir se venger des humiliations subies (on ne touche pas une Maîtresse comme une petite amie). Jean allait regretter ses gestes malhonnêtes. Après l'ECG par les Princesses, il fut laissé aux bons soins des Maîtresses disponibles. Il fut attaché sur un support, ses fesses bien accessibles. Les cruelles Maîtresses s'en donnaient à cœur joie. Armées de cravaches, canes, fouets courts, elles se mettaient à plusieurs pour le fouetter en même temps. Le pauvre Jean devait deviner qui l'avait frappé. C'était impressionnant comment ces fesseuses pouvaient être dures, sans pitié et Jean n'était pas habitué aux fessées. C'est tard dans la nuit que le BAFfeur maladroit put essayer de dormir un peu.

Le lendemain Jean eut encore à subir le Châtiment car il avait gaffé en escortant le frère du Tricheur. De son côté le Conseil décida d'équiper la Valise de lecteurs d'empreintes digitales et qu'avant chaque ECG les empreintes de la personne à punir seraient aussi relevées. Le Conseil s'assurait ainsi d'éviter les erreurs, les méprises.

le Châtiment est parfois trop sévère à mon goût


C'est le moment de vous dire deux mots sur la Reine Karine. Cette Princesse avait depuis toujours une autorité naturelle très forte, elle était magnifiquement belle et se présenta il y a une année au concours de Miss Verginie. Elle gagna le titre et quitta provisoirement le royaume pour remplir ses devoirs de Miss.
Karine, depuis qu'elle était devenue une femme, avait de très gros besoin. Une vraie lapine qui se faisait sauter par tout ce qui bouge. Les manières soft ne suffisant plus, elle s'était assez vite mise à plus corsé. Les simples claques à la main sur les fesses ne l'excitaient plus. Une fessée devait faire mal mais pour les autres. Elle-même se fâchait si quelqu'un voulait la punir. Elle se sentait supérieure et le montrait. Une cravache de dressage était toujours à portée de main.
Elle aimait se montrer, voyager et le rôle de Miss lui allait bien. Un tout petit point du règlement la chagrinait: durant son année de Miss Verginie, c'était l'abstinence sexuelle complète. Elle essayait de tenir le coup avec quelques jeux solitaires et secrets.

Mais une fois lors du concours de miss Univers, elle craqua. Une autre Miss dormait profondément à coté d'elle dans une chambre à deux lits d'un hôtel de luxe. Cette concurrente était à plat ventre et ses fesses rebondies légèrement dénudées étaient si attirantes.
Karine avait une arme secrète, une brosse à cheveux avec le dos en bois verni, qui avait passé tous les contrôles, toutes les fouilles. Elle s'approcha de sa camarade et, la brosse bien en main, commença à fouetter fortement ce magnifique derrière de Miss. La concurrente se réveilla en sursaut et cria à ameuter tout l'hôtel. La Princesse réussit quand même à infliger une douzaine de coups avant d'être stoppée par le personnel de l'hôtel.
Le lendemain, la malheureuse concurrente ne pouvait plus s'asseoir. Mais pour défiler ce n'était pas critique.
La fessée de Maîtresse Karine fit scandale et elle dut rentrer immédiatement en Verginie. L'affaire fut étouffée car elle était Princesse. Et pour DsK ce fut un coup de pub formidable. Le vendredi 13 suivant, Princesse Karine fut nommée Reine.


J'en reviens de nouveau au moment où la Reine installa l'homme injustement maltraité dans ses appartements. Lors de l'ECG, il avait été constaté que le jumeau n'avait pas été trop choqué par la haie de présentation. Les quelques coups reçus près de chaque Princesse l'avaient plutôt excité. C'était normal car il consultait régulièrement le site du DsK et rêvait secrètement de présenter ses fesses à ces magnifiques et très sexy Princesses. Il avait quand même été surpris par la sévérité. Elles fouettaient comme il faut, ce n'était pas du théâtre.

La Reine Karine lui demanda gentiment s'il voulait jouer à l'élève difficile qui devait être puni. Il avait envie de connaître une vraie punition avec de vraies verges et des baguettes (là il rejoint mon fantasme). Il dut se dénuder complètement et attendre dans un coin de la pièce, sur la pointe des pieds et mains sur la tête pendant que la Maîtresse allait chercher des baguettes fraiches. Elle revint après une demi-heure avec 2 baguettes de noisetier, une verge de bouleau blanc et une autre faite de 6 baguettes de saule fines et flexibles. Maîtresse Karine savait que ces instruments allaient faire très mal et elle allait fesser comme elle savait le faire. Après tout c'est le jumeau qui avait choisi les instruments du jeu.

Après lui avoir encore dit que la punition serait très pénible, l'homme super excité donna son feu vert. Elle commença alors à le gronder très durement tout en lui appliquant de forts coups de baguette. Il sursauta, courut au loin, voulut échapper aux terribles coups de noisetier. Mais la Princesse en professionnelle le ramena au calme avec quelques gifles, lui attacha les mains et lui fixa une laisse. Après une cinquantaine de coups de baguette et le même nombre avec la verge de saule, elle fouetta encore consciencieusement les cuisses avec les verges de bouleau.
L'homme n'avait jamais imaginé être fouetté si durement. Il fut entièrement libéré et put se coucher sur le grand lit royal. Ce qu'il était fier d'avoir connu cette épreuve, mais il n'était pas prêt à recommencer de si tôt. La Reine ne l'avait pas ménagé.

Puis elle le  pommada avec une crème spéciale et deux heures après il était prêt pour un bon repas. Le reste de la soirée ne fut que du plaisir, des câlins, des caresses, des gâteries, de la fornication. Karine savait punir mais n'était pas en reste pour donner des plaisirs plus soft. Le jumeau reçu encore un code d'accès illimité pour le contenu du site DsK et promit d'envoyer un SMS dès qu'il reverrait son frère. C'est un homme transformé, sûr de lui, qui quitta DsK.

Le BAFfeur Jean, de retour de Verginie, fut convoqué chez la Princesse du Conseil, Maîtresse Christine. Il avait retrouvé son assurance, remarqua tout de suite un carcan déplié et le parfum SanRésistance que portait la Maîtresse, mais se savait immunisé. Il fut giflé et grondé durement. Son comportement de touche à tout envers des Maîtresses haut de gamme et dans un haut lieu de la suprématie féminine était inacceptable. Christine utilisa un spray SanImmunité, le même qui était employé avec chaque personne qui quittait la BAF. Le parfum de la Princesse fonctionna à nouveau et Jean s'installa docilement dans le carcan.

Il retrouva assez vite la volonté. Jean était bluffé par le spray SanImmunité dont il ne connaissait pas l'existence. Il perdit de sa superbe, tremblait, ne voulait plus être puni. La Maîtresse lui annonça qu'il était démissionné car son comportement chez DsK n'était pas digne de la BAF. Elle lui baissa le pantalon et lui dénuda les fesses. Son derrière était encore très marqué par le traitement reçu en Verginie. Jean suppliait de ne plus le punir.

dans sa position, Jean ne voyait pas grand chose des futures BAFfeuses

La Princesse chercha alors un groupe de futurs BAFfeuses et BAFeurs en formation et leur montra les fesses de Jean. Ils voyaient tous le résultat d'un comportement inacceptable. Quelques photos furent encore prises et l'ex BAFfeur fut libéré.


En ce qui concerne le Tricheur, à son retour de voyage juste avant qu'il ne salue son frère, un texto était parti. Moins d'une demi-heure plus tard, un BAFfeur venait le chercher pour l'amener dans le même hôtel utilisé déjà pour sa première Punition. Il y retrouva la belle Maîtresse de la première fois et un carcan qui lui prendra les empreintes digitales. Après les 6 coups finaux de cane en delrin, il fut emmené dans l'avion pour Drague en Verginie.
Avant l'ECG chez DsK, une prise d'empreintes confirma que c'était la bonne personne.
Les différentes punitions appliquées par les Princesses du royaume ont remis le fameux tricheur dans le bon chemin. Il ne sut jamais ce que son frère avait enduré pour lui.

Son frère jumeau s'installa dans une Ile française du Pacifique, commanda tout de suite une liaison Internet haut débit et profita pleinement de son accès au site du DsK.
Les photos étaient magnifiques, les Maîtresses hyper sexys et sévères avec leurs gants en cuir noir et leur cravache ou cane toujours à portée de main. Les vidéos, c'était du pur bonheur. La vue des fessées réelles, le son des fouets, des baguettes le mettaient dans un tel état d'excitation. Il profita d'une action fessée à l'occasion de l'anniversaire de la Reine et s'envola pour la Verginie.


Voilà pour aujourd'hui !
Jana, que vous attendez tous, arrivera dans le prochain épisode de cette fiction.


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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