On peut rêver

Dimanche 13 juillet 7 13 /07 /Juil 16:52
auparavant


La fois précédente, dans cette fiction, vous m'aviez laissé dans la baignoire, pas tout à fait essuyé, et Maîtresse X qui commençait à me punir pour un peu de flotte par terre.

Et, comme après le premier coup de baguette noire, je ne me relevais pas assez vite, elle attrapa mes tétons, les pinça et les tira vers le haut. Ceux qui connaissent se seraient aussi retrouvés debout. Mes fesses tremblantes étaient à nouveau à portée de sa terrible cane synthétique noire. Un coup sur chaque fesse, un peu moins fort que le premier, et je suis autorisé à terminer l'essuyage.

"Maintenant, sors de la baignoire et essuie l'eau par terre". Vous pensez bien que penché vers la tache de flotte, Maîtresse X n'a pas manqué de rejouer de la baguette. Concentrez-vous dans ces conditions, facile à dire. Comment une personne a-t-elle pu fabriquer une chose si douloureuse, car cette tige synthétique ne peut servir qu'à fouetter. Elle ne présente aucun inconvénient, ne s'use pas, ne demande pas de force à l'utilisation et sa matière, sa souplesse, sa flexibilité assure au soumis (ou à la soumise) des douleurs fessières extrêmes. Pourquoi ai-je succombé à Mlle Rosa?

La Maîtresse est enfin satisfaite et peut débuter le programme correctif. En premier elle m'installe un bracelet de cuir, muni d'une boucle métallique, à chaque poignet et cheville. Ma condition de soumis se poursuit par un collier et une laisse. Ainsi habillé, elle me dirige à la laisse dans la salle des châtiments corporels. Celle-ci est sombre rouge.

elle peut tenir un siège avec sa réserve de canes

C'est un peu comme une salle de fitness, sauf que ce n'est pas les muscles que Maîtresse X va renforcer mais bien mon obéissance à Mme Martinet. La Dominatrice n'oubliera pas non plus ce que j'ai osé faire subir à Mlle Rosa. C'est fou où un petit moment d'égarement peut m'amener, dans une salle remplie d'engins de punition. Des supports divers en cuir noir recouvert de serviettes éponges. En plus de ces immobilisateurs, j'aperçois aussi des baguettes, verges, fouets, martinets, cravaches, verges, bref le kit de la parfaite Maîtresse.
J'allais oublier le trépied avec un appareil photo numérique faisant office de caméra. La carte mémoire SD confiée par ma directrice était prête à témoigner des désagréments demandés.

La Dominatrice installa un petit masque sur ses yeux car elle ne voulait pas être reconnue sur les images. Elle enclencha ensuite la caméra improvisée et dirigée vers une table. C'est vers cet endroit que je fus tiré. Je reçois l'ordre de me pencher dessus et assez vite Maîtresse X essaye différents moyens. Je ne suis pas autorisé à les voir me fustiger. Les 2 coups (un sur chaque fesse) de chaque instrument font plus mal les uns que les autres. La Maîtresse arrête enfin la caméra et vise un autre endroit de la "salle de fitness".

Elle me dirige ensuite vers un support de cuir très confortable. Genre de fauteuil d'immobilisation où je ne dois pas m'assoir mais me mettre à genoux et ensuite à plat ventre. Commence alors, de la part de la Maîtresse, l'immobilisation par des lanières aux chevilles, sous les genoux, aux cuisses, sur le dos et aux poignets. Et pour assurer la tranquillité, Maîtresse X m'installe un bâillon-boule. Vous vous doutez bien, je n'en mène pas large. Les fesses déjà douloureuses, les tétons qui démangent. Et ce support qui ne me laissera pas me reposer. Le temps qu'elle enclenche la prise de vues et le bruit de ses hauts talons aiguille se rapproche. Je sens le premier coup pas trop fort de ce qui me semble à nouveau la baguette synthétique.

un bâillon-boule pour ne pas ameuter les voisins

Aucun mystère la dessous. Maîtresse X m'explique qu'elle doit terminer le travail bâclé dans la baignoire et ceci par ma faute. Mais cette fois elle n'a aucun souci pour m'appliquer les 6 coups avec la grande sévérité prévue. Vous dire que cela fait extrêmement mal ne sert à rien car je l'avais déjà dit dans la baignoire. Je préfère garder mes forces pour supporter l'insupportable.

Les 6 coups reçus sans pouvoir bouger et crier me semblent suffire pour la faute commise avec Mlle Rosa mais Maîtresse X ne semble pas satisfaite. Un cocktail de différents instruments, toujours insupportables, me charcute les fesses. Mais que faire d'autre que de rester en place et laisser fesser. Des fessées comme celles qu'on voit dans les vidéos spécialisées mais sur mes fesses à moi et sans anesthésie. Comment une femme peut-elle être si sévère, faire si mal, sans lui avoir fait quelque chose? Maîtresse X me traite comme si elle avait un compte à régler directement avec moi. Elle n'est pas fâchée mais son traitement n'en est pas moins hyper douloureux.

Je ne me fais pas trop d'illusions quand elle me détache du support. En me menant à la laisse, je dois marcher à quatre pattes vers une espèce de potence. La laisse me tire debout. La suite se passera les bras écartés et attachés à une barre. Idem pour les jambes. Mes fesses sont en feu ce qui ne semble pas impressionner la Correctrice. Maîtresse X (elle ne m'a toujours pas dit son nom) ordonne de ne pas bouger pendant qu'elle parfait mon dressage.

le fouet ressemblait à ceux utilisé chez OWK

Cette fois je peux voir les moyens utilisés. Un fouet, une cane anglaise et une verge en rotin. Un morceau de percussions. Chaque instrument fait un son différent divisé en 3 parties: le rapide passage dans l'air en direction de mes fesses, l'alunissage brutal et mon ahhh sous le bâillon-boule. Après un moment cette musique s'arrête.

La Maîtresse si crainte se met devant moi et me regarde fermement de ses yeux sévères. Je suis entièrement à sa merci. "Tu commences à comprendre de respecter les femmes! Mlle Rosa ne t'avait rien fait et tu l'as humiliée, sévèrement fessée." Sans le bâillon j'aurais pu répondre "oui Maîtresse mais elle m'avait provoqué".

le deuxième membre du trio de châtiement

Je ne pense pas que ma tourmenteuse désirait entendre des excuses. En me regardant de son regard très sévère: "Tu fais moins le malin, sans défenses, devant moi ta Maîtresse sans pitié". Joignant le geste à la parole elle m'empoigne les tétons et les tire vers le haut. Je suis sur la pointe des pieds mais elle continue à tirer. Je n'ai d'autres choix que de faire ahhh à en perdre le souffle. Si elle poursuit son supplice elle va me les arracher les tétons.

Mais la Dominatrice en vraie professionnelle sait ne pas aller trop loin et me relâche d'un coup. Ce que j'aimerais pouvoir frotter les tétons si douloureux! Mais pas le temps de penser à moi. Une paire de gifles sonnantes me ramène à la réalité. Le temps à la Maîtresse de repasser derrière moi et l'entracte est terminé. Le concert de percussions recommence, semblant sans fin. La verge, la cane et le fouet sont infatigables.

la forte douleur de la verge n'est pas à négliger

Le cocktail de ces trois ingrédients subi avec courage et résignation et je suis libéré de ma position en X.
Ouf, enfin!

Ne pensez pas que je suis soulagé. La Maîtresse ne m'a pas dit qu'elle me libérait mais de rester à 4 pattes à ses pieds. Tout en jouant sévèrement d'une cane flexible, sur mon derrière déjà saturé, elle explique sa manière pour mâter, dresser, punir les clients qui s'adressent (ou sont forcés à s'adresser) à elle.
- Elle ne laisse rien passer, je l'ai constaté quand j'avais giclé en me douchant.
- Elle est très sévère, au-delà du supportable de chacun.
- Elle teste ensuite, sans immobiliser, des instruments de fessées qu'elle estime nécessaires.
- Elle immobilise fermement le patient et le punit très sévèrement.
Quand elle estime le soumis en partie dressé et mâté elle le soumet, dans la position du X debout, au renforcement des bonnes dispositions acquises.
Elle explique sa méthode de "fessé(e)-mâté(e)" tout en vérifiant qu'elle a atteint son but de manière durable (très rares sont les clients non-volontaires qui sonnent à nouveau chez elle).

Après s'être assurée que le traitement fessier à été efficace chez moi aussi, elle me libère enfin de ses contraintes et me permet de reprendre une douche pour éteindre mes fesses. Maîtresse X me remet l'enveloppe rouge cachetée en "X" à la cire avec ses appréciations sur mon comportement et la mémoire SD de mes exploits.

Ouf, j'ai enfin mérité mes 3 jours de congé. Ils ne seront pas de trop pour que mon derrière puisse se refaire une santé.


Suite à cette séance de châtiments corporels subie virtuellement, je pense avoir une idée plus précise de la signification de l'abréviation SM.
SADO, Maîtresse X n'a rien à envier à ses collègues d'OWK par exemple. Elle avait assez vite repéré mon côté douillet, mes faiblesse, les endroits de mon corps où elle pouvait me faire souffrir. Et elle en profitait. Elle voyait la peur dans mes yeux quand elle empoignait le fouet, les verges ou la cane. Elle était consciente de sa supériorité. Elle aimait dominer, commander, humilier. Et comme cela ne suffisait pas elle m'immobilisait pour les fessées les plus sévères. Pour jouer au chat et à la souris, elle connaissait.
Il faut être vraiment sadique pour continuer à fouetter pour le seul plaisir de voir souffrir. Ou bien Maîtresse X le faisait uniquement par conscience professionnelle suite aux demandes des commanditaires. En tous cas Madame Martinet avait choisi une excellente adresse pour assoir son pouvoir.
MASO, il faut l'être pour se présenter chez une telle Maîtresse. Dans cette fiction, je ne le suis pas du tout mais ma directrice avait des arguments que je n'ai pu contrer.
Dans la vraie vie c'est une question que je me pose souvent: suis-je vraiment maso? Choisir un sujet bandant (les fessées), des instruments qui m'excitent (verges, canes, baguettes etc..) et demander à une Maîtresse très sévère de me faire souffrir comme si mérité pour une faute très grave. Cela y ressemble terriblement: être maso.

Chez Maîtresse X, le rôle du chat elle se l'était approprié avec peut-être même sa chatte qui était excitée. Je dis peut-être car je le suppose. Pendant qu'elle me fessait, je n'avais pas osé, au lieu de faire ahhh, ouhhh, lui demander si me fouetter sévèrement lui donnait une moule mouillée. Vous le lui auriez demandé?
Par contre de mon côté, dans le rôle de la souris, je puis vous assurer que mon joystick était pratiquement inexistant.
Cela me rappelle la formule célèbre d'un amateur de fessées: "Les sévères fessées punitives, c'est bandant avant et après mais pendant c'est pendant".
Les connaisseuses et connaisseurs peuvent peut-être me le confirmer. Dès qu'un seuil de sévérité est franchi, l'excitation sexuelle tombe et fait place à de la pure douleur.


Voilà, que voulez-vous encore savoir?
Je vous le dirai la prochaine fois.

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 05:05
auparavant


Ouf! J'ai retrouvé un peu d'entrain pour continuer cette série. Vous vous souvenez certainement que j'avais dû vous laisser suite aux instructions supplémentaires concernant une très sévère punition que je devais recevoir dans cette fiction le lendemain. Je n'arrivais vraiment plus à me concentrer tant la trouille, l'appréhension du lendemain m'accaparaient.
   
La correction fessière promise par Mme Martinet s'est bien déroulée, comme habituellement, selon Maîtresse X et très mal passée à mon avis. Je dois d'ailleurs rester debout pour écrire, tant mes fesses sont encore affreusement douloureuses. Je ne savais pas que les fessées que je voyais avec plaisir en vidéo pouvait être si insupportables. La forte douleur de mes tétons commence à s'apaiser mais ils me démangent encore beaucoup. Ce n'est pas possible d'expliquer l'inexplicable mais comme visiteurs de ce blog, vous attendez des explications.

Maîtresse X y est membre

Donc j'ai facilement trouvé l'adresse indiquée (je l'avais auparavant repérée avec Google maps). C'est, arrivé au 4ème étage devant la porte où était simplement écrit "Bienvenue", que j'ai pensé tout abandonner. Je me sentais vraiment bizarre avec une enveloppe rouge à quelques courts instants d'une séance qui était sûrement douloureuse. Une fessée, certainement aux instruments, devait être très pénible à recevoir.

Je me remémorais les réactions, vues dans les vidéos, d'hommes semblant habitués et qui se tortillaient de douleur et ne pouvaient s'empêcher de se plaindre. Les corrections les plus sévères se passaient avec le puni attaché à un support. La Maîtresse leur appliquait alors avec grande sévérité et sur les fesses nues déjà fortement marquées et colorées, des coups de cane, de fouet, cravache, claquoir. C'était deux mondes séparés par un moyen de correction corporelle. Une Maîtresse décontractée, même souriante, moqueuse d'un côté et de l'autre un soumis qui souffrait le martyr. Comment peut-on en arriver là par plaisir?

une des amies de Maîtresse X

Et moi qui était là sans plaisir et pour faute professionnelle (de manière virtuelle bien sûr comme dans une fiction, mais quand même à quelques instants de la correction). C'est enfin, la gorge sèche, tout tremblant et après plusieurs minutes que j'ai osé appuyer sur le bouton de la sonnette. J'ai entendu une faible sonnerie mais aucun bruit de pas. Si Maîtresse X pouvait-être absente? Après un instant qui me parut être très long et comme je n'osais pas me représenter chez Mme Martinet sans la carte mémoire SD attestant de ma correction, j'ai re-appuyé sur le bouton. Comme je n'entendais toujours aucun bruit sauf la sonnette chétive, je me suis retourné et ai appelé l'ascenseur comme un peu soulagé.

C'est à ce moment que la porte s'ouvrit brusquement et qu'une voix autoritaire me rappela. "Viens immédiatement ici Jean-Bernard". Sans réfléchir ou chercher à résister je suis retourné vers la porte marquée "Bienvenue". Maîtresse X m'a alors attrapé par les cheveux et tiré à l'intérieur tout en refermant la porte. "Tu pensais échapper aux fessées que je te réserve". Une paire de gifles sonnantes plus tard, "Tu te fous de moi? Tu as bien 5 minutes de retard, tu te permets de sonner 2 fois puis tu appelles l'ascenseur. Regarde-moi bien, tu te crois où?" Je bégaie des réponses et des excuses. Ca commence bien, la première sonnerie était, et j'en suis sûr, seulement à 3 minutes de retard sur ma montre.

une décoration du hall d'entrée chez Maîtresse X

Je suis tremblant et commence à paniquer. Maîtresse X ne semble vraiment pas commode. "Tu te doutes bien que je t'observe depuis 16h et me demande si tu as le culot d'échapper à ta correction. Tu vas comprendre comment on respecte une Maîtresse comme moi." Elle m'arrache presque l'enveloppe, l'ouvre et lit les recommandations de Mme Martinet. J'ai un instant de calme où j'aperçois que Maîtresse X est habillée sexy mais tient à la main une méchante cane en rotin comme j'en ai vu souvent dans les films d'éducation anglaise.

J'essaye de rassembler mes souvenirs pour vous décrire ma future tourmenteuse. Un visage très sévère, ne laissant apparaître aucune possibilité d'échapper à une séance corsée. Un ensemble minirobe cuir très courte, bustier bien rempli et longs gants en simili cuir noir brillant comme je les trouvais hyper excitants dans mes visionnements. Des collants bruns foncé et des bottines noires et brillantes à talons hauts. Une sacrée allure!

Tout à coup elle dit sèchement de me déshabiller. Je commence vraiment à avoir peur mais n'ose désobéir. Tout nu, elle ordonne de me mettre à quatre pattes devant elle, pas sur les genoux mais sur les pieds et les mains. Je ne vois que ces bottines dont les pointes me retiennent un peu les mains. Pourvu qu'elle ne se mette pas sur la pointe des pieds. Je vois aussi le bout de la cane menaçante qu'elle tapote légèrement contre sa jambe.

De sa voix autoritaire elle reprend: "Les recommandations de ta patronne sont claires: très graves fautes donc sévérité maximum. Tu vas comprendre ce que peuvent ressentir des fesses nues quand on les frappe fortement avec une baguette. Tu ne t'étais sûrement pas rendu compte ce que ça fait mal quand tu t'acharnais sur Mlle Rosa? Et ce n'est pas tout, tu verras, j'ai aussi des fouets, canes anglaises, cravaches, verges etc.. Tu vas voir ce que sont des fessées insupportables que tu devras supporter. Va immédiatement dans la baignoire et douche-toi, proprement mais rapidement. Exécution!"

Comme j'ai eu un instant pour réagir, elle se pencha, m'empoigna les tétons, me tira debout et m'emmena vers la salle de bain. Je ne sais pas chez vous mais chez moi, dans la vie réelle et dans la fiction, je n'aime pas que l'on me pince les tétons. Ce que ça fait mal! Et Maîtresse X n'y allait pas de main morte. Elle connaissait ce point faible de certainement la plupart des soumis. Je comprenais vraiment le cri de douleur de Rosa quand je m'étais occupé du bout de ses seins.

Tout tremblant, je me douche. L'eau est agréable mais la propriétaire de ces lieux ne le semble pas du tout et tout à fait capable de me faire passer un très mauvais moment. Comment vais-je supporter tout ce qu'elle voudra me faire subir? Je suis si nerveux que je gicle un peu en dehors de la baignoire. Je n'ai pas fini de m'essuyer que Maîtresse X est de retour pour me stresser quand elle aperçoit la tache d'eau par terre. Elle n'hésite pas longtemps: "Mets-toi debout les mains sur la tête et attends-moi, je vais t'apprendre à mouiller la salle de bain de ta Maîtresse".

une autre sévère amie de Maîtresse X

Elle revient rapidement avec ce qui me semble être une baguette synthétique très flexible, pas trop longue. Etant droitière elle me pousse un peu à droite et ordonne de me mettre sur la pointe des pieds, les mains sur la tête, de bien présenter mes fesses en arrière et surtout ne pas bouger. Le premier coup arrive rapidement, c'est affreux ce que c'est douloureux. Je m'enfonce dans la baignoire en me tenant les fesses des 2 mains.

Vous ne pouvez pas savoir, mes lecteurs et surtout mes lectrices, ce qu'une petite baguette synthétique de rien du tout, comme celle que tient ma Maîtresse, peut faire mal! "Jean-Bernard, t'ai-je autorisé à quitter ta position ?". "Cela fait trop mal Maîtresse X, c'est insupportable, pitié, je ne veux pas continuer". "T'ai-je demandé si ça fait mal, cela je le sais, je veux que tu te remettes en position. Compris!". "Oui, oui Madame". "Appelle-moi toujours Maîtresse X!  Compris? Debout en place!"

l'affreuse et hyper douloureuse cane synthétique

Je n'avais reçu qu'un coup et je n'en peux déjà plus. Que faire?
Une chose que je suis en tous cas autorisé à faire c'est de vous laisser patienter jusqu'à la prochaine fois.

A bientôt pour la suite de cette fiction-fessée!

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Lundi 2 juin 1 02 /06 /Juin 08:30
auparavant


Je vous avais quitté quand, dans cette fiction, c’était le lendemain du jour où j’avais fessé Mlle Rosa. Elle avait heureusement retrouvé son sourire habituel et moi j’allai bientôt le perdre.

Mon humeur changea quand je ne savais plus exactement ce que j’avais fait de la baguette utilisée le jour précédent sur les fesses dénudées de Rosa. Je ne me rappelais pas l'avoir prise avec moi ni l'avoir détruite et éliminée. Où pouvait-elle bien être? Je ne pouvais demander si quelqu'un l'avait vue. Ce point m'embêtait. On n'est pas toujours assez prudent. Mlle Rosa avait-elle à voir avec cette disparition?

la disparition de la baguette m'occupait plus l'esprit que des images comme celle-ci

Je n'ai pas pu penser plus longtemps à ce mystère car le téléphone sonna et Mme Martinet me donna l'ordre de passer immédiatement à son bureau. Il n'y avait qu'à dire "Oui madame la directrice". En allant à cette convocation j'eus l'impression que Rosa n'osait pas me regarder. Avait-elle quelque chose à se reprocher?

Dès que j'eus sonné à la porte de la directrice, celle-ci m'ouvrit, me fit entrer et avant que j'ai pu dire un mot, elle m'avait appliqué une paire de gifles sonnantes de sa main gantée de cuir noir. Mme Martinet, habillée en tailleur strict, collant foncé, hauts talons et gants de cuir, savait recevoir. Tout alla ensuite très vite. Elle m'empoigna par les cheveux, m'amena vers son bureau et ouvrit le tiroir. Il y avait une baguette.

pas le temps de penser à une scène pareille car la baguette me préoccupait toujours

Mais était-ce bien la baguette avec laquelle j'avais strié les fesses de Rosa et alors que faisait-elle dans le bureau de la directrice? L'explication ne tarda pas. Mme la directrice l'avait simplement elle-même changé de tiroir. Elle me sermonna comme je ne l'avais encore jamais été. Elle avait trouvé inadmissible mon comportement de punisseur de la veille et comptait bien ne pas en rester là.

Madame la directrice ne pouvait tolérer mon comportement. Mlle Rosa avait été humiliée quand je lui avais écarté sa fente, elle avait eu très mal aux tétons, était à nouveau humiliée de devoir séparer ses fesses. Et comme si cela ne suffisait pas, ma baguette s'était encore acharnée sur son derrière sensibilisé par ma fessée manuelle.

Comme elle me considérait en bon élément et ne voulait pas se séparer de ma collaboration, elle décida de me punir. J'imaginais déjà la voir prendre une cravache et me martyriser les fesses. Au lieu de cela elle s'assit à son ordi, compléta minutieusement un formulaire, l'imprima, le signa et le mis avec une carte mémoire SD dans une enveloppe A4 rouge foncé. Après avoir fermé l'enveloppe, elle la cacheta à la cire avec une marque "PM". Je n'osais pas lui demander d'explication. Elle me donna ensuite la missive en m'expliquant qu'il ne fallait pas la plier et que c'était des instructions pour ma punition. Je devrai me présenter chez une certaine Maîtresse X considérée comme très sévère et intransigeante. Pour me mettre l'eau à la bouche, elle m'informa que la fessée de Mlle Rosa n'était rien par rapport à celles qui m'attendent.

j'essayais d'imaginer Maîtresse X avec beaucoup d'appréhension

J'ai bien essayé de m'y opposer mais rien n'y fit. Je n'avais pas le choix. Je vous le répète mais dans cette fiction, je ne suis pas habitué à être fouetté sévèrement. En la quittant elle me dit encore que je recevrai des informations supplémentaires et qu'il faudra lui ramener la carte SD après la correction comme preuve de mon passage chez Maîtresse X.

Comme rédacteur de cette fiction, je vous dois ici une petite explication concernant Maîtresse X. X était son nom de Maîtresse avec l'entreprise car elle voulait rester incognito, discrète. Sur la qualité de son travail je ne peux vous en apprendre grand-chose car je ne l'ai jamais croisé. Mais l'enveloppe A4 commence à m'inquiéter. Je ne connais pas son contenu et ai l'interdiction de l'ouvrir.

En rejoignant ma place de travail, plusieurs collègues m'ont fait une observation sur la belle enveloppe rouge foncé. J'avais même l'impression que certains se doutaient de quelque chose. En tous cas Mlle Rosa n'osait plus me regarder.

serai-je attaché ainsi?

Les 2 nuits suivantes, je n'ai presque pas dormi. J'appréhendais beaucoup de me faire fouetter. Maîtresse X devait connaitre d'autres techniques que les fessées à la main. Par des photos et des vidéos, j'avais vu comment certaines Maîtresses peuvent être sévères. Certaines ne se gênaient pas d'appliquer fortement des canes anglaises, cravaches, verges et ceci toujours sur les fesses nues. Elles ne se préoccupaient pas des réactions du soumis. S'il les gênait, elles les attachaient et même leur fixaient un bâillon-boule. La séance se terminait rarement sans les fesses fortement rougies, striées. Et les bruits d'une telle séance sont impressionnants même excitants comme voyeur. Les ordres de la fouetteuse, les sifflements des instruments de châtiment, les ahhh, aie, ouh la la, les pleurs parfois.

Je ne savais pas quand cela se passerait ni comment je supporterai. Au travail, j'avais de la peine à me concentrer. Déjà 4 jours que Mme Martinet m'avait convoqué. M'avait-elle oublié? Et pourtant ce que Madame la directrice disait se passait toujours. Si je n'avais pas succombé à la "provocation" de Mlle Rosa, je serais en train de travailler sans souci du lendemain. Je commençais à me résigner car Mlle Rosa avait aussi souffert quand je lui avais strié ses belles fesses si désirables. Depuis quelques jours je ne voyais même plus les belles femmes que je croisais en entreprise ou dans la rue. Seule la correction promise me hantait l'esprit.

Maîtresse X aura-t-elle une assistante pour me corriger?

Malheureusement Madame Martinet ne m'avait pas perdu de vue et se rappela à mon souvenir le lundi suivant. Un email sécurisé (OpenPGP, Enigmail et Thunderbird vous connaissez certainement ?) intitulé "Instructions supplémentaires" et provenant de Mme la directrice me surpris. J'ai du m'y prendre à plusieurs fois pour introduire la bonne phrase secrète tant mon cœur battait et l'appréhension me submergeait. Le corps du message disait ceci:

"Jean-Bernard, vous vous rendrez sans faute demain pour 16:00 et avec l'enveloppe rouge foncé non pliée à cette adresse (suivait les coordonnées de Maîtresse X dans une rue commerçante au centre de Genève). N'oubliez pas de redemander la carte SD sous peine de retourner pour une nouvelle séance. Vous prendrez ensuite de 3 jours de congé pour vous retaper. Excellente fessée!"


Désolé chers lectrices et lecteurs mais mes pensées sont tellement prises par la séance-punition que je dois recevoir demain que je reprendrai cette fiction la prochaine fois.

 A bientôt
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 15 mai 4 15 /05 /Mai 08:20
auparavant

La fois précédente, dans cette fiction, Mlle Rosa a été décrite. Et comme vous pouvez certainement le comprendre je me suis pris dans un engrenage de sans gêne vis-à-vis de cette belle personne. Une petite claque sur les fesses de temps en temps ne fait pas de mal. Mais une idée plus osée avait émergé de mon imagination.

J’avais remarqué que, comme Mlle Rosa papotait et popotinait aussi souvent avec ses collègues, elle accumulait des retards dans son travail et restait ainsi parfois le soir pour le terminer. Comme par hasard, je me suis aussi retrouvé un soir à devoir terminer une tâche. Evidemment, probablement sans s’en rendre compte, elle s’arrangea pour passer près de moi avec sa démarche excitante. Ce soir là elle portait une mini robe enveloppant son corps magnifique. Ses seins oscillaient sans contrainte sous le haut de sa robe, elle ne portait visiblement pas de soutien-gorge. Il suffirait certainement de détacher deux petits boutons et ses magnifiques seins se retrouvaient à l'air libre. Un vrai appel à faire une petite bêtise!

Je vous l’avais déjà dit, je ne suis pas de bois, et quand la belle jeune femme passa à portée, j’ai commis l’irréparable. Mlle Rosa s’est retrouvée couchée sur mes genoux. Vous n’êtes pas sur mon blog sans savoir que les fessées m’intéressent. Et j’avais un magnifique derrière à la bonne distance de ma main. Sa jupe retroussée, j’avais ses fesses nues devant moi. Son micro slip ne cachait pas grand-chose. J’aurais pu me contenter de me rincer l’œil.

Mon sang ne fit qu’un tour et j’abatis ma main sur ses globes rebondis. Sentant que la jeune femme appréciait mes intentions, la première claque se transforma en fessée sonnante et rougissante. Un claque en amenant une autre, les magnifiques fesses s’étaient réchauffées et colorées d’un rouge de plus en plus foncé. Rosa appréciait toujours et son string ne pouvait le cacher mais me gênait quand même un peu pour voir entièrement son entre-fesse. Sans trop réfléchir, je lui ai abaissé le string sur ses cuisses.

Et pour améliorer le paysage, je lui ai bien écarté sa fente. Mais Rosa ne m'a pas laissé admirer ses trésors, elle s'est levée d'un coup et mis ses mains en paravent sur son intimité. Plutôt énervé, j'ai profité qu'elle avait les mains occupées pour détacher les deux boutons que j'avais repérés à sa robe et libérer sa magnifique poitrine. Puis, toujours dans mon élan, lui ai pincé les tétons, les ai légèrement tordu et tiré vers le haut en lui ordonnant d'écarter elle-même fortement ses fesses.

La pauvre a poussé un cri qui m'a fait lâcher les extrémités de ses seins. Je pense qu'elle a dû avoir très mal et je ne m'en étais pas rendu compte en serrant ses tétons. Le fait est qu'elle s'est retournée, penchée en avant et, les 2 mains agrandissant sa fente, m'a montré ses trésors les plus personnels. Son sexe humide montrait que la fessée lui avait convenu. Son petit trou du cul me regardait aussi droit dans les yeux.

J’étais toujours plus excité et ce n’est pas mon joystick qui le démentira. Je devais continuer la fessée. Un petit bémol cependant, mes mains étaient douloureuses.

n'ayant pu prendre une photo, cette illustration vous montre un peu le topo

De nouveau une petite parenthèse. Dans ma vraie vie, j'avais bien essayé d'introduire la notion de petites fessées partagées à la main mais ces pratiques sexuelles n'ont jamais passé la rampe chez ma partenaire. Dommage! Je ferme donc la parenthèse et vous raconte la suite de la fessée que j'ai débutée avec Mlle Rosa.

Donc mes mains étaient douloureuses (dans une fessée, le but n'est pas d'avoir mal à la main mais bien de faire souffrir des fesses), mais heureusement que dans ma prévoyance j’avais apporté discrètement ce matin là une baguette fraiche. Une de ces baguettes choisies exprès pour fouetter sévèrement. Une de ces tiges bien droite, souple, flexible, qui siffle magnifiquement en fendant l'air.
Pendant la journée, j’avais aussi dû faire attention quand j’ouvrais le tiroir du bureau tant la baguette était inhabituelle à cette place et pouvait être aperçue.

J'ai rebasculé sur mes genoux la femme dont je réchauffais les fesses. Ses magnifiques seins pointaient vers le sol. Puis j’ai ouvert le tiroir et extrait un objet qui allait lui strier son magnifique derrière. Jamais dans ma vie réelle je n'ai eu l'occasion d'infliger une telle fessée et en plus sur un postérieur de belle femme. Dans cette fiction, je me laisse donc aller à mettre en pratique un de mes phantasmes (fesser sévèrement un derrière féminin).

Dès le premier coup de baguette, Rosa s’est raidie et a cherché à échapper à cette agression. Puis elle s’est contrôlée et ne m’empêchait plus de lui appliquer cette tige prévue pour corriger des fesses certainement plus méritantes que les siennes. Elle ne m’avait rien fait et j’étais en train de la fesser avec une baguette qui devait lui faire vraiment mal. Tout à mon excitation, je ne m’apercevais pas de la sévérité de mes gestes.
Est-ce après 2 ou 3 douzaines de coups que je l’ai relâchée ?

c'est un peu à cela que ressemblait le fessier de Mlle Rosa après le passage de la baguette

La pauvre demoiselle s’est remise sur ses jambes, regarda en pleurant ses fesses maltraitées. La baguette n’avait pas uniquement puni ses fesses mais aussi le haut de ses superbes cuisses. Et comme chacune et chacun le sait, l’extrémité d’une tige à fessée un peu souple et flexible marque aussi fortement la hanche et le côté de la cuisse. Voyant ses larmes couler et l’état de ses chairs, je me suis extrait rapidement de mon excitation. Elle releva ensuite son mini slip et réajusta sa robe.

J’étais vraiment désolé et ne savais pas comment me faire pardonner. Heureusement dans sa gentillesse Mlle Rosa me rassura qu’elle ne ferait pas d’histoire et que l’affaire pourrait en rester là. Elle m’expliqua que le premier coup de baguette l’avait vraiment surpris et qu’elle avait du faire un énorme effort pour ne pas m’empêcher de continuer la fessée. J’ai compris alors qu’elle avait vraiment souffert de la sévérité de ce que je pensais être juste un jeu entre adultes consentants. Elle me le confirma et avoua qu’une fessée à la main l’excitait beaucoup mais pas une correction à la baguette. Un mauvais souvenir semblait lui remonter en mémoire.

Rosa connaissait pourtant mon désir habituel de ne pas blesser, de respecter les autres. Pourquoi ne m’a-t-elle pas stoppé dès le premier coup de baguette ? Elle m’avait avoué qu’elle aimait exciter, provoquer mais ne s’attendait pas à ce que je dispose d’une baguette si cruelle. De mon côté je lui ai dit que je pensais qu’elle apprécierait certainement une bonne fessée à la baguette et j’avais choisi une tige qui pouvait être sévère. Sans en discuter il n’est pas toujours aisé d’être sur la même longueur d’onde (ondulations des fesses pendant la punition).

Je lui ai offert de manger à l’extérieur et lui ai promis de ne plus m’aventurer dans ce domaine érotique. Elle m’a rassuré que c’était pardonné. Elle était aussi soulagée que cet incident s’était passé maintenant sans petit ami actuel. La soirée s’est bien déroulée et aucun de ses détails ne devrait vous intéresser petites coquines et coquins.

Le lendemain, Mlle Rosa, qui portait des pantalons pas trop serrés, évitait comme par réflexe de passer trop près de Jean et de moi-même. C’était son droit, elle ne devait pas se justifier. Elle n’avait pas perdu son sourire. C’est moi qui allai bientôt perdre le mien mais cela c’est un autre article de cette fiction qui le montrera.

A bientôt !

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 08:13
auparavant


La dernière fois, dans cette fiction, je vous avais donné l’eau à la bouche en vous parlant de Madame Martinet, la directrice.

Dans mon service, il y a aussi, à part quelques collègues classiques, Mlle Rosa notre secrétaire. Il m’est difficile de décrire cette jeune personne, il faut la voir de ses propres yeux. Imaginez une belle femme, la vingtaine, une beauté à couper le souffle, pas farouche, semblant très portée sur les choses.

Un peu petite mais un corps parfait, bien proportionné. Des seins bien ronds légèrement pointant, fermes, bien positionnés. Un bas du dos un peu cambré, un profil excellent légèrement creusé sous le ventre, au début des cuisses. Depuis derrière, ses fesses bien enveloppées d'un jeans serré blanc, noir ou autre, tout lui va à ravir. Des fesses bien rebondies vers l'arrière et le haut. Un espace entre ses cuisses, vers le cul, écartées juste ce qu'il faut pour donner l’envie de la pénétrer en levrette. Un entrejambe très excitant où l’on pourrait facilement y enfiler la main. Un cul de rêve fait pour la baise (l’ai-je déjà dit ?). Si elle fornique aussi bien que son corps est magnifique cela doit être au top.

J’ai oublié de vous parler qu’elle est blonde avec un visage de madone, de sainte nitouche. Très souvent souriante. N’étant pas trop grande, elle équilibre sa taille par des chaussures à talons. Avec un port de reine, cela lui donne une de ces allure qu’il est parfois difficile de se concentrer sur son boulot.

Même la tête penchée sur son ouvrage, on l’entend passer de sa démarche souple. Ces talons fins et hauts ne lui permettent pas d’arriver en silence. Même un sourd ne pourrait échapper à sa présence tant son parfum est adapté à son corps, sa personnalité. Une fragrance légère, qui met immédiatement de bonne humeur. Rien à voir avec un célèbre parfum à numéro et lourd.

Certains jours en pantalons de ville ou en jeans, d’autres en jupe, évidemment mini, montrant ces belles jambes. Un beau brin de fille. Vous la verriez en jupe courte serrée à la taille mettant en valeur les courbes excitantes de son popotin. Vous êtes assuré d’une journée de bonne humeur.

Un de mes collègues, Jean, pas du tout inhibé, s’amuse à lui donner parfois une petite claque sur les fesses. La belle Rosa rouspète. Certainement pour la forme car pourquoi continue-t-elle à passer si près ?  Pourtant la main de mon collègue ne s’agite pas quand madame la directrice passe dans son voisinage. Ce n’est sûrement pas l’envie qui lui manque. Il y a parfois des réflexes qu’il faut savoir maitriser. Il semble même faire partie de ceux qui craignent beaucoup madame Martinet.

comme je n'ai pas osé photographier le beau cul de Mlle Rosa, j'en ai trouvé une assez ressemblante
 
C’est ici que j’interviens plus activement dans cette fiction. Comme la plupart des personnes, dans la réalité de la vraie vie, je ne m’aventure pas dans ce genre de choses. Mais dans une histoire, je peux prendre des libertés correspondant à mon imagination.
L’ambiance provoquée par les vidéos ou images qu’il est autorisé de visionner sur mon PC et la proximité de belles femmes telles que Mlle Rosa ou Madame la directrice n’a pu empêcher ma main de se balader.

Titillé par le parfum de Rosa tandis qu’elle s’entretenait avec un collègue près de moi, je n’ai pu me retenir de lui mettre la main aux fesses quand elle est passée à coté. Comme Jean je ne suis pas de bois. Mlle Rosa ne se vexant ou ne se fâchant que rarement, je n’ai pas été remis à ma place par une gifle mais par un grand sourire presque complice.

Evidemment j’étais pris dans l’engrenage. La belle demoiselle passait aussi plus souvent près de moi comme elle avait pris l’habitude avec mon pote Jean. Venait-elle uniquement pour me provoquer ou attendait-elle à nouveau une petite claque sur les fesses ? Mon esprit de déduction a penché pour la deuxième possibilité. Seule la présence de Mme Martinet ou de personnes étrangères au service m’empêchait de me détourner de mon travail.

Après des mois de ce petit manège, une idée germa dans mon imagination. Dans la vie réelle cette idée serait restée dans mes petits neurones. Mais dans une fiction pourquoi ne la mettrai-je pas en pratique ?

La prochaine fois je vous raconterai où une petite idée de rien du tout m’amena. Cette petite idée qui n’aurait pu provoquer qu’un renflement au sommet de mon pantalon.

A bientôt !

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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