On peut rêver

Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 16:43
Bonjour Maîtresse, j'ai été convoqué pour être interrogé sur la fiction Coco t'as bien fait. Eh bien me voilà!

Princesse Christine : "Pour commencer jeanber, tu vas m'appeler Princesse Christine. Tu te mets aussi à genoux devant-moi avec les mains derrière la tête. Compris?"

JeanBer : "Oui Cri-cri" (grand sourire)
Slap, slap, slap, slap (2 paires de gifles bien envoyées)
Elle a un de ces parfum super agréable, je ne connais pas la marque mais c’est du genre à ne plus vous lâcher et vous mettre de super bonne humeur.

PC : "Ce n'est qu'un début, je sais mâter les garçons difficiles. Compris?"

JB : "Oui, oui, Princesse Christine"

PC : "Voilà qui est mieux. Ne bouge pas, je dois sortir deux minutes"

JB : "Oui Princesse Christine"
Toc toc toc toc … (le bruit excitant des talons de cette très belle Maîtresse qui s’éloigne de moi). Elle est habillée très sexy, des bottes à bouts pointus et hauts talons fins, des pantalons noirs arrivant aux genoux, un haut assez décolleté, le tout en cuir brillant. Un vrai délice pour les yeux.

une des cannes de correction que Princesse Christine ramène

Toc toc toc toc. La voilà qui revient avec des instruments de punition, en plus de sa cravache de dressage qu'elle avait déjà auparavant, elle ramène une verge de rotin, 2 cannes assez fines et un martinet en cuir de section ronde (c'est une connaisseuse, elle sait que ces fines lanières sont moins freinées par l’air et sont donc plus douloureuses en frappant les fesses).
Avec ce qu’elle a ramené, j’ai intérêt à bien respecter ses instructions.

le martinet d'une connaisseuse

PC : "jeanber, merci de m'accorder cette interview pour mon magazine
<<L'Echo des Fessées>>. Tu viens de terminer cette fiction centrée sur le magnifique travail effectué par la BAF, comment te sens-tu ?"

JB : "Ayant publié le dernier article de cette fiction, je me sens un peu nu"

PC : "Tu vas très vite être véritablement nu si tu ne te tiens pas bien droit devant moi"

JB : "Oui Maîtresse"

PC : "Je t'avais dit de m'appeler Princesse Christine. Tiens pour t'apprendre"
Crack, crack, crack, … (elle m'applique 5 – 6 coups de cravache sur mes fesses heureusement couvertes par les pantalons).

JB : "Aie, aie ce que vous frappez fort Princesse Christine"

PC : "C'est normal, je ne suis pas une Maîtresse de théâtre. Reprenons ton interview. Tu t'es bien amusé en écrivant cette histoire. J'ai même l'impression que parfois tu règles des comptes avec certaines personnes en leur imposant des fessées, des corrections, des châtiments"

JB : "Oui, tu, oups, vous avez un peu raison"

PC : "Comme tu as de la peine à te comporter avec moi comme avec une personne supérieure, tu vas te déshabiller complètement"

JB : "Oui cricri, oui Princesse Christine"
Je me dénude complètement comme ordonné par cette Maîtresse. Elle empoigne alors la verge de rotin et me donne une dizaine de coups vraiment très fort, birch, birch, birch, … sur mes fesses sans protection. Elle est vraiment sans pitié.

JB : "Aie, aie, aaaah ! Vous me faites trop mal Princesse Christine"

PC : "C'est bien ce que je désire. Revenons sur ton histoire, tu me disais qu'il était vrai que tu faisais fouetter des personnes précises"

JB : "Oui Princesse Christine, la plupart des personnages de ma fiction ont une existence dans la réalité. Certaines personnes ont le même prénom, d'autres pas, pour certaines autres c'est surtout la fonction, qui m'intéressait. Avec vous par exemple, vous avez une réalité chez OWK"

PC : "Oui beaucoup de personnes me confondent avec la Maîtresse d'OWK. Revenons à la fiction. Tu as plutôt tendance à punir des femmes. Pourquoi?"

JB : "C'est tout simple. Etant un homme sans aucune attirance pour le même sexe, il m'est plus facile d'imaginer des fessées pour des femmes, de les mettre à nu. Mais les hommes dans ma fiction sont aussi punis comme ils le méritent"

PC : "Tu es parfois très sévère avec tes personnages"

JB : "Faut pas exagérer. Je me moque parfois aussi de l'application trop stricte des règlements. Ceux-ci sont évidemment prévus pour être respectés mais sans empêcher de les adapter quand la situation le demande. Il est vrai aussi que la sévérité des punitions est grande. C'est ce que je demande pour moi à une Maîtresse mais à l'intérieur de limites (voir ici). Une correction, quand on a fauté, doit être sévère, douloureuse. Autrement ce n'est pas sérieux. Je conçois la fessée plutôt comme de type punitive. Ce doit être une punition et pas un amusement. Bien sûr dans la réalité, c'est entre adultes qui sont d'accord de jouer à la fessée punitive. Vous me comprenez ?"

PC : "Alors c'est violent"

JB : "Non Princesse Christine, je ne l'assimile pas à de la violence. Les corrections ne doivent pas blesser, à part peut-être sa fierté. Ce n'est pas de la méchanceté mais uniquement un moyen d'améliorer une personne, une situation. Dans la réalité je conçois, pour moi-même, des fessées moins intenses, moins concentrées. C'est un avantage de la fiction, de pouvoir fesser souvent, sévèrement, avec des instruments différents sans s'inquiéter de l'état des fesses. Pour la plupart de mes personnages non habitués aux fessées, la sévérité des punitions n'est pas réaliste. De plus, dans la réalité, une organisation telle que la BAF qui 'soustrait' brièvement des personnes pour les fesser car elles trichent, aurait vite des ennuis"

PC : "Il  est vrai qu'à te voir tu n'as pas l'air méchant"

JB : "Exactement Maîtresse Christine, je .. "
Switch, switch, switch  (elle m’applique sévèrement trois coups de canne)

JB : "Vous me faîtes mal"

PC : "Je t'avais ordonné de m'appeler Princesse Christine, compris?"

JB : "Excusez-moi Princesse Christine. Je m’oublie en expliquant la fiction mais vous avez raison"

PC : "Bien sûr que j'ai raison. En tant que Femme, Maîtresse, Princesse, je suis supérieure au sexe dit fort et en particulier à toi. J'en ai maté de plus coriace, crois-moi jeanber "
Clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac… (une série de claques puis elle se frotte la main)

JB : "aiiiiiie ! Vous me faites très mal Princesse Christine!"

PC : "Tu exagères jeanber, c’était certainement plus douloureux pour moi ces claques à la main. La prochaine fois que tu mérites, le martinet fera mieux l’affaire. Et te faire mal, c'est ce que je veux si tu ne me respectes pas à ma juste valeur. Il faudra te le mettre dans ta petite tête d’être inférieur"
Encore une qui pète plus haut que son cul. Qu’elle est prétentieuse cette Maîtresse !

JB : "Oui Princesse Christine"

PC : "Penche-toi en avant et baise mes bottes, esclave. Et ne te relève pas avant que je te l’autorise. Compris ?"

JB : "Bien Maîtresse Christine"
Je me mets en avant, mes fesses se tendent et s’ouvrent un peu. C’est excitant de lui montrer ainsi mon cul. Pendant que je lui baise ses chaussures sexy, je sens aussi la bonne odeur du cuir.
Hmm ! C’est bon. Je m’applique à lui montrer sa supériorité quand…

un bon moment quand ...

PC : "Baise mes chaussures mieux que ça ! Exécution !"
Birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, … …

JB : "Ah, ah, aaah !  Vous me faîtes mal Princesse Christine"  (la sal… en profite que j’ai les fesses bien positionnées pour me fouetter avec la verge en rotin et je n’ose pas me relever et y échapper. Les extrémités des fines tiges m’atteignent de plein fouet sur les cuisses. Et cela est très douloureux)
Après une douzaine de fois, les méchantes baguettes souples et flexibles me laissent tranquille.

PC : "Tu peux te relever, boy. Ne touche pas tes parties fustigées et remets tes mains sur la nuque. Compris mec ?" (elle n’a pas besoin de m’engueuler ni de crier comme ça, je ne suis pas sourd)

JB : "Oui Princesse Christine. Merci de m’améliorer Princesse Christine"
Voilà je suis de nouveau bien droit, les mains derrière la tête et à genoux devant la sévère Maîtresse.

elle doit le savoir pour me fustiger si sévèrement

Je dois encore lever un genou après l’autre pour qu’elle puisse enfiler la verge en dessous. La position devient d’un coup beaucoup moins confortable. Tout le poids du corps repose sur les tiges en rotin sous les genoux. Les orteils de mes pieds ne servent qu’à maintenir l’équilibre.
Il faut bien avouer que dans cette position, les verges sont quand même moins douloureuses que sur mes cuisses.
J’espère tenir assez longtemps dans cette position pour satisfaire la très sévère Maîtresse. Elle n’a pas l’air commode cette prétentieuse.

PC : "Grâce à ce petit inconvénient, tu devrais te souvenir plus facilement du respect que tu me dois. Tu ne représentes pas grand-chose pour moi à part des parties à fesser. Alors concentre-toi et ne me déçois pas. Compris esclave ?"  (elle me l’a de nouveau dit sur un ton irrité).

JB : "Oui, oui Princesse Christine. J’ai compris"  (je dois vraiment faire gaffe et me concentrer car cette interview commence à être très pénible physiquement)

PC : "Bien, revenons à ce que tu m'expliquais"

JB : "Je vous disais que je ne suis pas méchant. Je pense même être trop gentil. Mais parfois il est nécessaire de pousser une grande bouellée (gueuler bien fort) quand d'autres poussent le bouchon un peu trop loin"

PC : "C'est comme moi avec les baguettes, si tu exagères ou me manques de respect, je dois sévir"

JB : "Oui Princesse Christine vous me l’avez montré et je vous remercie encore de me corriger si je le mérite"

PC : "Quand je fustige un être inférieur comme toi c’est toujours mérité et tu ne te rends pas compte du travail et de l’énergie qu’il me faut pour remettre les hommes dans le droit chemin"

JB : "Je vous comprends Princesse Christine"  (son doctorat en fesséologie lui est monté à la tête, ça lui passera certainement)

PC : "Merci à toi de me comprendre et de m’accorder cette interview"

JB : "Je vous en prie Princesse Christine, le plaisir est pour moi"  (je n’ose pas dire à cette angoisse que les tiges sous mes genoux sont toujours plus désagréables, que j’ai envie de frotter mes fesses et cuisses car elles se souviennent des instruments de la Maîtresse. Mais mes petits soucis d’interviewé ne doivent pas compter à cette très importante personne)


Voilà, je continuerai à vous raconter cette interview fiction une autre fois

A bientôt
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 5 août 7 05 /08 /Août 04:18
auparavant


Comme promis la dernière fois, je vous donne ci-après quelques bruits entendus sur la séance générale qui a eu lieu au début octobre 2010:

Quelques personnes connues du grand public étaient présentes comme membres de la BAF. Aucun journaliste ou personne extérieure à la BAF n'a pu assister à cette assemblée (même moi n'y ai pas eu droit).

Les inventions ou concepts plébiscités sont les lunettes Optique 2010, la Valise, l'IDS (Images et Discussions Surveillance), les parfums (SanVolonté), et les culottes Formicul.
L'informaticien a reçu des félicitations spéciales pour le très bon fonctionnement des communications, de l'informatique en général et de l'IDS en particulier. Aucune attaque contre le système informatique n'a eu lieu grâce au véritable IDS (intrusion detection system) toujours maintenu en dernière version stable avec des règles mises à jour ou créées par l'informaticien.

Presque tous les acteurs de la partie des corrections corporelles portaient un masque de cuir pour les rendre anonymes. Ils s'étaient changés après le repas. Il y a eu bien plus d'hommes tentés de baisser leur culotte pour les différentes démonstrations. Ils étaient habillés en T-shirt et short.

Beaucoup de femmes spectatrices ont eu très plaisir de voir ces mâles subir des châtiments corporels. Les gifles, brimades, très sévères fessées ne se comptaient plus. Tous les hommes étaient présents en même temps. Certains étaient fustigés, d'autres étaient soit attachés, soit utilisés comme sièges ou occupés à des tâches de larbins. Pour prendre soin de ces hommes volontaires, il y avait 5 Maîtresses (Jana, sa tante la Princesse et trois BAFfeuses).

une BAFfeuse pendant les démonstrations

Toutes ces sévères femmes étaient habillées très sexy. Maîtresse Christine était en cuissarde de cuir noir à hauts talons, les cuisses gainées de collants foncés. Elle portait aussi une casquette, une veste, un short et des gants en cuir. Qu'elle était excitante dans son rôle de responsable de donjon.
Jana était plus belle que jamais dans un ensemble pantalon très ajusté et veste tout en cuir noir. La veste était entrouverte sur un chemisier blanc, à la limite du transparent, où les seins très fermes avaient toute liberté de se mouvoir. Elle portait évidemment des bottines à hauts talons et bouts pointus. Quand elle marchait, ses deux fesses bien rondes sous le fin pantalon de cuir faisaient certainement se dresser plus d'un attribut masculin. D'ailleurs un des futurs fessés n'en pouvait plus de raidir.

des chaussures à ne porter que pour les jeux d'adultes

Chez les 3 BAFfeuses, une était habillée en Maîtresse d'école très stricte (lunettes, jupe serrée et chaussures à talons), une autre en mini-jupe de cuir noir et la troisième en tenue de fitness et gants de cuir.

Les femmes à être corrigées étaient moins nombreuses et sont entrées en scène vers la fin des punitions pour hommes. Parmi ces courageuses femmes, il y a eu la psychologue du Conseil qui voulait se rendre compte de l'intérieur ce que ressentaient les personnes subissant la Valise. Une autre téméraire était une Call qui restait souvent à écouter les Punitions en se promettant de profiter de la première occasion de tester aussi la Valise de l'intérieur.

Une autre femme voulait par simple curiosité connaître une bonne fessée avec une verge de rotin puis quelques coups de canne. C'est Maître Birch (de Birch For Ever) qui lui a montré comment on punit les curieuses.

une très belle et téméraire curieuse

La Princesse, pour réussir son doctorat en fesséologie, a dû passer par une BAFfeuse et la Valise puis par les démonstrations des châtiments infligés chez BFE. Après la Valise ses fesses étaient déjà bien marquées mais après les traitements à la sauce BFE par M. Birch, elles faisaient peine à voir. Elle n'a plus pu s'asseoir pendant trois jours.

La dernière femme à être fessée est bien évidemment Jana par pur plaisir. Après les punitions de tous les autres, elle finissait à peine le dressage d'un mâle, qu'elle a exécuté un strip-tease. Toute nue (quelle femme magnifique), elle s'est installée à quatre pattes dans le carcan de la Valise.
La suite se devine facilement. Tous les participants fesseurs ont profité de ce postérieur de rêve pour satisfaire une dernière fois leur plaisir d'infliger des fessées. Jana jouait très bien à ce jeu là. Elle tortillait ses fesses parfaites et présentait sa fente de manière indécente. Faut dire qu'elle se savait très belle et désirable. En plus, comme toujours, elle aimait faire plaisir aux autres.

Jana pendant son strip-tease

Quel beau spectacle sado-maso les Maîtresses, le Maître et les soumis ont donné. Quel plaisir ils  montraient pour punir leurs soumis. Une spectatrice toute excitée a même pu monter sur scène et apprendre avec de vraies Maîtresses et de sévères instruments à fustiger comme il faut un derrière masculin. Elle s'est même inscrite ensuite pour recevoir  une Punition complète avec la Valise.


Voilà, la fin de cette fiction approche.
J'avais commencé par raconter, en début d'année, pourquoi le chanteur français avait été à Gstaad. Eh bien, il y est resté, a appris le suisse allemand et accompagne parfois des Yodler en tournée. Il passe aussi sa retraite à se produire pour des œuvres de bienfaisance.

Ah, encore une petite chose. Il ne s'est douté de rien sur le rôle de sa femme chérie dans la BAF. Quand Yaka était très stressée avant de partir pour Londres et était revenue soulagée cela ne l'avait pas intrigué. Yaka avait aussi pris sur elle de superviser les actions au plus haut niveau pour ne pas voir son Jojo chéri devoir rencontrer une Call ou une BAFfeuse.


A bientôt pour d'autres articles
JeanBer
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 29 juillet 7 29 /07 /Juil 17:29
auparavant


Comme annoncé dans l'épisode précédent de cette fiction, le Conseil s'est réuni au milieu de l'année 2010 pour organiser une séance générale, prévue au début octobre, avec la participation de tous les membres de la BAF. Un petit concours interne désignera aussi les meilleurs inventions ou concepts ayant permis le succès de la Brigade anti-fuite.
Et en fin d'année 2010, l'Action Fessées de Noël sera reconduite.

Cette réunion générale d'octobre se déroulera en quatre parties:
  • annonce des résultats anti-fuites fiscales obtenus, de la suite de la BAF, discussions diverses, questions auxquelles on peut répondre
  • l'assemblée sera suivie d'un repas
  • une partie variété avec différentes démonstrations telles que Punition avec la Valise, châtiments pratiqués chez BFE et DsK
  • résultats du concours interne, fin de la réunion (remerciements, félicitations)

Depuis 2006 une énorme quantité de données ont été analysées et mises en forme pour être présentées. Au vu des résultats, la BAF sera dissoute à la fin juin 2011. Tout le personnel sera payé jusqu'à cette date. Au printemps 2011, un livre ainsi qu'un DVD de l'aventure seront élaborés et offerts à tous les membres.

La première partie de l'assemblée parlera de tous ces points.
Tout sera fait pour préserver l'anonymat des personnes. Des orateurs liront des textes préparés par des membres du Conseil. Ceux-ci se mélangeront incognito aux autres employés de la BAF.

Le repas se déroulera dans une autre salle. Ce qui permettra de préparer la première salle pour les démonstrations de fessées.

Pour les deux dernières parties, le personnel se redéplacera dans la première salle.


Maîtresse Christine de la BAF, qui ressemble tellement à celle d'OWK, participera aux démonstrations

Les personnes intéressées à recevoir des punitions, pendant les démonstrations, s'inscriront sur un formulaire par Internet. Un point important à savoir, les corrections seront réelles et sévères comme celles reçues par des Gaffeuses, Gaffeurs ou des membres condamnés aux Châtiments à Dragues ou Londres. Les fessées seront données par des Maîtresses ou Maîtres expérimentés.

La présence de tout le personnel est obligatoire. La convocation lui parviendra par le canal habituel.


Voilà, pour aujourd'hui ce sera tout mais la prochaine fois je vous tiendrai au courant de quelques bruits entendus sur la séance générale.



Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 09:04
auparavant


Dans cette fiction Madame Noémie, responsable du personnel de l'entreprise Jean-Bernard Martinet & Fils, continue à satisfaire ses besoins de domination.

La prochaine victime de la sévère femme a été sa propre secrétaire, Laure, car elle avait eu son ordinateur infecté par un virus. C'est un martinet qui se chargea de rendre la secrétaire plus attentive à son PC qu'à son maquillage et ses tenues (souvent en jeans serré et taille basse qui mettait bien en valeur sa croupe magnifique).
L'informaticien a ensuite été appelé car il aurait dû mieux sensibiliser le personnel aux dangers d'Internet. Une cravache appliquée très sévèrement sur ses fesses nues a amélioré de bonnes dispositions.
Des crédits supplémentaires, demandés depuis longtemps, ont aussi été alloués pour s'équiper d'un meilleur antivirus.

Toutes ces punitions distribuées par Madame Noémie ont créé une très mauvaise ambiance au sein de la maison Jean-Bernard Martinet & Fils. Le patron complètement sous la coupe de sa Maîtresse n'arrivait pas à changer quoi que ce soit. Un jour il reçu un appel téléphonique de BFE à Londres. Birch For Ever était un client important car ils appréciaient beaucoup la qualité des martinets et des canes de JBM & Fils.


Le coup de fil était d'un associé, M. Birch, de la célèbre maison de correction londonienne. Il voulait visiter l'entreprise et discuter avec le patron d'une proposition très intéressante. Cela consistait à collaborer plus étroitement pour vendre les excellents produits de fouettage Outre Manche, M. Birch s'occuperait entièrement de la gestion des affaires pour l'Angleterre. Le patron de JBM & Fils accepta et M. Birch devint un cadre important de l'entreprise. Et dans ce cadre là il sera aussi, comme le patron, un supérieur hiérarchique de Mademoiselle Noémie.

Dans ses nouvelles fonctions, M. Birch découvrit très vite la mauvaise ambiance de l'entreprise. Beaucoup d'employés travaillaient dans la crainte de Madame Noémie. Il discuta aussi beaucoup avec le personnel, essaya de le mettre en confiance. Un jour une employées du contrôle de qualité a été accusée de se servir de matériel de fessée et de le revendre pour son profit personnel. M. Birch apprit l'affaire juste au moment où cette personne était appelée dans le bureau de Madame Noémie.

Monsieur Birch avait beaucoup d'expérience et aussi un certain humour

Une autre employée du contrôle final parla à M. Birch de la culpabilité plus que probable d'un vendeur. C'était lui qui avait fait courir le bruit que les vols devaient être attribués à la jeune femme du service qualité. M. Birch arriva dans le bureau de Mme Noémie au moment où celle-ci baissait le slip de la pauvre femme. Il fit immédiatement stopper la punition en attendant des éclaircissements sur cette affaire.

Un interrogatoire du vendeur révéla la vérité. Il donnait des moyens de corrections à une Call Girl de la place en échange de moments câlins. Comme il n'était pas arrivé à sauter la jeune employée de la qualité, il s'était arrangé pour qu'elle passe chez Mme Noémie et qu'il puisse se trouver à ce moment dans le bureau du patron. C'est M. Birch lui-même qui se chargea de corriger le vendeur comme il savait le faire suite à sa longue pratique des châtiments corporels en Angleterre.

M. Birch ordonna aussi à Mme Noémie de ne plus punir sans son consentement. Et comme le règlement de l'entreprise ne spécifiait rien d'autre que seul un supérieur hiérarchique pouvait appliquer une fessée, il décida de corriger régulièrement Mme Noémie. La première fois se passa le jour même car elle n'avait pas assez réfléchi en décidant de punir l'employée de la qualité.

M. Birch n'a pas ménagé Madame Noémie

Mme Noémie n'aimait pas du tout les fessées. Et presque chaque semaine, M. Birch trouvait une excuse pour lui baisser la culotte. Un retard, un dépassement de temps pour traiter un dossier, une réponse un peu sèche suffisaient pour être punie. Quelques mois après elle démissionna de cette "maison de correction". Evidemment l'ambiance s'améliora rapidement et M. Birch n'eut que très rarement à utiliser ses talents de fouetteur. Une nouvelle employée fut engagée pour les ressources humaines.

Dans la prochaine partie je vous tiendrai au courant d'une réunion du Conseil de la BAF en 2010.
A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 07:39
auparavant


Suite à l'action Fessée de Noël, le patron de JBM & Fils n'avait pas du tout trouvé désagréable de recevoir les verges et il en parla à sa responsable du personnel. Madame Noémie qui n'attendait que ça et avait fort envie de jouer à la Maîtresse, le bascula sur ses genoux et lui donna une fessée. Comme son amant appréciait qu'elle jouait à la fouetteuse, elle lui ordonna de l'appeler Maîtresse Noémie. Elle commença aussi à le traiter en soumis puis l'appela son esclave. Je ne vous fais pas un dessin, mais tous les produits de la maison furent essayés. Si l'esclave voulait un peu de douceur, il devait auparavant subir un instrument choisi par Maîtresse Noémie.

Cela se passait souvent de la même manière. Il recevait l'ordre pendant la journée de venir le soir dans son bureau et de l'attendre complètement dénudé, les mains sur la tête et sur la pointe des pieds (ce qui est difficile à tenir après un moment). Elle venait ensuite s'occuper de lui. Il y avait toujours quelque chose qui n'avait pas bien joué pendant la journée et qu'il fallait corriger. Les punitions n'étaient pas jouées mais appliquées pour de vrai avec des moyens oh combien efficaces. Avec quel plaisir Maîtresse Noémie fouettait son amant !

Les corrections appliquées au patron plaisaient beaucoup à Madame Noémie mais elle aurait voulu aller encore un peu plus loin. Une à deux fois par mois, comme responsable du personnel, elle devait convoquer dans son bureau des employées ou employés qui avaient fauté. Les raisons de ces convocations allaient de retards répétés, du travail mal fait, à des comportements déplacés. Lors de ces entretiens, jusqu'à présent, les employés étaient simplement engueulés ou menacés de licenciement. Elle a ainsi malheureusement dû parfois se séparer de personnel hautement qualifié et le regrettait par la suite.

Elle proposa alors (plutôt imposa) au patron de modifier le règlement d'entreprise pour pouvoir corriger aussi du personnel par des fessées et autres châtiments corporels (gifles, positions désagréables, pincettes). Les contrats furent modifiés en conséquence et la grande majorité des employés accepta ces nouvelles clauses (il était relativement bien payé avec de bonnes conditions sociales). Le personnel appliqué ne risquait pas plus qu'avant une convocation chez Madame Noémie. Et pour les autres les choses allaient beaucoup changer.


Les premiers mois avec ce nouveau règlement, personne ne dut passer dans le bureau du personnel. Madame Noémie devra trouver un moyen pour satisfaire ses envies de punir. Elle fit installer de discrètes caméras derrière des miroirs ou autres leurres. Et assez vite elle remarqua le comportement déplacé d'un jeune vendeur envers une jolie ouvrière sexy. Comme l'employée provoquait par son habillement à la limite de l'acceptable, le vendeur tomba dans le panneau. Il fut convoqué chez Madame Noémie.

par son comportement déplacé, le vendeur ne s'attendait pas à se retrouver ainsi chez Mme Noémie un quart d'heure après sa convocation

Dès son arrivée dans le bureau, il aperçut une armoire ouverte dans laquelle étaient disposés différents moyens de corrections corporelles. Des martinets, canes, cravaches, claquoirs, verges en rotin et synthétiques, etc.. Bref, une grande partie de l'assortiment qu'il vendait régulièrement. Mais ce qui le surprit le plus c'était des baguettes et verges de noisetier posées sur le bureau de la sévère responsable du personnel. Il comprit très vite que Madame Noémie voulait jouer à la fessée avec lui mais n'en connaissait pas la raison.

La responsable lui intima l'ordre de baisser sa culotte et de se pencher sur le bureau car elle voulait utiliser les magnifiques baguettes fraiches qu'elle avait apportées ce matin. Elle lui annonça aussi la raison de sa convocation: un comportement déplacé envers Mlle Nadia. Le vendeur essaya de nier mais l'autorité naturelle de Madame Noémie l'incita à prendre la position pour recevoir une méchante fessée.

Comme la responsable voulait que toute l'entreprise soit au courant, elle avait donné l'ordre au patron de convoquer 3 employés dans son bureau et de laisser entrouverte la porte communicante avec le bureau du personnel. Le vendeur, qui avait pourtant reçu comme presque tous les autres la fessée de l'action de Noël, ne savait pas que Madame Noémie frappait si fort. Une vraie malade comme elle appliquait les différentes baguettes. Le vendeur n'avait jamais reçu une correction de cette sévérité ni n'avait eu aussi mal aux fesses.


Dés que Mlle Nadia a été au courant de la punition du vendeur, elle en a été contente. Cela faisait un moment que le jeune homme la gênait avec ses remarques et ses mains baladeuses. Elle pourra ainsi continuer à provoquer par ses tenues sexy sans s'attirer des gestes ou propos déplacés. Mais sa joie ne dura pas longtemps. Elle fut convoquée à son tour au bureau du personnel. Madame Noémie avait choisi un jour où Mlle Nadia portait des collants et une jupe très courte.

suite à la punition du vendeur, le contentement de Mlle Nadia a été de courte durée

Mlle Nadia arriva avec un grand sourire chez la responsable du personnel. Elle marchait en ondulant son postérieur avec un sentiment d'impunité. Mais assez vite elle dû déchanter.

Avec toujours quelques employés appelés chez le patron pour ne rien perdre de la punition à venir, Nadia dut baisser son collant, son string, se pencher sur le bureau de Madame Noémie et relever sa jupe. Les premiers coups de la verge en rotin ne tardèrent pas. Elle avait horreur des fessées, même à la main, et avait décliné l'offre de Noël. C'est absolument incroyable ce qu'une simple verge peut être douloureuse. La cheffe du personnel s'en donnait à cœur joie. Elle prenait un énorme plaisir à fustiger ce derrière qui se tortillait devant elle.
La superbe de Nadia avait disparue et avec sa mini jupe, elle ne put cacher les marques de la correction en ressortant du bureau.


La prochaine fois, dans cette fiction, vous aurez droit à d'autres réjouissances.
A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés