On peut rêver

Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 04:57
auparavant


Aujourd'hui dans cette fiction, c'est de Heidi que j'aimerais vous parler.

Comme chacun le sait, Heidi était née à la campagne et passait souvent ses vacances avec son grand-père à la montagne où il gardait des chèvres et quelques vaches. Elle a passé toute sa scolarité en ville et habitait alors chez une tante. C'est une très belle fille, appliquée, obéissante.

Le samedi soir, elle avait l'habitude de se retrouver avec des copines. Elles refaisaient le monde et faisaient souvent de petits jeux et concours. Cela allait des cartes aux dominos en passant par des chansons. Des choses normales pour les jeunes filles de son âge.
Un samedi pourtant une camarade, qui avait surpris son père visionnant une vidéo de domination, proposa un concours de gifles. Le but était de désigner une perdante qui resterait, les mains sur la tête, dans un coin pour le reste de la soirée. Ce n'était pas drôle pour la perdante mais mettait un peu de piquant dans les soirées.

Une autre fois, une camarade un peu plus dévergondées suggéra de jouer aux fessées. Heidi qui n'y avait jamais été confrontée ne voyait pas d'inconvénients. Certaines copines fouettées chez elles étaient plus réticentes mais le projet passa à la condition de ne pas devoir baisser sa culotte. Quelques samedis passèrent, elles jouèrent comme des folles. Heidi détestait les fessées, perdait assez souvent mais aimait la compagnie de ses camarades.

Evidemment vint le moment où la plupart des filles, de plus en plus femmes, désirait des fessées à cul nu. Et le concours évolua, toutes les copines baissèrent leur culotte. Les claques faisaient plus mal. Une camarade apporta même le martinet que son père utilisait pour elle. Heidi se retrouvait de plus en plus souvent au coin, ses très belles fesses rougies et striées à la vue de toutes. C'est dans cette position, où elle avait le temps de réfléchir, qu'une idée germa dans sa tête.

Un début de soirée encore soft. Mais le jeans ne va pas tardé à être baissé

Lors d'une visite à son grand père, elle observa comment il menait ses vaches à la baguette et comment il choisissait cet instrument. Le samedi soir suivant elle exhiba sa baguette fraiche, flexible et l'utilisa comme elle avait vu faire le grand-père. Plusieurs samedis elle gagna le concours tant elle était adroite et aimait fouetter. Sa joie de fustiger les fesses nues de ses camarades faisait plaisir à voir. Elle ne se retrouvait plus dans le coin et ne recevait que très peu de coups.

Petit à petit, des garçons étaient intéressés, commençant par un frère, un copain, un petit ami. Les règles changèrent peu à peu et uniquement les garçons seraient fessés par les filles. Puis comme certains hommes bandaient comme des purs sangs, le perdant continuait à aller au coin mais un gagnant était désigné en mesurant la longueur de son sexe en érection. Heidi avait toujours autant de plaisir à fustiger avec ses baguettes et aussi à provoquer les plus grandes sensations et raidissements aux mâles.

La TV locale s'intéressa à ces soirées et la Princesse Christine de la BAF remarqua Heidi. La Maîtresse contacta la jeune femme et lui proposa un job dans ses capacités. Heidi qui ne rêvait que d'être payée pour fustiger des fesses, accepta tout de suite.
Après une formation elle commença à travailler comme BAFfeuse. Elle obtenait beaucoup de succès dans les promesses tenues des Gaffeuses et Gaffeurs. Souvent les clients repartaient en pleurs tant elle était sévère, sans pitié, appliquée. Les Gaffeurs les plus coriaces étaient attendris par elle.

Elle avait juste un petit défaut, elle était lente et prenait l'heure entière. Mais jamais elle ne l'a dépassée grâce à sa montre suisse. Elle ne se lassait pas de voir des derrières fouettés se tortiller de douleur.  Elle aimait faire souffrir en fessant. Elle avait trop souvent été au coin après les fessées de ses camarades. C'était une sorte de revanche et cela la détendait, lui donnait une impression de puissance. Elle croyait vraiment à la supériorité féminine et le montrait quand elle s'occupait d'un homme.
Elle prenait un plaisir identique à punir les femmes. Un cul féminin qui danse sous les coups c'est magnifique et cela l'excitait au plus haut point.

Mais comme Heidi aimait tellement fouetter, elle donnait de nombreux coups de cane sur les cuisses avant les derniers 6 sur les fesses. Malheureusement pour cette Maîtresse appliquée, ce traitement supplémentaire a été signalé par la correction logicielle devant mieux détecter les 6 marques finales sur des fesses rouges. La Princesse ne voulait pas risquer d'infliger des blessures aux "clients" et promit le Châtiment à  Maîtresse Heidi. 
Celle-ci était vraiment sadique quand elle appliquait la Punition, mais l'idée de devoir subir elle-même un Châtiment lui était insupportable et elle démissionna en pensant y échapper.

La Princesse Christine fut très fâchée, le fait de remettre sa démission avant les fouettées de Londres était interdit. Heidi allait regretter ses mauvais comportements. La pauvre Maîtresse fut convoquée chez la Princesse. Elle dut se déshabiller complètement  et attendre sa Maîtresse avec les mains sur la tête. La Princesse était très occupée ces temps, de nouvelles BAFfeuses commençaient leur formation.

Un temps d'attente long et plein d'appréhension

Une heure plus tard, Maîtresse Christine commença à s'occuper d'elle par une solide paire de gifles. Heidi pleurait à chaudes larmes. Mais la Princesse sans pitié la ligota, couchée sur le dos, les jambes en l'air et les cuisses bien ouvertes. Elle avait une fente magnifique, bien épilée. Princesse Christine eut une idée, laissa Heidi dans cette confortable position et quitta la pièce. Heidi avait peur, regrettait de s'être engagée dans cette aventure.

Après un moment qui semblait très long à Heidi, la Princesse revint avec un beau bouquet d'orties fraiches (véridique: une Maîtresse Jacqueline m'a dit une fois qu'elle gardait des orties dans son jardin pour jouer avec ses esclaves). Heidi ne semblait pas effrayée et prit même du plaisir quand la Maîtresse s'appliqua à lui frotter consciencieusement le sexe et les seins. Christine ne savait pas qu'Heidi, à l'alpage chez son grand-père, utilisait des orties pour des jeux solitaires.

Maîtresse Christine n'en pouvait plus de voir Heidi avec le sourire. Elle empoigna un petit mais vicieux martinet et corrigea la chatte qui aimait tant les orties. Heidi avait l'entre-cuisse en feu quand la Princesse abandonna le martinet pour aller chercher une verge de rotin. Ce n'est que les cuisses et les fesses colorées et très striées que Heidi fut libérée. Maintenant que l'impertinence de la jeune femme était corrigée, elle pouvait aller à Londres.

Heidi supporta mal le traitement de Maîtresse Christine et le Châtiment chez BFE, elle avait les verges en horreur et l'humiliation de ces punitions était injuste. Après ces très mauvais moments elle eut le droit de démissionner et acheta la Valise pour l'euro symbolique. Le souvenir des nombreux derrières immobilisés par le carcan et qui se tortillaient sous les coups très sévères, lui redonna le sourire. Elle s'installa chez son grand-père et se mit à écrire.

Sa série de romans sur le thème des fessées punitives entre adultes a beaucoup de succès. Heidi sait vraiment de quoi elle parle.


Une autre fois je vous raconterai comment la BAF s'est occupée d'un Gaffeur surnommé "Le tricheur".


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Vendredi 23 février 5 23 /02 /Fév 05:05
auparavant


Voilà je continue la série de la fiction commencée en début d'année.
Nous en sommes aux récits de différents parcours et punitions d'acteurs de cette histoire.

Juste pour vous montrer comme Maîtresse Christine est bien équipée

Aujourd'hui je veux vous parler de Mademoiselle Claudia.
Elle est mince presque maigre, ne respecte rien, ni les personnes, ni les choses, ni le règlement.
A part sa maigreur, c'est une belle jeune femme, grande, un très beau visage.
Elle est très appréciée par les gaffeurs aimant les mannequins anorexiques. Même certaines femmes sont attirées par elle. Le Conseil voulait donc la garder mais était exaspéré par ses comportements.

Il a été décidé que Mademoiselle Claudia referait une formation de Call avec une nouvelle volée de séductrices. Pour la mater elle sera punie, après les petits examens journaliers, avec une verge fine (pour ne pas la casser tant elle était mince). Claudia n'aimait pas être fessée, elle était assez douillette et en plus cela se passait sur ses fesses dénudées et en présence des autres élèves Call. Ce traitement lui fit perdre de sa superbe et de son arrogance.
Elle dut aussi porter 3 culottes (1 chaque 5 jours) garnies d'un détecteur d'utilisation (10 heures à la fois) et d'un revêtement intérieur urticant qui donnait les mêmes sensations qu'un bouquet d'orties appliqué sur les fesses. Cette couche était confectionnée à partir d'extraits d'orties.
Elle ne fut donc pas envoyée chez BFE pour un Châtiment et ne put démissionner.

Le rapport de punition démontra la grande efficacité de cette culotte. Le Conseil décida de lui donner un nom: la culotte Formicul, en référence à l'acide formique des orties et de son contact rapproché avec le derrière des punis.
La parfumeuse et le micro-mécanicien-opticien réussirent à créer des poils urticants de synthèse. Le slip serait donc entièrement fabriqué. Son efficacité était encore plus redoutable. Le millier de petits poils piquants ne distillaient pas leur venin en même temps. Le slip était assez élastique et ajusté pour avoir un maximum de contact avec les fesses, le sexe, la fente, le haut des cuisses.
Le premier quart d'heure la sensation de nouvelles piqures était comme lors d'une fessée aux orties.
Avez-vous déjà connu cette punition? Essayez, cela apporte des sensations piquantes et réchauffantes.

Après un quart d'heure avec ce slip, chaque mouvement, pendant la marche par exemple, provoquait l'activation de quelques dizaines de pointes urticantes. S'asseoir sans faire une grimace de douleur était très difficile.
Même après avoir retiré cette culotte, il y avait des démangeaisons qui restaient plusieurs jours, comme tout le monde le sait après un frottage aux orties.
Cette invention aura certainement un bel avenir et le détecteur d'utilisation assurait une surveillance parfaite.


Le cas de cette chanteuse assez petite avec l'accent du midi est aussi intéressant. Les questions de forfait fiscal et délais, elle n'y comprenait rien. C'était son impresario qui avait tout organisé. Ce qui devait arriver arriva: elle ne respectait pas le délai de 6 mois et un jour et devait connaître la Punition.

Un Call l'aborda en lui proposant de chanter dans un home pour personnes âgées. Dans le home, c'est la BAFfeuse, Maîtresse Suzanne, qui prit le relais. Comme tous les pensionnaires étaient assez sourds, le bruit de la Punition ne devait pas poser problème.
Maîtresse Suze, pour les intimes, avait un visage ressemblant à Adriana l'épouse du footballeur et un cul magnifiquement mis en valeur par un pantalon en polyester noir. Elle était très consciencieuse, appliquée et commença à rougir les fesses de la chanteuse au claquoir.

Après le passage du martinet, le derrière de la chanteuse était si coloré que Maîtresse Suze craignait que les 6 coups de cane ne seraient plus assez visibles. Et le règlement est strict là-dessus. Il ne restait qu'une solution, masser ces fesses avec une crème relaxante pour leur enlever une partie de la coloration. La chanteuse, qui ne comprenait rien mais appréciait grandement le massage, resta ainsi 5 heures dans le carcan. Elle fut très surprise de recevoir les coups de cane mais son postérieur était si décontracté que cette dernière fessée ne fut pas trop pénible.

Les fessées et le massage relaxant transformèrent complètement la demoiselle. Elle n'avait jamais connu un tel plaisir. Ce mélange de douleurs et de caresses était extraordinaire. Elle voulut apporter ce bien-être aux autres et demanda à apprendre le travail de BAFfeuse. Un cours accéléré de 3 semaines chez la Princesse et elle reçu sa Valise, changea de nom et prit celui de Maîtresse Mireille. La Punition ne comprenait pas de massage mais elle avait une idée.

Suze est si belle et il faudra peut-être la fesser sévèrement

Pendant ce temps Maîtresse Suze fut envoyé chez Princesse Christine car elle avait largement dépassé le temps prévu pour une Punition. Comme la Princesse voulait essayer un nouveau système d'immobilisation des esclaves, elle en profita avec cette BAFfeuse. Maîtresse Suze dut se dénuder complètement et se pencher à plat ventre sur un petit plateau très confortable et monté sur ressorts. Des sangles lui immobilisaient la taille et les genoux. Un système ingénieux écartait et refermait les fesses au rythme des oscillations des ressorts. En plus ce système incitait aussi le postérieur dans un mouvement en avant, en arrière.

Sur ce support et en position de repos les fesses étaient bien ouvertes et tendues vers l'arrière et le haut (le fameux bottom up). La Princesse était impatiente de fesser pour essayer ce système très excitant. En plus Maîtresse Suzanne avait un cul de rêve, de ces derrières dont on ne peut plus détacher le regard. La vue de son sexe et son petit trou, c'était quelque chose!

Mais Maîtresse Christine devait encore en discuter au Conseil qui devait donner son feu vert à ces essais car les 6 coups de cane sur le postérieur de la chanteuse avaient été bien visibles grâce au dépassement de temps. Yaka proposa de laisser la Princesse profiter des fesses de Suze montées sur ressort mais de ne pas l'envoyer à Londres pour le Châtiment. La Princesse, sûrement jalouse de ce cul parfait à sa disposition, joua avec Suze une bonne demi-heure avec une petite canne de rotin et une verge de boulot blanc.

Quel merveilleux système ce support à ressorts. Après chaque coup la fente se fermait et s'écartait à nouveau. Le derrière très souple de Suzanne ondulait, se tortillait, se déplaçait d'une manière très excitante. Les fesses étaient toujours bien présentées et après un coup, elles pouvaient se mouvoir puis revenir en position parfaite dans l'attente du prochain coup.
La Princesse était impatiente d'essayer ce support d'immobilisation flexible aussi avec un homme. En attendant, elle lui donna le nom de Présentateur.

Maîtresse Suze est repartie très affectée par cette injuste punition. Ses fesses de rêve faisaient peine à voir. Mais c'était des risques de BAFfeuses d'être aussi punies en cas de faute, même légère.

De son côté, Maîtresse Mirelle, pour ne pas perdre de temps, "oublia" de punir son premier Gaffeur et fut envoyée à Londres. Elle eut alors le droit de démissionner et acheter la Valise pour un euro symbolique. Elle s'installa au Japon, engagea quelques Geishas et ouvrit un salon de massage. Ces clients étaient friands de ce cocktail fessées-massage. 

Suite au problème de coloration rapide de certains postérieurs, le Conseil décida de fesser un peu moins fort avec le claquoir. L'informaticien fut aussi chargé d'améliorer la détection des 6 coups finals faite par l'IDS.


Dans le prochain article c'est Heidi qui va être présentée.
A bientôt


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 05:33
auparavant

Vous désirez certainement quelques exemples de punitions et bien voilà la suite de cette fiction.


Il y a eu le cas d'un animateur TV qui avait du retard en revenant par avion d'Afrique. Après avoir été attiré par un Call, il était très fâché car c'était une femme qui l'avait fouetté et non un homme.

Un célèbre couturier avait promis de revenir en France mais n'avait pas respecté sa promesse. Une Call lui avait parlé d'une séance de god-ceinture et après la fessée il réclamait de se faire enculer. Ce qui n'est évidemment pas prévu par la BAF.

Une tenniswoman devait encore jouer un match et ne pouvait être en Suisse assez longtemps. Elle était ravie de la punition par une Maîtresse et demandait un supplément. La BAF n'octroie pas de rallonge. La sportive n'a pu jouer les premiers matches de l'année car elle avait des marques de martinet encore visibles sur le haut des cuisses.

Une écrivain à succès avait passé sa scolarité en Angleterre et connaissait l'éducation anglaise mais l'avait en horreur. Dès les premiers coups elle tremblait et des larmes coulaient sur ses joues. Elle avait un cul magnifique, bien musclé qu'elle remontait bien haut en arrière après chaque coup comme elle en avait l'habitude pendant sa scolarité. La Maîtresse avait pitié et hésitait à être moins sévère. Mais la menace d'un Châtiment lui redonnait des forces pour les 6 coups de cane restant.

L'expert fiscal a une fois averti, par un coup de fil, un copain de promotion qu'une enquête était en cours sur lui. L'expert ne sut jamais comment il fut découvert (l'informaticien, le seul auquel Yaka faisait entièrement confiance, surveillait toutes les conversations téléphoniques). L'expert fut envoyé chez DsK dans le cadre de discussions pour son travail. Une Princesse l'attendait, lui expliqua la faute et lui annonça qu'il sera puni selon les règles du royaume.
Les esclaves de ce lieu de villégiature l'appelèrent "le seul pleureur".

Le carcan de la Valise ressemble beaucoup à celui-ci. Impossible donc d'y échapper à la Punition.

Une BAFfeuse, la grosse Berta, était efficace et obtenait de très bons résultats. Elle aimait fesser encore et encore. Dans le petit salon de "massage" où elle travaillait auparavant elle s'était spécialisée dans les punitions OTK. Quelques fois elle utilisait une raquette de ping-pong ou un petit martinet mais ce qu'elle préférait c'était les bonnes vieilles fessées à la main.
Elle basculait son client sur ses genoux, le coinçait entre ses jambes, lui baissait la culotte et débutait tout de suite par de grandes claques.  Elle était infatigable, une demi-heure de fessée à la main était courant. Les fesses qui se tortillaient, rougissaient, chauffaient, cherchaient à échapper, lui procurait un très grand plaisir. Jamais elle ne mettait de gants, toujours de main nue à fesses nues. Le contact de cette peau qui prenait des couleurs, le puni qui voulait se frotter le derrière et qu'elle empêchait. Beaucoup repartaient en pleurs et cela l'excitait.

A la BAF, Maîtresse Berta avait eu de la peine à s'habituer aux instruments sophistiqués de la Valise, les bonnes vielles claques à la main lui manquaient. Mais le job était bien payé et elle obéit aux instructions. Les Gaffeurs se souvenaient longtemps avec quelle vigueur elle utilisait le claquoir, le martinet et surtout la cane. Même quelques habitués des fessées étaient soulagés quand elle reposait la cane.

Elle eut quand même, une fois, un problème: comme Maîtresse Berta était assez myope, elle s'était trompée et avait lu, sur le SMS punitif, 69 au lieu de 96 comme numéro de rue. Heureusement le client de la villa au numéro 69 était un suisse allemand qui aimait tellement les fessées qu'il en avait demandé un supplément. Ce n'était pas lui qui allait créer des ennuis à Maîtresse Berta. Mais le règlement de la BAF l'envoya quand même à Londres. Le Maître qui  lui appliqua le Châtiment usa deux verges pour obtenir un résultat satisfaisant.

Berta qui pourtant aimait claquer, démissionna pour reprendre son travail de camionneuse. Son petit copain lui suffira.

Le client du 96 eut une certaine chance: Maîtresse Berta avait un petit défaut esthétique, elle appliquait la Punition habillée en jeans larges et baskets. Même les amateurs de domination étaient refroidis. C'est donc une BAFfeuse très sexy qui sonna un jour au numéro 96. Elle "représentait" des sous-vêtements pour hommes. Une odeur agréable de parfum et il se retrouva sans volonté. Il accepta la Punition car il avait triché et la Maîtresse ressemblait tellement aux jeunes femmes qu'il dévorait dans les magazines féminins.


La suite de cette fiction pour la prochaine fois.
A bientôt


Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 1 février 4 01 /02 /Fév 05:37
auparavant

Comme annoncé la dernière fois, j'aimerais vous parler un peu plus du système punitif de cette fiction.


Uniquement Yaka donnait, par SMS crypté, le OK pour une Punition ou un Châtiment. Ce message comportait, généralement, les coordonnées précises de la personne à punir, une description de la faute et un délai imposé pour la réparer.

La première personne à goûter à la Valise a été un mannequin célèbre qui avait "oublié" de revenir en Suisse mais profitait quand même du forfait fiscal. Le Call l'ayant attiré dans la chambre d'hôtel, elle a rapidement été  immobilisée dans le carcan et cagoulée.

C'était une fille du tonnerre. Elle portait une mini-jupe assez courte, des bas bruns fumés avec porte-jarretelle et un mini string noir. La BAFfeuse a estimé devoir enlever la jupe et baisser le string. Dès la volonté revenue, la superbe femme se demandait ce qu'elle faisait là dans cette position.
Elle ne portait pas de soutien-gorge et le chemisier laissait deviner des seins de rêve qui pointaient vers le bas. La disposition des trous du support forçait la croupe à bien se positionner et écartait légèrement les cuisses. La magnifique fente et le petit trou foncé formaient un super tableau. Une superbe position pour fustiger des fesses toutes blanches.
Ce qu'elle était belle! Même la Maîtresse fut troublée et hésita un moment pour commencer la Punition. Comme elle ne voulait pas être condamnée au Châtiment, elle empoigna le claquoir.

Au début, pendant l'explication de la tricherie, le mannequin était encore très impertinent. Mais dés les premières claques elle s'est mise à pleurer bruyamment. Elle allait ameuter les clients de l'hôtel pourtant habitué à entendre des fessées. Un bâillon improvisé a réglé la chose.

La suite de la fessée a confirmé les soupçons: cette très belle femme n'était pas habituée à être fessée (comme la plupart des Gaffeuses et Gaffeurs). Elle n'y avait aucun goût et ne réagissait pas comme les clients habituels de la Maîtresse. Chaque coup était efficace et servait comme véritable et pure punition. Voir les fesses se tortiller de douleur faisait de la peine à la BAFfeuse et plusieurs fois elle a songé à abréger la Punition. Mais si son travail n'était pas exécuté à la perfection, c'était elle la BAFfeuse qui s'attirait des ennuis. La pauvre tricheuse a donc eu droit à tous les tourments prévus jusqu'aux derniers des 6 coups de la terrible cane. Ce qu'elle semblait souffrir la pauvre. Les 6 marques très nettes sur ses fesses rouges magnifiques étaient le signe que la Punition avait été menée au bout. Les lunettes ont encore transmis les promesses de ne plus tricher et le mannequin fut libéré et put se rhabiller.

La célèbre femme a donc redéménagé en France en expliquant qu'elle regrettait beaucoup et que l'évasion fiscale n'était pas une chose à faire.

De son côté le Conseil ordonna d'équiper les Valises d'un bâillon boule à installer avant la reprise de volonté et à enlever à la fin pour enregistrer les promesses d'amélioration et le délai prévu. Il décida aussi  de ne rien changer à la Punition car elle était entièrement efficace. Il était conscient que les différents instruments de correction étaient très douloureux pour des personnes non habituées et sans tendance maso. La seule concession était la possibilité de prolonger la durée de la Punition jusqu'à une heure pour permettre aux fessés de récupérer un peu entre les coups. En aucun cas la BAFfeuse ne devait diminuer la sévérité sinon elle était automatiquement condamnée au Châtiment.

Une des fameuses canes en delrin de la Valise

Le Châtiment était une deuxième possibilité de correction prévue en cas de récidive (très rare) ou pour punir du personnel de la BAF. Les membres du Conseil comme les détectives, les Calls, les BAFfeuses  pouvaient être condamnés au Châtiment. Un oubli, une faiblesse, un apitoiement suffisait pour un passage en institution de correction.
Toutes ces personnes avaient signé un contrat très strict mais étaient très bien payées.
Les relations amoureuses entre elles étaient aussi complètement interdites.

Donc le Châtiment consistait pour les hommes d'un séjour d'une nuit et un jour au royaume DsK à Drague et pour les femmes, la même durée dans une maison londonienne spécialisée en fessées aux verges. Ces 2 institutions filmaient les punitions pour produire des vidéos qu'elles revendaient par Internet aux passionné(e)s.

Les condamnés au Châtiment étaient amenés dans les lieux de corrections respectifs par un BAFfeur, qui pouvait aussi être soumis à cette sanction. Celui-ci était recruté principalement chez des gardes du corps. Il ne punissait pas lui-même mais escortait uniquement. Le BAFfeur disposait d'un spray parfum, le SanRésistance, différent de celui utilisé par les BAFfeuses et Calls.


Chez DsK, l'homme était reçu par une haie d'honneur. Il devait parcourir, une Princesse-jockey sur son dos, un couloir à quatre pattes et tout nu. 5 Maîtresses étaient disposées le long du passage. Près de chaque Domina, il devait faire une pause pour qu'elle puisse lui appliquer quelques coups d'un instrument.
Les 6 Princesses se réunissaient ensuite pour faire un rapport appelé ECG (Empreinte de Comportement Général). Ce document comportait différentes données comme la santé, la sensibilité aux instruments, le caractère, la résistance aux coups etc... Ce rapport était envoyé au Conseil et servait aussi pour les traitements punitifs du lendemain.
Le puni passait la nuit au cachot, sur la paille. Et le lendemain, pour joindre l'utile au désagréable, il y avait du dressage, des révisions de règlements, un examen, des corrections et une fessée finale.

DsK (Domina's Kingdom) est un royaume dédié à la suprématie féminine. Il est situé dans une grande propriété près de Drague en Verginie. Ce domaine comporte un château restauré, des dépendances (sorte de bungalows communicants entre eux), des places de jeux, un peu de forêt.
12 Princesses et une Reine, habitent le château. Les bungalows sont utilisés par des Maîtresses-candidates ou invitées.

Cette royauté est un système très démocratique. La Reine change tous les vendredi 13 et est désignée parmi les 12 Princesses selon un système de tournus que je n'ai jamais compris. Les Internautes peuvent d'ailleurs suivre cette nomination en direct: un écran blanc s'affiche après la nomination puis le nom de la nouvelle Reine apparait. La Reine précédente redevient Princesse. Les Princesses le restent toute leur vie. Actuellement la Reine est Evelyne I.
Si le nombre de Princesses n'est plus suffisant (décès, démission, doctorat de fesséologie comme Princesse Christine du Conseil) il y a une élection le vendredi suivant
Les Princesses et la Reine choisissent 3 nominées parmi les Maîtresses-candidates. Celles-ci sont des Maîtresses expérimentées qui s'inscrivent par Internet selon des critères très strictes. Les Internautes peuvent, par SMS surtaxés, donner des voix à leur nominée préférée. Il y a parfois des pleurs ou des scènes violentes chez les Maîtresses non choisies.
Une de ces Maîtresses (Cruella) avait, après sa non élection, commencé à frapper la nouvelle Princesse avec sa cravache.
C'est un crime de lèse majesté puni très sévèrement. Cruella est restée une semaine au cachot et était corrigée tous les jours avec un instrument différent. Elle a ainsi connu, les verges, baguettes, cravache, orties, martinet, fouet, cane.


A Londres, c'est une ancienne institutrice qui avait fondé une école d'éducation anglaise. Elle l'avait nommée Birch For Ever (BFE). Cette directrice, qui avait fessé des dizaines et des dizaines d'élèves, en connaissait un bout sur les punitions. Elle est entourée d'autres instituteurs expérimentés, hommes et femmes. La maison n'utilise que des verges en bouleau blanc, en saule, en noisetier ou de rotin.
Les clients habituels sont des adultes masos mais l'institution a aussi un arrangement avec la BAF.
Les femmes condamnées par la Brigade Anti Fuites y étaient accueillies par 12 coups de baguette de noisetier. Le séjour commençait bien. Ces baguettes laissent déjà de belles marques et font mal. Un rapport ECG est ensuite élaboré.

N'est-il pas dommage de devoir fustiger ces fesses de BAFfeuse?

Par rapport à DsK, le BFE est moins hard et il y a une notion plus esthétique. Des paramètres tels que la manière dont les fesses bougent, ondulent après un coup ou s'écartent et se referment, laissant apercevoir l'intérieur de la fente, sont importants ainsi que le positionnement du cul, le cambrement, le meilleur profil, le comportement des seins et tétons.
Chez BFE on joue principalement des scènes d'école mais aussi de soubrettes, juments, de jeunes femmes désobéissantes qui doivent être remises en place.

Après prise de l'ECG, les punies sont ensuite envoyées au lit dans un dortoir. A 21 heures, avant l'extinction des lumières, les malheureuses reçoivent pendant une minute la verge de rotin. Cette célèbre verge est appliquée très sévèrement sur les fesses et les cuisses. Excellent pour ne pas avoir froid et passer une bonne nuit.
Le lendemain, révision de règlements le matin puis un examen et différentes fessées et jeux avec verges.


DsK et BFE tournent principalement en produisant des images haute qualité ainsi que des vidéos. Les différentes fouettées sont toujours appliquées sur les fesses nues et dans des conditions réalistes. Pour les envoyés de la BAF, peu enclins à ces jeux, c'est trop sévère mais terriblement efficace. Très peu de ces personnes prennent le risque d'y retourner.


Comme vous le voyez, beaucoup de points avaient été minutieusement pensés pour la réussite de cette grande opération. C'est uniquement Yaka qui envoyait des SMS cryptés aux Calls et aux BAFfeuses et BAFfeurs. Uniquement les membres du Conseil connaissent Yaka. Les détectives, Calls et BAFfeurs ne connaissent que le membre du Conseil qui les a recrutés.
Toutes les liaisons sont cryptées. Un programme informatique analyse la Base et donne à Yaka les coordonnées des personnes à séduire, convaincre, punir.
Quelques mécènes s'occupent des questions financières et l'argent ne manque pas.


En 2010, le Conseil fera un bilan définitif. Mais jusqu'à cette échéance il y a encore beaucoup de travail. Un millier de personnes sont dans la Base.


Dans un autre article vous aurez différents détails et exemples de corrections.

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 25 janvier 4 25 /01 /Jan 05:32
auparavant

Ségo, très prise par sa campagne, ne se rend pas compte du travail important, mais en arrière plan, de la BAF. Il y a pourtant un ou deux comportements qui auraient pu l'intriguer.
Après un week-end à Londres, une secrétaire personnelle ne s'est plus assise pendant une semaine (elle était envoyée par la BAF pour surveiller la campagne et s'était amourachée d'un proche de Sarko).
Un grand couturier, ayant fait fortune dans les maillots de bain, n'allait plus à la piscine comme habituellement (il avait triché en ne restant en Suisse que 6 mois et 10 heures et lors d'un plongeon en piscine son maillot était descendu, découvrant ses fesses corrigées).


Ségo a bien évidemment gagné la présidentielle et, fait inhabituel, tenu ses promesses. Beaucoup d'évadés sont revenus au pays. Les problèmes de violence, de délinquance diminuaient.
La France allait mieux.

En Suisse, vu les succès de la gauche française, des élections ont donné plus de poids au centre gauche dans le Parlement. L'exécutif s'en est aussi trouvé modifié. Deux conseillers de droite ont été éjectés pour laisser la place à un vert et un centriste.
Ce nouveau gouvernement a pris des mesures pour rendre moins attractif le forfait fiscal.


Mais tous ces résultats sont aussi le fruit du travail souterrain de la BAF.
Depuis presqu'une année, un millier de fiches avaient alimenté la Base. Le déclenchement de l'étape suivante était venu des premiers signes que Ségo allait dans le sens de l'email qu'elle avait reçu de Yaka.
Les Calls pouvaient se mettre au travail.

Les Gaffeuses et Gaffeurs potentiels ont encore pu facilement être convaincus de rester en France. Mais pour les évadés installés en Suisse c'était une autre paire de manche. Ils étaient à la limite et souvent la dépassaient. Les BAFfeuses commençaient à avoir du travail.

Le scénario était souvent le même. Dans un hôtel habitué à recevoir des clients qui pratiquaient la fessée, la Call (ou le) attirait le client et utilisait un parfum, le SanVolonté, qui bloquait la volonté (15 minutes). La Call était elle-même immunisée contre le SanVolonté. Pendant que le Gaffeur (ou la) était servile, la BAFfeuse arrivait avec la Valise et immobilisait le puni dans le carcan. C'était un support à quatre trous où le futur fessé se tenait à quatre pattes. La fouetteuse mettait les lunettes Optique 2010, lui enfilait une cagoule, lui baissait son slip. La punition pouvait commencer. Le rôle du Call était terminé.

N'est-il pas beau le martinet de la Valise?

Dés que le Gaffeur retrouvait la volonté, la Maîtresse expliquait la faute et commençait à fouetter avec le claquoir. Quand les fesses et les cuisses étaient bien colorées, la cravache prenait le relais pour parfaire la coloration. C'était alors le tour du martinet à lanières de section ronde. Ce fouet est très douloureux et représente un vrai supplice pour le Gaffeur. 36 coups de martinet suffisent souvent à faire regretter la faute au tricheur.
Mais comme la Punition n'était pas une partie de rigolade, la fesseuse appliquait encore 6 coups de cane (JF ou S) sur les fesses déjà très meurtries. Ces 6 derniers étaient si douloureux, donc efficaces, que le puni fera tout pour ne plus y goûter.
Le tricheur devait ensuite promettre de réparer la faute dans le délai imposé, et dans la plupart des cas revenir en France. Tout ceci était bien sûr filmé et complétait la Base.

La BAFfeuse utilisait ensuite un spray SanVolonté dont elle était aussi immunisée. Elle remontait la culotte, libérait le fessé et s'en allait avec la Valise. En général une demi-heure suffisait à convertir la Gaffeuse ou le Gaffeur.

La prochaine fois, il y aura encore plus de détails sur le système punitif de cette fiction.
A tout bientôt

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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